Publié le 31 Mars 2014

BB« 60 %, ce n’est plus un score partisan, je suis vraiment le maire de tous les Aulnaysiens ». Bruno Beschizza n’entre pas à la mairie d’Aulnay par la petite porte. Si dès 21 h 30 hier soir, le candidat UMP n’avait plus guère de doute sur l’issue du scrutin, il ne pouvait prédire que sa victoire serait aussi large. Mais au fil de la soirée, les yeux des militants, rassemblés dans la petite permanence de campagne, se sont écarquillés, à la vue de scores parfois inattendus.

Dans plusieurs bureaux des quartiers pavillonnaires du sud, ancrés à droite, Bruno Beschizza a fréquemment dépassé les 70 %. Dans le nord de la ville, il a aussi réalisé de très bonnes performances, coiffant par exemple au poteau son adversaire socialiste, le maire sortant Gérard Ségura, dans deux bureaux de l’école Ormeteau.

Deux heures plus tard, les jeux étaient faits. Une Marseillaise tonitruante faisait trembler les lustres de la salle des conseils de l’hôtel de ville. Celui qu’on présentait comme le candidat « parachuté », installé depuis moins d’un an à Aulnay, s’est donc largement imposé, avec un score de 60,7 %, face à au sortant socialiste.

La ville de près de 82 000 habitants retombe dans le giron de la droite, qui avait été délogée en 2008. A l’époque, le PS ne l’avait emporté que de 204 voix. Cette fois, Bruno Beschizza est très loin devant, avec 5 120 suffrages d’écart. Il a annoncé hier vouloir « instaurer l’apaisement dans cette ville » : « Pendant six ans, les Aulnaysiens ont subi un système qui les a divisés, entre nord et sud, communautés, religions, associations », a-t-il clamé, visant son prédécesseur.

Celui-ci, quelques instants auparavant, a quitté les lieux, non sans avoir appelé les militants à le rejoindre à sa permanence de campagne, pour « construire demain ». Gérard Ségura a proclamé les résultats face à une foule compacte, entouré par le député PS Daniel Goldberg et quelques collaborateurs aux yeux rougis. Celui qui reste vice-président du conseil général a appelé ses soutiens à « sortir la tête haute ».

« J’assume l’entière responsabilité de la défaite », a encore déclaré Gérard Ségura. S’il s’estime victime de la « sanction nationale », infligée par les électeurs aux maires PS, il confie avoir commis des « erreurs », notamment dans le rythme de construction de logements ou encore l’écoute accordée aux administrés. « Une partie de notre électorat, la population des quartiers populaires est en recul », note-t-il, en misant sur la « nouvelle génération de militants » qui s’est selon lui révélée au cours de la campagne.

Source article : Le Parisien / Vidéo : mairie d’Aulnay-sous-Bois

 

 

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Publié dans #En route vers 2014 !

Publié le 31 Mars 2014

abcd-de-l-egalite-visent-a-interroger_b0df94c691f50ce7945d7.jpgDevant l'école Savigny, nichée entre deux tours HLM, à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), de jeunes mamans, hijab ajusté sur la tête, discutent en attendant la sortie des classes. Elles n'ont pas participé, lundi 31 mars, à la journée de retrait de l'école (JRE), initiée par la militante Farida Belghoul pour protester contre le prétendu enseignement de la « théorie du genre » en maternelle et en primaire.

Pourtant, par le passé, elles y ont toutes déjà pris part, au moins une fois. « C'était à cause des SMS », explique Fatiah, 32 ans. Ces SMS, elle en recevait des dizaines chaque jour, moins aujourd'hui. Leurs auteurs, elle ne les connaît pas tous. « Il y a des copines, mais aussi des numéros inconnus. »

Malgré les multiples informations qu'ils contiennent, parfois contradictoires, ils ont un point commun : sonner l'alerte. Alerte à l'éducation sexuelle des enfants dès la maternelle, alerte à l'initiation à la masturbation par les professeurs, alerte à l'intervention de travestis et transsexuels dans les classes…

« MON TÉLÉPHONE SONNAIT CINQUANTE FOIS PAR JOUR »

Au départ, la vague d'inquiétude a été forte, irraisonnée. Quelques mamans se sont empressées de retirer leurs enfants de l'école, ont appelé au secours les établissements privés du quartier, demandé d'y inscrire leurs petits dès la prochaine rentrée.

« Mon téléphone sonnait cinquante fois par jour », se souvient Hassen Farsadou, directeur de l'association Espérance musulmane de la jeunesse française. Depuis 2008, il cherche à réunir des fonds pour la construction d'un établissement privé musulman à Aulnay-sous-Bois. « Je n'ai pas reçu de dons pour le moment, mais c'est clair, la polémique sur la théorie du genre a joué en ma faveur », s'exclame-t-il.

D'autres mamans ont frappé aux portes des salles des professeurs, réclamant des explications. « Souvent, ils sont restés silencieux », regrette Myriam, 32 ans, visage adolescent marqué par quelques rides d'anxiété. « Parfois, ils n'étaient même pas au courant », ajoute son amie, même allure juvénile.

Il aura fallu du temps aux enseignants pour prendre connaissance des rumeurs, les démentir, parler d'une seule voix. Non, la théorie du genre n'existe pas. Non, les garçons ne vont pas être contraints de porter des jupes, et les filles, des pantalons. Mais oui à la lutte contre l'homophobie, contre les stéréotypes filles-garçons, pour la parité des filières professionnelles. En clair, il s'agit d'expliquer aux parents ce que sont les ABCD de l'égalité — dispositif expérimenté par l'éducation nationale dans 600 classes de 10 académies volontaires, et probablement généralisé à la rentrée prochaine.

 QUELQUES REMOUS

« J'aimerais bien que mon fils fasse le même métier que moi, on n'est qu'entre femmes, c'est dommage », estime Sounia, 34 ans, assistante maternelle. « Moi aussi, si ma fille veut devenir astronaute, c'est bien », ajoute une mère au foyer, qui exerce « le plus beau métier du monde malgré tout ».

Si elles ne participent pas à la prochaine JRE, elles restent néanmoins vigilantes.« Tant que ces ABCD ne sont pas mis en pratique, cela reste effectivement une théorie, prévient Sarah. Je serai attentive à leur application, il ne faut pas non plus bousculer la tête des enfants ».

En attendant, la vague d'inquiétude, qui devait, selon les prédictions de M'hammed Henniche, secrétaire général de l'Union des associations musulmanes du 93 (UAM 93), emporter sur son passage les écoles publiques, au profit du privé, n'aura fait que quelques remous. Et puis, « elle est derrière nous », confie, souriante, une maman.

Source : Le Monde

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Publié dans #Education

Publié le 31 Mars 2014

rerbdirectA partir de ce soir et jusqu'à vendredi inclus puis du 14 au 18 avril, le trafic du RER B sera interrompu à partir de 23 h 5 et jusqu'à la fin du service, entre Aulnay-sous-Bois et la gare TGV de l'aéroport Charles-de-Gaulle. Des travaux de maintenance sont à l'origine de ces perturbations. Des navettes de bus seront mises en place.

Source : Le Parisien

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Publié dans #Transports

Publié le 31 Mars 2014

BB.JPGSaint-Ouen, Le Blanc-Mesnil et Bobigny, trois bastions rouges, ont été remportés par la droite, qui gagne aussi trois villes socialistes et divers gauche : Aulnay-sous-Bois, Villepinte et Livry-Gargan.

HISTORIQUE. Trois fiefs du PCF submergés par la vague bleue, mais aussi Aulnay-sous-Bois et Villepinte, perdues par l'UMP en 2008 et qui reviennent dans le giron de la droite, ou, plus inattendue, la victoire du jeune Pierre-Yves Martin, 33 ans, à la tête d'une coalition avec l'UDI, contre Alain Calmat (DVG) qui s'attendait à décrocher un 4emandat à Livry-Gargan.

Hier soir, le sénateur-maire (UMP) des Pavillons-sous-Bois, Philippe Dallier jubile au côté de Bruno Beschizza, nouveau baron de la droite en Seine-Saint-Denis. « C'est historique, même en 1983 on n'avait jamais vu une telle victoire ! Le PS et le PC sont en pleine débâcle ! » claironne le parlementaire qui lorgne déjà sur la présidence du Grand Paris en 2016.

L’élection a pris des allures de grand chamboule-tout

Pour le président (PS) du conseil général, Stéphane Troussel, « le résultat de ces municipales sonne comme un avertissement sévère à l'égard du gouvernement et du président de la République ». Il estime qu'il est « urgent de donner des signes clairs aux citoyens ». Le chef de file du PCF dans le département, Hervé Bramy, est resté injoignable hier soir.

Dans l'ensemble du département, l'élection prend des allures de grand chamboule-tout : dix maires sortants ont été battus, dont Eric Raoult (UMP) au Raincy ou encore Raymond Coënne (UMP) à Coubron, tous deux devancés par des dissidents de droite. Les communistes, qui perdent trois villes, en gagnent tout de même deux : Montreuil, l'ex-verte, et Aubervilliers, l'ex-PS.

A noter, la seule conquête du PS, Bagnolet, qui était communiste depuis 1928. Sans surprise, Michel Pajon (PS, 42,9 %) a été réélu à Noisy-le-Grand, Sylvine Thomassin (PS, 47,4 %) a gagné à Bondy, Laurent Rivoire (UDI, 58,5 %) à Noisy-le-Sec, Corinne Valls (DVG, 49 %) à Romainville, Claude Capillon (UMP, 49,4 %) à Rosny-sous-Bois, Stéphane Gatignon (EELV, 50,6 %) à Sevran, Azzédine Taïbi (PC, 50,3 %) à Stains et Carinne Juste (FG, 43,3 %) à Villetaneuse.

Source : Le Parisien

 

 

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Publié dans #En route vers 2014 !

Publié le 30 Mars 2014

Bruno-Beschizza-Aulnay

Bruno Beschizza l’emporte avec 60,7 % des voix à Aulnay-sous-Bois au second tour des municipales de 2014.

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Publié dans #En route vers 2014 !

Publié le 29 Mars 2014

primark.jpgELLES AVAIENT L'OEIL BATTU hier matin, assises en tailleur au premier rang de la longue file d'attente qui serpentait déjà dans l'allée du centre commercial O'Parinor, à Aulnay-sous-Bois. A 10 heures, la boutique Primark n'avait pas encore levé le rideau. Mais Sandrine et Lala, 21 et 23 ans, étaient arrivées depuis... 1 heure du matin. « On voulait vraiment être les premières », glisse Sandrine, habitante de Saint-Denis, « tombée amoureuse » de la marque irlandaise lors d'une escapade à Londres. Pour ne rien rater de l'inauguration du premier magasin d'Ile-de-France, les deux amies ont posé chacune un jour de congé, et ont débarqué en pleine nuit, sur le parking désert du centre, trouvant refuge dans un recoin pour somnoler un peu.

Derrière elles, la foule des fans de la marque irlandaise grossit de minute en minute. On avait déjà observé pareil engouement à Marseille, où la fréquentation du centre commercial Grand-Littoral a bondi de 20 % depuis l'ouverture de Primark en décembre dernier. « Plus qu'une heure à attendre... » souffle Lala, conseillère commerciale résidant à Brunoy (Essonne), le regard rivé sur le rideau encore baissé. A l'intérieur, Breege O'Donoghue, directrice du développement Primark, se réjouit en français et en anglais de cette ouverture, la troisième en France : « Ici, l'on peut acheter une tenue complète comme la mienne, à moins de 50 EUR », affirme cette grande dame à chignon, en jupe longue et petite veste de tailleur.
A 11 heures, le rideau se lève. Les acheteurs se ruent sur les tee-shirts à 2,50 EUR, les jeans à 7 EUR, les rayons bébés et enfants où s'empilent les articles de couleurs vives... Ces collections, qui se renouvellent sans cesse, sont dessinées par les 700 stylistes de la marque, puis fabriquées en Asie*. Pour son magasin d'Aulnay, Primark a recruté un peu moins de 500 personnes (dont près de 200 en contrats courts ou intérim), à Aulnay et dans les communes environnantes. La sélection a été rude : plus de 4 400 candidats s'étaient manifestés. Kahina, 24 ans, habitante de Villemomble, est ravie d'avoir décroché le job, un contrat d'un mois et demi. « C'est bien d'ouvrir un magasin comme celui-ci à Aulnay. Les gens d'ici ont peu de moyens », estime-t-elle. Au rayon chaussures, Lala et Sandrine traînent des paniers déjà pleins. « Notre technique, c'est de prendre tout ce qui nous plaît. Une fois à la caisse, on ressort tout et on trie, en laissant de côté les actes de folie », explique Sandrine, aimantée par des escarpins bleu électrique. « Mouais, faut arriver à marcher avec... » hésite Lala, rebutée par les talons aiguilles de 15 cm. « Et ceux-là, tu crois qu'ils sont praticables ? » lance-t-elle en avisant d'improbables chaussures à talons compensés. Lingerie, sacs à main, bijoux fantaisie, robes... Les prises s'amassent dans les paniers de tissu. Les cabines d'essayage sont prises d'assaut. « Prends tout, prends tout ! » conseille une ado à sa mère, ployant sous une pile de robes. Observant la frénésie ambiante, Bastien Leal, directeur du centre commercial, est radieux : « C'est génial. Il y avait 2 000 personnes dès l'ouverture, je n'avais jamais vu ça ! » Lala et Sandrine repartiront vers 13 heures, épuisées mais comblées. Elles ont refait leur garde-robe pour moins de 300 EUR. «  Et maintenant, on va dormir ! ».

*Primark fait partie de la vingtaine d'entreprises de confection dont les vêtements étaient fabriqués au Rana Plaza, cet immeuble qui s'est effondré l'an dernier au Bangladesh, tuant plus d'un millier de personnes. Le groupe a annoncé qu'il indemniserait les victimes.

Source : Le Parisien

 

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Publié dans #Commerce

Publié le 28 Mars 2014

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Publié dans #En route vers 2014 !

Publié le 28 Mars 2014

pinochio.jpgParmi la longue liste des échecs cuisants de la mandature du maire sortant socialiste Gérard Ségura figurent indéniablement ceux de l’urbanisme et de l’embellissement du cadre de vie. Ainsi, à l’exception notable du plan de rénovation urbaine (PRU) des quartiers nord (Rose des Vents, Etangs…) dont l’impulsion incombe, il faut s’en souvenir,  à la majorité précédente et non à lui, la quasi-totalité des projets urbains portés par monsieur Ségura pendant six ans auront suscité polémique et opposition.

Rue des Saules, Cité Arc en ciel, rue Fernand-Herbaut / Impasse des marronniers, rues Riquet-Doudeauville, rue Jules Princet, quartiers Balagny, Mairie et Centre-Gare, Croix-Blanche… les exemples semblent sans fin. Phénomène sans précédent dans notre commune, un nombre impressionnant  d’associations de riverains s’est créé au fil de la mandature  de Gérard Ségura, non pas dans le but d’empêcher la construction de logements,  mais avant tout pour dénoncer les méthodes d’un maire brutal et autocratique qui élaborait ses projets urbains en catimini, mettant systématiquement les habitants devant le fait accompli.   

Pourtant, malgré ce passif conséquent accumulé au fil des années, en page 13 de son programme Aulnay Avance, Gérard Ségura ressort, comme si de rien n’était, les belles promesses de 2008 quant à l’embellissement du cadre de vie ! En proposition 1, il annonce la révision du plan local d’urbanisme (PLU) en concertation avec la population conclue par un référendum d’intérêt local, chose qu’il a été incapable de faire pendant tout son mandat ! Plus fort encore, en proposition 2, il annonce, exactement comme il y a 6 ans, la protection des quartiers pavillonnaires (qu’il a pourtant cherché à bétonner dès 2009 rue des Saules et plus récemment avenue de la Croix-Blanche !), la remise en place du coefficient d’occupation des sols (qu’il a lui-même supprimé dès 2009 pour faciliter la division des terrains et donc densifier plus !), et la réalisation de petites unités harmonieusement répartis sur les grands axes de circulation (il suffit de voir le massacre du centre gare-nord pour douter de la crédibilité d’un tel engagement !)

Bref, en 6 ans, outre des simulacres de concertation scandaleux comme à la Cité Arc en ciel, conclus à la tronçonneuse et à la bétonneuse, ce qui a frappé pendant cette mandature c’est l’incapacité d’écoute du maire. Hermétique à la moindre remarque contradictoire de riverains soucieux avant tout de préserver l’histoire de leur quartier et leur cadre de vie, Gérard Ségura n’en a fait qu’à sa tête réalisant des constructions ici ou là par opportunisme, de façon anarchique, sans vision d’ensemble, sans schéma directeur clair et compréhensible par les Aulnaysiens. Les associations d’urbanisme lui proposaient dès 2010 de construire Aulnay ENSEMBLE. Monsieur Ségura a préféré s'enfermer dans une logique solitaire et construire SON Aulnay. On en mesure les dégâts aujourd’hui.

Dans ces conditions, vous l’aurez compris, lui donner un mandat de plus c’est indéniablement prendre le risque de voir la totalité d’Aulnay-sous-Bois défigurée…

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Publié dans #Urbanisme

Publié le 28 Mars 2014

letterPSA.jpgPSA va envoyer 204 lettres de licenciement à partir du 1er avril, la phase contrainte du plan social lié à la fermeture prochaine de l'usine d'Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) s'achevant lundi 31 mars. Ce chiffre vient d'être annoncé par la direction lors d'un comité d'établissement ce vendredi, selon une source syndicale. 

Ces 204 salariés de 
Peugeot-Citroën restant n'ont pas trouvé de solution de reclassement (mutation au sein du groupe ou embauche à l'extérieur). 

Ils ont encore la possibilité d'opter pour un congé de reclassement, d'une durée maximale d'un an, durant lequel ils toucheront tout ou partie de leur salaire. Ceux qui atteindront la fin de cette période sans solution seront licenciés.

L'usine, qui produisait des C3 à la chaîne, doit fermer définitivement cette année. En juillet 2012, lorsque la fermeture a été annoncée, elle employait 3000 salariés.

Source : Le Parisien

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Publié dans #Emploi

Publié le 28 Mars 2014

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Publié dans #En route vers 2014 !

Publié le 28 Mars 2014

Aulnay-leblog... la nausée ! 

Par Alain Froment et Sébastien Ville, membres du Front de Gauche.

 pg93.jpegAulnay-leblog aura sciemment manipulé l'information jusqu'au dernier jour de la campagne, caché derrière un anonymat qui rappelle les grandes époques où la délation était encouragée par l'Etat.

En publiant un article sur le Parti de Gauche, le blog anonyme ne cite pas notre communiqué et manipule le propos.

Car si nous caractérisons la droite de Beschizza, nous disons aussi que c'est de la responsabilité du Maire battu si elle arrive à ce niveau dans notre ville.

Cette gauche qui a failli continue de le faire en tronquant nos propos et se montre indigne de nous représenter.

Qu'il soit dit haut et fort que personne dans l'équipe de Vivre Mieux Ensemble ne lâche Alain Amédro, encore moins les membres du Front de Gauche qui connaissent ce que loyauté veut dire.

Nos expressions diverses sont notre attachement à la démocratie. Nous avons ensemble fait une campagne dont nous sommes fiers qu'elle ait été portée à ce niveau par notre ami, notre camarade Alain Amédro.

Il a montré, dans toute cette campagne un attachement fort à faire vivre un collectif, il a su fédérer autour de lui des énergies différentes. Grâce à lui et son sens du collectif, il a su faire naître une campagne honnête et transparente. A l'opposé des méthodes d'Aulnay-le-Blog qui, comme les positions xénophobes de Ségura à propos des Rroms, devraient disparaître du champ de la gauche. 

Merci Alain !

Alain Froment, Secrétaire du Parti de Gauche, candidat Vivre Mieux Ensemble à Aulnay, membre du Front de Gauche.

Sébastien VilleEnsemble, candidat Vivre Mieux Ensemble à Aulnay, membre du Front de Gauche.

 

 

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Publié dans #En route vers 2014 !

Publié le 28 Mars 2014

Source : http://www.islametinfo.fr/

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Publié dans #En route vers 2014 !

Publié le 28 Mars 2014

munps.jpg« DIMANCHE, c'est Massacre à la tronçonneusePearl Harbor, ou la Tour infernale, au choix », ironise un parlementaire de la majorité. Au PS, on s'attend à un très mauvais scénario pour le second tour des élections municipales. Alors que la campagne officielle se termine ce soir à minuit, les socialistes jettent leurs dernières forces dans la bataille. Porte-à-porte, rappels téléphoniques, ciblage des abstentionnistes en passant les listes d'émargement au peigne fin pour mobiliser. Mais le moral n'y est plus. « On se bat jusqu'au bout mais on sait qu'on va s'en prendre plein la gu... », souffle une députée.

Hypothèse la moins pessimiste, la perte de « 60 à 90 villes » en plus de celles déjà lâchées à l'UMP au premier tour. Parmi elles, Angers, Laval, Reims, Argenteuil, Amiens... Mais le scénario du pire, avec le basculement de « plus de cent villes » de plus de 10 000 habitants, n'est plus exclu par personne. Toulouse et Strasbourg passant à droite dans quarante-huit heures constitueraient un coup de grâce que tous les socialistes redoutent. Certes, une victoire à Avignon ou Bourges mettraient un tout petit peu de baume au coeur. « Mais il ne faut pas attendre de miracle, se désole le député de l'Essonne Jérôme Guedj. La logique, c'est une amplification des résultats du premier tour, avec des petits effets correctifs ici ou là... »

Dans les rangs du gouvernement, on fait officiellement mine de croire encore « à un sursaut » des électeurs de gauche qui se sont abstenus en masse au premier tour. Mais la déprime est bel et bien là. « Je suis très pessimiste, je ne vois pas pourquoi ils se remobiliseraient, je prédis une aggravation de la claque », souffle un ministre. « Une lame de fond se prépare... » anticipe un autre. Bref, le remake des municipales de 1983 qui avait vu une correction des résultats au second tour en faveur de la gauche s'éloigne dans les esprits. « A l'époque, se souvient Julien Dray, tout le monde était sur le pont, il y avait un pack. »

« C'est la semaine des chats noirs »

Cette fois, la gauche semble plombée. « Comment peut-il y avoir un sursaut après une telle semaine ? » fait remarquer un élu. Intervention ratée de Jean-Marc Ayrault lors de la soirée électorale du premier tour, retard du gouvernement à reconnaître le vote-sanction, mauvais chiffres du chômage... Et hier encore, la censure par le Conseil constitutionnel d'une partie de la loi Florange  pour faciliter la reprise des sites industriels en difficulté. « C'est la semaine des chats noirs », soupire un élu. « Sans compter le cirque médiatique de ceux qui attendent le coup de fil de nomination à Matignon. Ça leur fait une belle jambe à ceux qui comptent chaque euro à la fin du mois », dénonce un socialiste.

Dernier point d'inquiétude soulevé par le porte-parole des députés PS, Thierry Mandon : « Le désistement républicain a pris du plomb dans l'aile. » En clair, dans plusieurs dizaines de villes, la liste de gauche arrivée en tête doit encore affronter dimanche des concurrents qui, bravant les consignes, ne se sont pas retirés ou n'ont pas fusionné . Ce qui compromet encore un peu plus les chances de l'inversion de la courbe... des résultats.

Source article et image : Le Parisien

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Publié dans #En route vers 2014 !

Publié le 28 Mars 2014

A QUELLE HEURE arriveront les premiers fans ? L'événement devrait attirer la foule ce matin à Aulnay-sous-Bois. L'enseigne irlandaise Primark ouvre ses portes au sein du centre commercial O'Parinor. C'est sa première implantation en Ile-de-France -- un deuxième magasin ouvrira le 9 avril à Villeneuve-la-Garenne (Hauts-de-Seine), puis un troisième à Créteil en juin. Or la marque de prêt-à-porter tendance et bon marché (rappelant un peu le concept d'H&M) fait fureur partout où elle passe.

« A Marseille, l'arrivée de Primark au centre commercial Grand-Littoral a attiré depuis décembre 20 % de clientèle en plus », note avec gourmandise Bastien Leal, directeur d'O'Parinor, ravi d'accueillir ce qui sera la deuxième locomotive du centre, derrière l'hypermarché Carrefour, solidement établi sur 22 000 m 2. L'enseigne irlandaise accueillera ses clients au sein d'un magasin de 4 400 m 2, où l'on s'arrachera des vêtements pour hommes, femmes, enfants, bébés, ainsi que du linge de maison.

Une campagne de communication jusqu'à Lille

Ce matin, les portes ouvriront vers 11 heures dans une ambiance qu'on pressent électrique. Des guide-files seront installés pour contenir la foule, tandis que quelques « happy few », gagnants d'un concours, parcourront les grandes avenues parisiennes à bord d'un bus-discothèque avant de débarquer à Aulnay, bons d'achat en poche... Primark a astucieusement préparé l'événement, avec une campagne de communication allant jusqu'à Lille ! Se fondant sur l'expérience marseillaise, l'enseigne espère en effet attirer des clients des villes à une heure de distance de la capitale.

Bastien Leal y voit un atout majeur pour son centre commercial, qui fêtera cette année ses 40 ans et doit s'accommoder depuis octobre de la concurrence des 200 boutiques d'Aéroville, à Tremblay-en-France. « Aéroville a fait un bon démarrage, reconnaît le directeur d'O'Parinor. Mais la chute de la clientèle a été moindre que ce que nous avions budgété. » Le centre commercial a accusé en 2013 un recul de fréquentation « un peu supérieur à la baisse moyenne de 5 % constatée dans tous les centres ».

Le creux a surtout été ressenti en novembre et en décembre. L'établissement mise sur un important programme de rénovation d'un montant de 50 MEUR pour remonter la pente. Des travaux ont déjà eu lieu pour instaurer le guidage à la place dans les parkings, créer un pôle de 9 restaurants, rénover les allées. La réfection des façades vient de débuter, et un autre événement aura lieu à l'automne : l'inauguration du complexe UGC dont les murs sont déjà visibles depuis l'autoroute.

Source article. : Le Parisien / Vidéo : Aulnaylibre !

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Publié dans #Commerce

Publié le 28 Mars 2014

coprolamoree.jpgPour une raison encore inconnue, un habitant de 48 ans a fait une chute vertigineuse de sept étages de son appartement situé rue des Mimosas, à Aulnay. Il a été transporté dans un état critique à l'hôpital. Hier son pronostic vital était toujours engagé. Il n'a pas encore été possible d'en savoir plus sur l'origine de ce drame. S'agit-il d'un suicide ou d'un accident ? L'enquête a été confiée au commissariat d'Aulnay.

Source : Le Parisien

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Publié dans #A vos quartiers !

Publié le 27 Mars 2014

Bruno-Beschizza-AulnayDans cette ville de 81 000 habitants, en Seine-Saint-Denis, le candidat UMP a obtenu 41,3 % des suffrages au premier tour.

Il sourit avec gourmandise, serre les mains à tour de bras, tapote sur ce qu'il faut d'épaules, donne du " salut chef ! " à chaque étal, et sert le tout avec sa gouaille charmeuse d'ancien " flic " syndicaliste. En retour, commerçants et chalands l'apostrophent par son prénom, comme s'il arpentait le marché depuis des lustres. C'est sa fierté.

Ce jeudi matin, le soleil brille au-dessus d'Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) et le baromètre personnel de Bruno Beschizza est au beau fixe. " On peut passer à 54 % ", pronostique-t-il. " Quand j'ai été parachuté ici, il y a moins d'un an, je savais qu'il ne fallait surtout pas que je sois le gars de l'UMP. Il fallait que je sois “Bruno”. "

C'est pourtant bien rue de Vaugirard, à Paris, au siège du parti, qu'a été lancée il y a un an et demi l'" opération Beschizza ", pour partir à la reconquête d'Aulnay-sous-Bois, perdue par la droite en 2008. Les stratèges de l'UMP, en se penchant sur la carte électorale de l'Ile-de-France, n'ont pas eu besoin de réfléchir longtemps pour cocher la troisième ville de Seine-Saint-Denis (81 000 habitants) parmi leurs objectifs prioritaires.

Dans la marmite aulnaysienne, ils ont vu foison d'ingrédients qui étaient autant de raisons d'espérer : un édile socialiste vieillissant (65 ans), Gérard Ségura, en conflit avec les écologistes de sa majorité ; une ville bercée par la triste complainte de la fermeture de l'usine PSA, symbole d'une certaine impuissance gouvernementale ; et une sociologie potentiellement sensible à un air du temps, où il ne fait pas bon être socialiste.

Aulnay-sous-Bois est un cas d'école de ville coupée en deux. Au sud, de coquets pavillons accueillent une petite bourgeoisie aisée, plutôt à droite, sensible aux sirènes des discours sur l'" insécurité ". Dans le nord, les grands ensembles d'immeubles, célèbres depuis les émeutes de 2005, sont à l'inverse une terre de gauche. Quand les électeurs se rendent aux urnes.

Nord contre sud, sud contre nord : en 2008, le match était équilibré. M. Segura s'est imposé d'une courte tête, avec 50,43 % des voix. Quatre ans plus tard, en 2012, Aulnay a plébiscité François Hollande (62,7 %). Mais ce 23 mars, lors du premier tour, la balance s'est renversée. Brutalement.

Aulnay la pavillonnaire s'est mobilisée. Aulnay la populaire, elle, a boudé. M. Beschizza en a profité pour virer en tête (41,29 % des suffrages), très loin devant M. Segura (26,66 %). Jusqu'à faire désormais figure de grand favori. C'est en janvier 2013, pour le candidat de l'UMP, que l'aventure a commencé. " Je n'ai rien demandé. J'ai été convoqué par Jean-François Copé et Valérie Pécresse. Ils m'ont dit : “tu as le bon profil pour t'implanter à Aulnay-sous-Bois”. " Il y est allé.

Bruno-Beschizza-Aulnay-copie-1Son profil ? Celui d'un ancien secrétaire général de Synergie, l'un des deux principaux syndicats d'officiers de police, marqué à droite. " Je n'ai même pas besoin d'en parler, il y a écrit sécurité sur mon front ", s'amuse-t-il. Celui, aussi, d'un enfant du " 9-3 ", à défaut d'être d'Aulnay-sous-Bois.

" Mon père est italien. Il est arrivé à Paris, s'est installé chez des marchands de sommeil. Il a rencontré une petite Française. Ils ont déménagé en Seine-Saint-Denis, à Montreuil, pour avoir les toilettes et la salle de bain. Le parcours classique, quoi… ", raconte-t-il.

Durant l'été 2013, M. Beschizza a quitté son domicile de la ville voisine de Rosny, avec sa femme et ses cinq enfants, pour filer s'installer à Aulnay-sous-Bois. " J'emmène mes enfants à l'école tous les jours. C'est aussi ça, faire campagne. En cette période de crise, les gens ont besoin de contact, qu'on leur fasse la bise ", théorise-t-il.

Et de lister les raisons, selon lui, de son succès : " Les gens veulent entendre des mots simples : entreprise, famille, insécurité. Contrairement à ce qu'on imagine, ici, ils sont obnubilés par la réussite scolaire de leurs enfants. Ils ont peur de la réforme des rythmes scolaires et de la théorie du genre. "

Avant d'être un " bébé Copé ", M. Beschizza a surtout été un " bébé Sarkozy ". C'est l'ex-président de la République, qu'il avait côtoyé dans ses fonctions précédentes de ministre de l'intérieur, qui l'a poussé à entrer en politique en 2010, lors des élections régionales, avec la Seine-Saint-Denis pour terrain de jeu. Il lui a octroyé au passage un avantageux statut de sous-préfet hors cadre. Ses débuts, en dépit de ce parrainage, ont été un rude apprentissage. Eric Raoult, le vieux baron UMP du Raincy, attendait au tournant ce concurrent adoubé par le " Château ". Jean-Christophe Lagarde, le maire UDI de Drancy, a aussi sorti les dents.

S'il s'impose à Aulnay-sous-Bois, M. Beschizza peut devenir, de fait, le fer de lance de l'UMP dans ce département de mission. Avec un profil qui permet de ratisser large, de la droite " classique " à l'électorat du FN, dont l'appareil est à la peine en Seine-Saint-Denis.

Dans son bureau de la mairie, M. Segura, son adversaire socialiste, veut cependant croire que la messe n'est pas dite. " Au premier tour, son électorat était très mobilisé. Il faut qu'on mobilise le nôtre. "

Le combat, à quelques jours du vote, se joue dans les quartiers nord. M. Segura attaque le profil " droite dure " de son adversaire. " Il n'y a plus eu à Aulnay d'explosion sociale depuis 2007. On a apaisé la ville. Il la clive ", poursuit-il, en guise d'avertissement. En attendant, en coulisses, les deux camps s'accusent d'achats de voix.

Source : Le Monde

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Publié dans #En route vers 2014 !

Publié le 27 Mars 2014

DANS SEPT ANS, ce sera le seul endroit d'Ile-de-France où l'on pourra skier, faire des descentes en luge, glisser sur des patins, escalader un mur de glace et pratiquer de nombreux sports d'hiver, même le très acrobatique half-pipe !

 3712967 11-0-4227785944EuropaCity, le complexe de loisirs, tourisme et commerces de 2 Mds€ portés par le groupe Auchan, qui doit voir le jour en 2020-2021 sur 80 ha du Triangle de Gonesse, non loin d'Aulnay, lève le voile sur son parc des neiges. « Il n'est que l'un des éléments de l'offre de loisirs, avec un parc d'attractions, un parc d'aventures, un parc aquatique et une ferme pédagogique », rappelle Christophe Dalstein, le directeur d'EuropaCity.

Ce parc sera construit sur 20 000 m 2 plus grand que celui que s'est offert Dubaï (Emirats arabes unis) en 2005 au beau milieu du désert. « Comme tous les équipements de loisirs, il sera accessible à tous les publics, avec notamment des tarifs et des horaires préférentiels pour les scolaires, précise Christophe Dalstein. Le parc comprend d'ailleurs une aire d'initiation et de jeux pour les enfants mais aussi des activités ludiques, comme des ateliers de sculpture sur glace ou de réalisation d'igloos. »

Le projet sera-t-il gourmand en énergie ? Comment maintenir à température la neige artificielle et la glace tout en préservant l'environnement ? « EuropaCity s'est engagé dans une démarche de développement durable forte et un projet positif, en recherchant l'exemplarité à l'échelle locale, souligne son directeur. La particularité de ce projet, conçu avec le cabinet d'architectes danois BIG et le bureau d'études Transsolar, permet que tous les flux d'énergie, d'eau et de déchets interagissent pour créer un véritable écosystème. À titre d'exemple, la chaleur résiduelle générée par le besoin de froid du parc des neiges est canalisée vers les installations du parc aquatique. Cette complémentarité permet de diviser les besoins en énergie par deux pour chacun de ces programmes ».

A Aulnay, deux associations ont questionné, avant le premier tour, la quasi-totalité des candidats sur le projet Europa City. L'association Capade et celle des commerçants du boulevard de Strasbourg affirment que les têtes de listes sont en général hostiles au projet. Elles ont toutefois choisi de ne pas interroger le maire sortant.

Elles réclament la tenue d'une concertation avant le débat public autour du projet, prévu au second semestre 2014.

Source : Le Parisien

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Publié dans #Commerce

Publié le 27 Mars 2014

Europe_ecologie_les_Verts_logo_2011.pngC'EST UN SOUTIEN EXPLICITE que la direction nationale d'Europe Ecologie vient d'apporter au maire PS d'Aulnay. Le logo et un mot de sa secrétaire nationale Emmanuelle Cosse apparaissent en bonne place sur la profession de foi de Gérard Ségura, en ballottage défavorable face à l'UMP. Mais la prise de position fait bondir Alain Amédro, ex-tête de liste écologiste, vice-président du conseil régional. Avec 9,12 % des voix, celui-ci ne pouvait se maintenir au second tour. Il a en revanche fait savoir dès lundi qu'il n'appellerait pas à voter pour le sortant PS, qu'il qualifie de « maire autocratique et clientéliste ».

« Ce que fait Emmanuelle Cosse est scandaleux, et va à l'encontre de nos statuts qui laissent la primauté des décisions aux militants locaux », martèle Alain Amédro.Ce dernier affirme avoir fait l'objet de « pressions et menaces ». Il accuse Emmanuelle Cosse de lui avoir laissé entendre qu'il pourrait perdre son fauteuil de vice-président régional. « C'est faux, je lui ai simplement dit qu'il n'était pas un militant lambda. Les socialistes lui en veulent beaucoup, il ne devra pas s'étonner s'ils tentent de lui retirer sa vice-présidence », s'agace la patronne d'Europe Ecologie. Elle précise : « Nous avons pris la décision lundi d'attribuer le logo à Gérard Ségura. Nous sommes ancrés à gauche. On ne regarde pas ailleurs quand il y a des combats électoraux. »


« On ment aux électeurs en prétendant faire barrage à la droite. Mes voix additionnées à celle de Gérard Ségura ne suffisant pas à empêcher la droite de passer », rétorque Alain Amédro.

Source : Le Parisien

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Publié dans #En route vers 2014 !

Publié le 27 Mars 2014

Les associations cultuelles ont officiellement pris position pour les candidats UMP ou PS, qui les écoutent mais se défendent pourtant de tout clientélisme religieux.

3713227_1_545x341.JPG« POURQUOI NOUS ne soutenons pas Gérard Ségura. » Tel est l'intitulé du communiqué publié juste avant le premier tour des municipales par l'association Espérance musulmane de la jeunesse française (EMJF) à Aulnay-sous-Bois. Jamais encore cette association cultuelle, ancrée dans les quartiers nord, n'avait aussi nettement pris position à la veille d'un scrutin. Plus encore, elle assume son engagement lors des précédentes municipales en faveur du maire PS sortant : « La campagne de 2008 fut très rude et a demandé de gros efforts. »

Des efforts dont elle estime ne pas avoir été récompensée : l'élu avait selon elle pris des engagements, notamment sur la vente d'un terrain pour y construire une école privée. Le terrain a bien été vendu, mais avec des clauses qui déplaisent à l'association, laquelle dénonce d'un ton acerbe la condescendance et l'arrogance de la majorité sortante.

A l'approche du second tour, le président de l'EMJF, Hassen Farsadou, vient de franchir un nouveau pas : « Je le dis publiquement. A titre personnel, je soutiens Bruno Beschizza », le challengeur UMP arrivé en tête dimanche. Hassen Farsadou devait hier assister au meeting de campagne du candidat de droite et promettait d'y entraîner « 70 à 100 personnes ». « Il m'a dit qu'on pouvait revoir les clauses de la vente du terrain », affirme-t-il.

Une campagne électorale se gagne-t-elle à coups de promesses auprès d'associations cultuelles ? Le maire PS comme son challengeur UMP se défendent de tout clientélisme. « Le terme d'engagements n'est pas exact », affirme Gérard Ségura, certain qu'une partie des membres de l'EMJF le soutiennent : « Je ne suis pas sûr qu'Hassen Farsadou ait consulté tout le monde. » « Je ne suis pas entré dans une relation de deal, assure de son côté Bruno Beschizza. Je discute avec eux depuis six mois, ils ont peut-être apprécié ma constance. »

Bien entendu, l'EMJF n'est pas la seule association à faire campagne, mais sa prise de position publique est nouvelle. Il y a six ans, confirme Gérard Ségura, le message était resté plus discret : « Dans les cercles d'amis, elle disait qu'il valait mieux voter pour moi. » Un ancien adhérent de l'EMJF était alors sur sa liste. « Je ne l'avais pas choisi pour représenter l'association, mais parce que c'était un délégué syndical d'une entreprise de la ville. » On ne peut reprocher au maire sortant un travail exclusif avec l'association.

Si celle-ci a pu installer dès 2010 ses cours d'arabe dans une ancienne école de la Rose-des-Vents, c'est une autre structure, l'Association culturelle des musulmans d'Aulnay, qui a pu faire construire sa mosquée sur un terre-plein de la N 2. Une troisième association, des Musulmans de la Rose-des-Vents, a bénéficié de l'aide de la ville pour remettre aux normes le bâtiment industriel abritant ses salles de prière. « Il a fait avancer les choses pour nous, on soutient Gérard Ségura », indique d'ailleurs son président Mohamed Aït Hammou.

Mais le maire sortant le répète : « Je ne chasse pas les voix des associations religieuses. » Et d'accuser son rival de droite d'avoir fait « une proposition plus intéressante » à l'EMJF, qui expliquerait le revirement de cette dernière.

Ce que Bruno Beschizza dément avec assurance : « Je ne suis pas dans le contractuel. J'ai approché toutes les associations et je n'ai proposé aucune place à l'EMJF sur ma liste. » Toutefois, sa campagne, comme celle d'autres candidats de droite dans le 93, a sans doute eu un écho favorable auprès de certains membres de l'association musulmane. Il a notamment publié un tract contre la théorie du genre, dont la rumeur voulait en janvier qu'elle soit enseignée à l'école et qui avait suscité la crainte de quelques familles.

Quel est le poids d'un tel soutien ? « Il y a cinquante ans, dans les villages italiens, le prêtre disait pour qui voter, et tout le monde obéissait. Aujourd'hui, on n'est plus dans cette situation », minimise Bruno Beschizza. Gérard Ségura revendique de son côté un lien « direct et presque naturel avec les habitants, musulmans ou non, des quartiers nord, où j'ai enseigné pendant quarante ans ».

Source : Le Parisien

 

 

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Publié dans #En route vers 2014 !

Publié le 27 Mars 2014

logo_pole_emploi_469__1905b.jpg1 010  chômeurs de plus en un mois. Le chômage a progressé de 0,9 % en Seine-Saint-Denis entre fin janvier et fin février. Le département compte 111 760 demandeurs d'emploi de catégorie A (n'ayant pas du tout travaillé). Si l'on prend en compte les catégories A, B et C (y compris les personnes ayant travaillé quelques heures), on atteint un total de 148 410 personnes, stable par rapport à janvier. Le nombre de demandeurs d'emploi continue à baisser légèrement pour les moins de 25 ans. C'est pour les femmes de plus de 50 ans que la situation s'aggrave le plus. En Ile-de-France, le chômage a augmenté de 1,1 % en moyenne, c'est dans les Hauts-de-Seine qu'il a progressé le plus (+ 1,6 %).

Source : Le Parisien

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Publié dans #Emploi

Publié le 26 Mars 2014

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LA DROITE UNIE en démonstration de force à Aulnay-sous-Bois ce soir. L'UMP Bruno Beschizza et l'UDI Jacques Chaussat tiennent une réunion publique à partir de 19 h 30 à la salle Chanteloup. Le sénateur-maire (UMP) des Pavillons, Philippe Dallier, et le maire (UDI) du Bourget, Vincent Capo-Canellas, devraient être présents pour soutenir ces anciens rivaux, désormais alliés pour affronter le maire sortant (PS), Gérard Ségura.

Source article : Le Parisien. Source Photo : http://www.93600infos.fr/


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Publié dans #En route vers 2014 !

Publié le 26 Mars 2014

Alain Amédro

Vice-président de la région Ile-de-France

Candidat Vivre mieux ensemble à Aulnay-sous-Bois

Communiqué de presse

Mardi 25 mars 2014

 

A Aulnay, chantage au soutien

Alain-AMEDRO-280x300Les résultats du premier tour des élections municipales sont tombés sans appel. Alors que le maire sortant ne réalise que 26% des voix, le candidat de l'UMP est à quelques jours d'une victoire quasi certaine depuis sa fusion avec la liste UDI.

Si cette situation ne me surprend pas, elle m'attriste évidemment. Je suis écologiste et de gauche, je ne peux que déplorer de voir la droite aux portes de ma ville, une droite dure, celle des amis de Jean-François Copé, une droite qui divise et qui manipule les peurs.

Je n'ai cessé, depuis 2010, de mettre en garde contre les dangers de politiques et de méthodes dangereuses dans notre ville, loin de l'idéal démocratique qui est le mien. Je l'ai dit au soir du premier tour : ces résultats révèlent le rejet d'un système.

Notre liste a décidé de ne pas apporter son soutien à l'un des candidats de second tour. Les adhérents des partis politiques qui soutenaient Vivre Mieux Ensemble à Aulnay-sous-Bois (EELV, Ensemble, Front de Gauche) ont pris la même décision.

Je suis choqué d'apprendre que se retrouvera le logo Europe Ecologie – Les Verts sur les tracts et documents de Gérard Ségura. Cette décision a été prise par les instances nationales d'EELV en dépit des règles de notre parti qui rendent souverains les militants locaux.

Il m'est demandé avec insistance depuis dimanche soir d'apporter mon soutien à la liste Aulnay avance. Je m'y refuse. Un système s'effondre et ce n'est pas à moi, pas à mes colistiers, de le remettre sur pied. Notre responsabilité est de construire l'alternative, de gauche, citoyenne, écologiste, solidaire.

Parce que je ne soutiens pas Gérard Ségura au second tour, les instances nationales d'EELV menacent de me faire retirer ma délégation de vice-président à l'aménagement de la région Ile-de-France. Ce chantage ne m'effraie pas. Je travaille en bonne intelligence avec mes collègues de l'exécutif de Jean-Paul Huchon. Je suis un élu intègre et fier des avancées obtenues pendant ce mandat. Je ne cèderai pas aux pressions, d'autant plus qu'elles sont disproportionnées.

Après avoir dénoncé, sobrement mais fermement, les méthodes de l'équipe sortante, je ne pourrais aujourd'hui faire la girouette et apporter mon soutien à cette même équipe. Il est trop tard pour appeler à « faire barrage à la droite » car aucune digue ne le permettra.

Je ne mentirai pas aux électeurs aulnaysiens.

Contact presse : Alain Amédro : 06 12 84 03 34

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Publié dans #En route vers 2014 !

Publié le 25 Mars 2014

Moktar-Fahrat-copie-1.pngChères aulnaysiennes, chers aulnaysiens, 

Vous venez d'assister à la naissance du mouvement Aulnay Vers Le Haut : il pèse 5,42% et mesure 1203 voix !
Nous adressons nos remerciements les plus sincères à tous les citoyens qui nous ont soutenus dans cette élection. Vous avez écrit avec nous une page importante de l'histoire d' Aulnay-Sous-Bois.

En dépassant le seuil des 5% au 1er tour, nous sommes entrés dans la vie politique et faisons désormais partie des acteurs incontournables de cette ville. Dorénavant, plus rien ne se fera sans nous!

Nous nous sommes engagés à ne faire aucun ralliement, et vous le constaterez par vous-même, notre parole sera tenue.
Aulnay Vers Le Haut ne sera récupéré par aucun parti. Plutôt qu'une écharpe ou une délégation, nous préférons l'honneur, la dignité, la justice et la loyauté!
Notre mouvement bouleverse les moeurs politiques, nous plaçons le citoyen au coeur de nos préoccupations avec l'éthique comme socle de nos actions.
De plus, aucune consigne de vote n'est donnée pour le second tour. Nos électeurs sont libres et feront le choix qui leur semble le plus juste.

Nous sommes déterminés et nous vous inviterons dans quelques semaines à rejoindre l' équipe AVLH.
Ni de droite, ni de gauche...mais toujours plus haut!

Moktar Farhat et son équipe

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Publié dans #En route vers 2014 !

Publié le 25 Mars 2014

Alain-Amedro-2014

9,12% : un très beau résultat !

Notre liste a réalisé 9,12 % des suffrages. Nous remercions les 2023 électeurs qui nous ont fait confiance et apporté leur voix. Cela nous conforte dans nos objectifs : construire une gauche combattive, démocratique à Aulnay.

A travers notre score, l'intégrité et la morale politique sont enfin reconnues dans notre ville et nous en sommes fiers.

Le résultat de premier tour des élections municipales à Aulnay-sous-Bois est sans appel : les électeurs ont massivement sanctionné l'équipe sortante. Avec moins de 27% des suffrages exprimés, Gérard Ségura n'a aucune chance de remporter le second tour. C'est le mode de gestion municipale des six dernières années qui est totalement désavoué.

La droite la plus dure, celle qui divise, oppose les populations, et qui s'attaque aux plus faibles, est à quelques jours de remporter la ville. C'est une nouvelle menace pour les aulnaysiens, nous la combattons et la combattrons.

La gauche aulnaysienne est à reconstruire. L'ensemble des colistiers de la liste Vivre Mieux Ensemble à Aulnay-sous- Bois est déterminé à poursuivre le travail engagé. La gauche humaniste, écologiste et solidaire a su faire ses preuves pendant la campagne, elle poursuivra !

Contact presse : Alain Amédro : 06 12 84 03 34

www.vivremieux-aulnay.fr 29 rue Anatole France 93600 Aulnay-sous-Bois

contact@vivremieux-aulnay.fr ou 06 12 84 03 34

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Publié dans #En route vers 2014 !

Publié le 25 Mars 2014

Mairie_de_Aulnay-sous-Bois.jpgLE SCÉNARIO d'une élection n'est jamais écrit à l'avance. C'est en tout cas ce dont les militants socialistes, réunis hier soir à Aulnay, tentent de se convaincre. Mais le maire sortant (PS) Gérard Ségura est décidément en délicate posture. Arrivé en deuxième position lors du premier tour, il devra faire face dimanche prochain à une droite rassemblée, rêvant de reprendre une ville perdue en 2008.  

L'UMP et l'UDI fusionnent

Hier matin, le centriste Jacques Chaussat, arrivé troisième avec 14,4 % des voix, s'est rangé derrière le candidat UMP Bruno Beschizza, en 
tête avec 41,3 %. Six places d'élus ont été réservées à l'UDI, dont trois de maires-adjoints. Voilà de quoi mettre un peu de baume au coeur du centriste : « Nous avons fait un beau score. On n'a jamais tout ce qu'on souhaite », glissait hier le conseiller général qui avait un temps cru pouvoir prendre la tête du peloton.

Gérard Ségura aura du mal à renverser la tendance. Son appel au soutien de « tous les candidats de gauche » semble résonner dans le vide... Alain Amédro, candidat Europe Ecologie, se refuse à donner la moindre consigne de vote aux électeurs qui lui ont accordé 9,1 % des voix. « On est face à une gauche désavouée et une droite dure. On sait déjà qu'on est dans l'opposition », affirme l'élu régional, pour qui « la défaite de Gérard Ségura est acquise ». Le soutien ne viendra pas non plus de Moktar Farhat, qui ne donnera « aucune consigne », lui non plus. Candidat sans étiquette, ce dernier a fait un score non négligeable, dépassant les 5 %. Dans les quartiers nord, il a sans doute capté une partie des voix qui s'étaient portées en 2008 sur Gérard Ségura.

Le maire PS mise sur les abstentionnistes

Celui-ci a pâti d'un double phénomène. Une forte mobilisation de l'électorat de droite, dans les quartiers pavillonnaires : dans le canton sud, il ne recueille que 16,47 % des voix, tandis qu'un électeur sur deux a voté Beschizza. Quant à l'électorat de gauche, il a boudé les urnes. L'abstention, qui atteint 48,8 % sur l'ensemble de la ville, culmine à 53 % sur le canton nord, où Gérard Ségura avait fait le plein des voix il y a six ans... et où il est cette fois au coude à coude avec l'UMP. L'analyse des scores semble redonner un peu de courage au camp socialiste : « Il faut trouver 2 500 voix parmi les abstentionnistes de gauche. C'est faisable. Certains regrettent déjà aujourd'hui de ne pas être allés voter », assure-t-on dans l'entourage du maire sortant. « On va essayer de convaincre notre entourage de se mobiliser pour Gérard Ségura », confiaient dimanche soir Fatou et Ibtissam, deux habitantes trentenaires de la cité de la Rose-des-Vents, effrayées du retour annoncée de l'UMP. « On a vécu 25 ans avec la droite, on a senti la différence. Il y avait une barrière dans la ville », assure Fatou. Mais dans le camp d'en face, on est tout aussi mobilisé : « On va se battre pour le second tour. Le changement c'est maintenant », ironisait dimanche un partisan de l'UMP.

Source article : Le Parisien / Photo : Wikipédia

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