93 infos

Publié le 11 Janvier 2017

A 21h54 le 13 novembre 2015, lorsqu’une troisième explosion retentit aux abords du stade de France à Saint-Denis, il n’a pas été «soufflé au sol» sans pouvoir se relever, il n’a pas vu ses cousins «en sang» près de lui. À l’arrivée des secours, elle n’a pas dû mettre de minerve, son oreille gauche n’a pas été endommagée. Au moment de l’explosion, les deux vendeurs à la sauvette, un homme de 47 ans et sa femme de 36 ans, avaient déjà quitté les abords du stade et étaient sur le point d’arriver à leur domicile d’Aulnay-sous-Bois comme l’a relevé le bornage téléphonique effectué par des enquêteurs méfiants.

Pour avoir prétendu, avec détails, qu’ils se trouvaient au stade de France afin d’être indemnisés par le fonds de garantie, le couple a été condamné à un an de prison, dont six mois assortis de sursis, par le tribunal de Bobigny ce mercredi après-midi. C’est la quatrième peine prononcée en France à l’encontre de ces fausses victimes du 13 novembre. Celles qui «attaquent indirectement» les vraies, parce que «leur qualité peut être usurpée par des gens comme vous» a motivé le président de la 15e chambre.

Suite de l’article du journal Le Parisien à lire en cliquant : ici

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Publié le 1 Avril 2016

La manifestation au lycée Voillaume à Aulnay-sous-Bois se termine par cinq arrestations

La police est intervenue en masse au lycée Voillaume, à Aulnay-sous-Bois, ce vendredi matin. Aux alentours de 8 h 30, environ trois cents jeunes, en grande majorité des lycéens, se sont rassemblés devant l’établissement, pour montrer leur opposition au projet de loi travail. Mais quelques casseurs se sont mêlés à la foule et ont mis le feu à deux poubelles.

Parallèlement, quelques mouvements de foule ont « débordé » sur la départementale D 115 toute proche. Plusieurs véhicules de police sont donc intervenus. Ils ont essuyé quelques jets de projectiles. Cinq jeunes ont été interpellés. Selon les informations du journal Le Parisien, quatre d’entre eux au moins ne sont pas des lycéens. A 11 h 30, la situation est revenue au calme.

Source article : Le Parisien / Source image : Twitter

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Publié le 31 Mars 2016

Des trafiquants de drogue de Livry-Gargan se font livrer de la cocaïne par La Poste !

Quatre trafiquants présumés de drogue avaient choisi de faire dans la simplicité en se faisant tout simplement livrer leur cocaïne par… La Poste. Les quatre suspects ont été interpellés, le 23 mars, par les enquêteurs du service départemental de police judiciaire (SDPJ) de Seine-Saint-Denis alors qu'ils venaient de réceptionner à leur domicile de Livry-Gargan un colis, en provenance de Guadeloupe, contenant 400 gr de cocaïne.

Au cours de la perquisition de leur logement, les policiers ont encore découvert près de 1,5 kg de résine de cannabis, une petite quantité de cocaïne, une arme de poing et plusieurs milliers d'euros en argent liquide. Trois des quatre trafiquants ont finalement été placés en détention provisoire.

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Publié le 25 Mars 2016

Un automobiliste arrêté avec 2 kilos de cocaïne dans son coffre aux Beaudottes à Sevran

En tentant de contrôler un automobiliste un peu trop pressé à Sevran, les policiers ne s’attendaient sûrement pas à tomber sur plus de deux kilos de cocaïne. Deux pains, dont la teneur et la pureté restent à confirmer, mais qui à l’évidence, renferment bel et bien de la cocaïne.

Le conducteur roulait un peu trop vite, dans le secteur des Beaudottes, mercredi soir, lorsqu’il s’est fait repérer par une patrouille de police. Une priorité grillée a suffi à ce que les policiers décident de le contrôler. Vu ce qu’il transportait, le conducteur a tenté de s’enfuir et de semer la police.

Peine perdue, il a encastré son véhicule dans plusieurs voitures en stationnement. Sous la violence du choc, le coffre s’est ouvert… avec la cocaïne à l’intérieur. Le conducteur a tenté de filer mais les policiers étaient plus rapides. Ils l’ont arrêté dans l’allée Manouchian. Cet homme de 21 ans a été confié à la police judiciaire qui, au vu de la quantité de drogue saisie (2,1 kg), est chargée de l’enquête. Ce jeudi, l’homme de 21 ans était toujours en garde à vue.

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Publié le 24 Mars 2016

Une femme d’Aulnay-sous-Bois en burka brûle une bible et est arrêtée par la police

Elle n’aura qu’une amende à payer… Mercredi, à 17 h 30, des policiers sont intervenus sur une scène, qui interpelle.

Quai de la Râpée (XIIe), face à la péniche la Barge, ils ont découvert une femme, de dos, face à la Seine, toute vêtue de noir, entièrement voilée, en train de brûler un livre.

Les policiers se rapprochent « discrètement ». « Vu le contexte actuel de menaces terroristes », ils décident de « maîtriser » et « menotter » la femme. Après une palpation de sécurité pour vérifier si elle n’était pas armée — vérification qui s’est avérée négative — les policiers retirent la burka afin de pouvoir établir son identité. La femme, âgée de 34 ans, domiciliée à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) est porteuse d’une photocopie de son passeport français. Les policiers éteignent le feu qui se consume le livre et découvert qu’il s’agit d’une Bible. Interrogée sur son geste, la femme répond qu’elle se sent « persécutée ». « On s’est demandé si c’était une personne dérangée », relativise une source policière. Ramenée au commissariat, le parquet ordonne de conduire la femme à l’hôpital de Hôtel-Dieu afin de la soumettre à un examen de comportement. Un internement à l’IPPP (infirmerie de la préfecture de police) étant un moment envisagé. Au final, la femme est jugée saine d’esprit. Elle est verbalisée pour port du voile mais le parquet n’a pas retenu d’infraction pour l’incendie et la dégradation.

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Publié le 15 Mars 2016

La faillite du syndic MP Immo à Aulnay-sous-Bois met les copropriétés en galère !

Au moins douze copropriétés de Seine-Saint-Denis sont plongées dans un véritable imbroglio depuis la démission, en mars dernier, puis la liquidation judiciaire de leur syndic, MP Immo.

Installé à Aulnay-sous-Bois, ce cabinet gérait 42 immeubles, principalement en Seine-Saint-Denis. Son départ, sans préavis, n’était déjà pas dans les règles. La suite est encore pire pour les habitants.

Parmi eux, les propriétaires de la rue Saint-Denis à Noisy-le-Sec. Depuis 2014, leur immeuble est frappé de péril : des insectes xylophages infestent le bois des charpentes et des poutres. Les appartements tombent en ruine et pourtant la situation est complètement bloquée. La raison : toutes les archives de la copropriété ont disparu après la démission du syndic MP Immo. «Sans le dossier, impossible d’avancer sur les travaux », explique une source qui suit l’affaire.

Article complet du journal Le Parisien à lire en cliquant : ici

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Publié le 14 Mars 2016

Le département du 93 supprime 780000 euros d’aide au fonctionnement des crèches municipales à Aulnay-sous-Bois !

Le Blanc-Mesnil a fait ses comptes. Alors que le conseil départemental vient de voter un budget amputant de 9 M€ les aides aux crèches municipales, la ville dirigée par Thierry Meignen (LR) crie au scandale.

Au total, 281 866 € de subventions perçues par Le Blanc-Mesnil vont être supprimées. Des subventions «destinées aux crèches Fregossy, Rosenberg, Famisol et celle des Tilleuls », écrivent ainsi, dans un communiqué, le maire, Christine Cerrigone, conseillère départementale, et Vijay Monany, conseiller départemental. «La gauche départementale fait payer sa mauvaise gestion à nos familles et leurs bébés », attaque Thierry Meignen tandis que ses collègues dénoncent une «décision injuste».

D’autres communes sont également touchées par la baisse de ces aides au fonctionnement des crèches municipales. Parmi elles, Saint-Denis perd 877000€, Aulnay-sous-Bois 780000€, Les Pavillons-sous-Bois 280000€ et Stains 100000€…

Lors de la séance du conseil départemental jeudi dernier, le président PS Stéphane Troussel expliquait que «les dépenses de fonctionnement des crèches municipales ne sont pas de la compétence du département ». Si le département versait ces aides jusqu’à présent, «c’est parce que nos finances nous le permettaient, ce qui n’est plus le cas aujourd’hui », a-t-il ajouté.

La mesure a d’ailleurs créé des dissensions dans la majorité. Jeudi, lors du vote du budget, deux vice-présidents Front de gauche se sont abstenus pour marquer leur opposition à cette décision.

Source article : Le Parisien

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Publié le 13 Mars 2016

Un violent incendie s’est déclaré ce dimanche matin, vers 9h30, dans un immeuble situé au niveau du Galion, dans le quartier des 3 000 à Aulnay-sous-Bois.

Trois blessés légers dans l’incendie du Galion à Aulnay-sous-Bois

Le feu a démarré dans des locaux de bureaux de 300m² de la galerie Surcouf, au premier étage d’un bâtiment de cinq étages composé de commerces et d’habitations. Trois habitants ont été légèrement intoxiqués par les fumées, une dizaine d’autres ont été évacués et six familles ont été relogées. 72 sapeurs-pompiers ont été mobilisés sur place, ainsi que quinze engins, jusqu’à l’extinction de l’incendie, peu après midi. Les raisons du sinistre ne sont pas encore connues. Une enquête a été ouverte.

Source article : Le Parisien

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Publié le 10 Mars 2016

Avis de recherche pour un garçon de 6 ans à Villepinte

La police est à la recherche d’un petit garçon de 6 ans, disparu depuis mardi 8 mars. La dernière à l’avoir vu est sa nounou. Elle l’accompagnait à l’école mardi, mais il a semble-t-il dévalé les escaliers plus vite qu’elle, et lorsqu’elle est sortie de l’immeuble, il avait disparu. Policiers locaux et enquêteurs de la Sûreté territoriale ont été co-saisis pour le retrouver.

Aucune alerte enlèvement n’a été diffusée, la piste intrafamiliale étant privilégiée. L’enfant et sa mère sont recherchés.

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Publié le 6 Mars 2016

Deux policiers blessés après un contrôle à La Courneuve

Vendredi soir, deux policiers ont été légèrement blessés à la Courneuve. Ces hommes de la brigade spéciale de terrain (BST) tentaient de contrôler un jeune homme, dont tout portait à croire qu’il participait à un trafic de drogue.

Il s’y serait opposé, soutenu par une connaissance qui a ameuté du monde, une trentaine de personnes de l’avis de policiers.

La Brigade anti-criminalité est arrivée en renfort. Deux fonctionnaires ont été blessés, l’un souffre d’une double fracture à la main. Deux jeunes gens ont été interpellés, et conduits à l’hôpital eux aussi. Lors de l’intervention, les policiers ont fait usage de pistolets à impulsions électriques.

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Publié le 2 Mars 2016

Le projet de bénévolat pour les bénéficiaires du RSA porté par Séverine Maroun à Aulnay-sous-Bois irrite Stéphane Troussel !

Un coup de communication, rien de plus !» Stéphane Troussel, président PS du conseil départemental de Seine-Saint-Denis, est agacé. Objet de son courroux : le projet de Séverine Maroun, élue LR à Aulnay, qui veut proposer aux bénéficiaires du RSA, dans sa commune, de faire du bénévolat.

Selon le patron du département, elle se trompe sur toute la ligne. D’abord d’un point de vue technique. Rappelons qu’à Aulnay, dix agents municipaux sont chargés du projet d’insertion des allocataires du RSA, au lieu, habituellement, de fonctionnaires départementaux. C’est précisément sur cette originalité que s’appuie la majorité pour mettre en place son projet.

«Sauf que le RSA est une allocation nationale gérée par les départements, ce sont les départements qui instruisent les dossiers, les transmettent à la CAF pour décision, et la CAF verse ensuite le RSA. Aulnay ne pilote donc pas le RSA», rétorque Troussel.

Il épingle aussi la philosophie du projet. «Etonnament, je n’ai pas entendu la ville d’Aulnay annoncer qu’elle allait demander du bénévolat ou des contreparties aux entreprises qui touchent des aides de l’Etat ou des subventions. Le bénévolat «presque forcé» ne serait bon que pour les pauvres ?»

La renationalisation du RSA, le «vrai débat»

Mais pour lui, le vrai débat est celui de la renationalisation. Car le RSA coûte «140 M€ par an» à la Seine-Saint-Denis. Or, la semaine dernière, le Premier ministre a annoncé «une prise en charge par l’État du financement du RSA, à condition que les départements s’engagent à renforcer l’accompagnement de ses bénéficiaires vers l’emploi». Une bonne nouvelle... qui demande à être étoffée.

Le projet de bénévolat pour les bénéficiaires du RSA porté par Séverine Maroun à Aulnay-sous-Bois irrite Stéphane Troussel !

Ainsi, pour Troussel, «il faut que l’application de cette décision ne fige pas les inégalités entre départements». Car les départements les plus pauvres, comme le 93, supportent bien plus le coût du RSA que les plus riches, car le nombre d’allocataires y grimpe plus vite. «Les habitants du 93 paient 152 € de leur poche pour un RSA de 525 €, quand ceux du 92 n’en versent que 75€», chiffre-t-il. «Le transfert de ressources envisagé par l’Etat doit prendre en compte ce paramètre !»

Troussel souhaite aussi qu’un «fonds d’urgence» soit prévu dès 2016 pour les départements les plus en difficulté.

Source article : Le Parisien

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Publié le 2 Mars 2016

L’homme kidnappé dans un parking souterrain à Pavillons-sous-Bois a été retrouvé

Coup de théâtre ce mardi. Vers 18 h 35, un homme s’est présenté à l’accueil de l’hôtel de police de Bobigny, rue de Carency.

C’est lui que la police judiciaire cherchait ardemment depuis deux jours et deux nuits, saisie d’une enquête pour enlèvement et séquestration.

Ce père de famille avait été enlevé dimanche en début d’après-midi, dans le parking souterrain de sa résidence aux Pavillons-sous-Bois. Il s’est fait agresser entre deux voitures, comme l’ont signalé des témoins aux forces de l’ordre. La victime a aussi été aspergée de gaz lacrymogène avant d’être forcée à monter dans une voiture sombre. Mais lorsque la police est arrivée, il ne restait plus personne. Quelques effets appartenant à la victime avaient été retrouvés, ainsi que sa voiture, avec une vitre brisée. Une tenace odeur de lacrymogène flottait encore dans l’air.

Trois suspects placés en garde à vue

La nuit est passée sans le moindre indice. Pas d’appel, ni de demande de rançon. Les enquêteurs de la PJ immédiatement saisis par le parquet, ont multiplié les recherches, fouillé le passé de la victime pour tenter de trouver qui pouvait lui en vouloir, pour finalement interpeller lundi soir trois suspects, dont une femme, placés en garde à vue.

L’enlèvement pourrait avoir un lien avec un cambriolage. Hypothèse qui devrait être vite éclairée, maintenant que tous les protagonistes présumés sont réunis et pourront être entendus.

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Publié le 29 Février 2016

Enlèvement dans un parking souterrain à Pavillons-sous-Bois !

Aucun appel téléphonique, ni d’explication, ni de demande de rançon. Le mystère reste des plus opaques sur l’enlèvement dont a été victime un père de famille à Pavillons-sous-Bois, ce week-end. Il aurait été enlevé dans le parking souterrain de son immeuble, avenue Jean-Jaurès, à en croire des témoins qui ont donné l’alerte vers 14 h 30. Selon eux, l’homme a été contraint à monter de force dans une autre voiture.

Une odeur de gaz lacrymogène

Lorsque la police est arrivée, plus personne ne se trouvait sur place. Une odeur de gaz lacrymogène persistait sur les lieux. Les forces de l’ordre ont retrouvé une voiture avec une vitre brisée, ainsi que des effets appartenant à la victime. Mais aucun indice sur ses kidnappeurs ni leurs motivations. Une enquête a été ouverte pour enlèvement et séquestration, confiée à la police judiciaire de Seine-Saint-Denis. Les recherches se sont multipliées, tandis que des investigations étaient menées pour comprendre qui pourrait en vouloir à cet homme. Plusieurs endroits ont été contrôlés durant la nuit mais ces recherches n’ont pas permis de retrouver trace de la victime. L’enquête se poursuit.

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Publié le 29 Février 2016

Du bénévolat proposé aux bénéficiaires du RSA à Aulnay-sous-Bois

La municipalité d’Aulnay-sous-Bois l’assure : «Non, on ne veut pas faire comme dans le Haut-Rhin ! » Alors que le département d’Alsace a voté le conditionnement du versement du Revenu de solidarité active (RSA) à des heures de bénévolat obligatoires, la ville dirigée par Bruno Beschizza (LR) réfléchit à un dispositif dédié aux allocataires du RSA bien moins coercitif et se voulant plus innovant. Une charte entre allocataires et associations. Le projet : proposer aux bénéficiaires du RSA d’effectuer sept heures de bénévolat par semaine, dans une association de leur choix. Et ce, sans obligation. Légalement, cela semble possible car la ville gère elle-même le RSA — alors que dans la plupart des communes, c’est le conseil départemental qui pilote ce service. A Aulnay, 3 750 habitants bénéficient du RSA.

«Concrètement, il s’agit pour nos dix agents chargés du suivi des allocataires de les mettre en relation avec certaines associations, qui ont peu de moyens et sont demandeuses de bénévoles », détaille Séverine Maroun, première adjointe (LR) en charge des affaires sociales, à l’origine de l’idée. Ainsi, le bénéficiaire du RSA signe une charte dans laquelle il s’engage notamment à «s’impliquer dans les missions et activités qui lui sont confiées » et «à respecter les horaires et disponibilités convenues […] ».

Article complet du Parisien à lire en cliquant : ici

Source : Le Parisien

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Publié le 28 Février 2016

Deux armes de guerre trouvées dans un jardin au Blanc-Mesnil

Les policiers ont fait samedi une curieuse découverte dans un jardin de l’avenue Descartes au Blanc-Mesnil. Parmi la verdure, ils sont tombés sur deux fusils emmaillotés dans des morceaux de tissu et posés à même le sol aux vues et aux sues de tout le monde.

L’une des armes s’est avérée être un AK 47 ou Kalachnikov l’autre un pistolet-mitrailleur Uzi modèle Skorpio, deux armes de guerre dont la détention est par conséquent prohibée.

Le propriétaire des lieux n’était pas présent au moment de la perquisition. Il est peu vraisemblable que les armes lui appartenaient. Hypothèse plus plausible : les fusils auraient été abandonnés en catastrophe par leurs mystérieux propriétaires.

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Publié le 28 Février 2016

Meurtre d’un enfant de 22 mois à Drancy : la mère le met dans la machine à laver pour effacer les preuves

Une étape supplémentaire dans l’insoutenable a été franchie avec le récit de l’infanticide du petit Haroun, 22 mois, à Drancy. La mère, meurtrière présumée, 28 ans, a reconnu les faits pendant ses 48 heures de garde à vue.

Interrogée dans les locaux de la sûreté départementale depuis mardi dernier, elle avait confirmé les déclarations de son mari. Le petit garçon de 22 mois avait été frappé violemment et projeté au sol. Elle a expliqué l’avoir «boxé ».

Elle a mis le corps inanimé dans le tambour et enclenché un programme

Après s’être déchaînée sur son enfant, elle a révélé un scénario encore plus atroce. Alors que l’enfant ne bouge plus, elle entreprend cet acte insensé. Voulant faire disparaître les traces des violences, elle introduit le petit corps dévêtu dans le tambour du lave-linge puis elle enclenche un programme. Elle sort l’enfant de la machine puis le rhabille et le dépose, inerte, dans son lit.

Lorsqu’elle réalise que l’irréparable a été commis, elle appelle son mari au téléphone. Celui-ci découvrira son bébé couvert d’hématomes, ne bougeant plus. Le père prend le chemin des urgences de l’hôpital privé du Blanc-Mesnil. L’équipe médicale ne peut que constater le décès de l’enfant. L’autopsie révélera que la petite victime était déjà morte quand sa mère l’a jeté dans le lave-linge.

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Publié le 28 Février 2016

Un homme de 62 ans blesse des cambrioleurs à Livry-Gargan à l’aide d’un couteau et d’un fusil M16 !

Deux hommes sont entre la vie et mort après une rixe survenue dans la nuit de vendredi à samedi à Livry-Gargan. La bagarre a éclaté avenue Aristide-Briand vers 1 h 30 du matin. Selon nos informations, un homme de 62 ans s'en serait pris à coups de couteau à trois jeunes qui tentaient de le cambrioler.

Au terme de l’affrontement, deux victimes ont été grièvement blessées au cou et à la tête par des armes blanches. Leur complice présumé a été atteint plus légèrement à la tête. Quant à l'homme de 62 ans, il a été touché plus superficiellement à l’abdomen, au bras et au mollet.

L’un des assaillants avait un fusil d’assaut

Lorsque la police est intervenue pour mettre fin à la rixe, elle a constaté que l’homme le plus âgé était en possession d’un fusil d’assaut de type M16, une arme de guerre prohibée. Après la bagarre au couteau, il était reparti à son domicile pour la récupérer. Les blessés ont été transportés vers différents hôpitaux de Seine-Saint-Denis et de Paris. L’enquête a été confiée au service départemental de la police judiciaire.

Source article : Le Parisien

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Publié le 27 Février 2016

Une mère de famille de Drancy en prison après la mort de son garçon de 22 mois

Ce vendredi la mère infanticide de Drancy a été placée en détention. Pour cet «homicide sur mineur de 15 ans », elle risque la prison à perpétuité. En garde à vue, cette femme de 28 ans aurait reconnu avoir «boxé » son petit garçon de 22 mois.

Précisant qu’elle l’avait «secoué violemment et projeté au sol », indique une source proche de l’enquête. L’autopsie ordonnée a bien confirmé que la petite victime était morte sous les coups. De multiples fractures et un traumatisme crânien ont été constatés.

Elle avait expliqué avoir agi lors d’une crise de démence

Mardi vers 18 h 30, le père s’était présenté aux urgences de l’hôpital privé de la Seine-Saint-Denis au Blanc-Mesnil. Dans ses bras, il tenait le corps sans vie de son bébé. Le petit avait le visage tuméfié et était couvert d’ecchymoses. Les médecins n’avaient pu que constater le décès. Le papa avait déclaré avoir découvert, en rentrant du travail, son enfant dans cet état inanimé sur son lit. Mais il était déjà trop tard.

La mère, qui devait arriver quelques instants plus tard à l’hôpital, avait expliqué être l’auteur des violences et qu’elle avait agi sous le coup d’une «crise de démence ». En garde à vue, elle a réitéré sa version. Le médecin qui l’a examinée n’a pourtant pas constaté de troubles mentaux caractérisés.

Le père a été remis en liberté Vendredi, le père a été remis en liberté.

Aucune charge n’a été retenue contre lui. Il a indiqué que la mère avait déjà martyrisé leur bébé. Mais aucun signalement n’avait été fait auprès des services sociaux. Le petit garçon n’était pas le seul enfant du couple. Ces parents avaient un autre fils de 5 ans qui, ont-ils expliqué, vit en Algérie.

Source article : Le Parisien

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Publié le 25 Février 2016

Un habitant d’Aulnay-sous-Bois impliqué dans des vols à la fausse qualité contre des personnes âgées

C’est en flagrant délit que la BRI de Versailles a interpellé trois malfaiteurs, ce mercredi après-midi, à la sortie du Quick de Villeparisis. Le trio venait de commettre quatre « vols fausse qualité » au préjudice de personnes très âgées, dans le Pas-de-Calais, l’Aisne et la Somme. Pour éviter de mettre en danger les victimes, notamment quand les malfaiteurs sont « à chaud », les policiers ont attendu la fin de leur périple pour les interpeller.

Agés de 47 à 54 ans, ces hommes, dont l’un habite à Chelles et les deux autres à Aulnay-sous-Bois et Pavillons-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), ont été placés en garde à vue dans les locaux de la PJ de Meaux, qui enquêtait sur eux depuis quelque temps. Deux d’entre eux sont déjà connus pour des faits similaires.

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Source article : Le Parisien / Photo d’illustration

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Publié le 24 Février 2016

Un couple de Drancy en garde à vue après la mort de leur enfant de 22 mois

Un couple de Drancy est en garde à vue. Mardi soir, le père s’est présenté dans une clinique du Blanc-Mesnil tenant dans ses bras son enfant de 22 mois inanimé. Hélas ! Il n’y avait plus rien à faire, l’enfant était mort.

Son corps était couvert de bleus. Il avait visiblement été battu. Le père aurait mis en cause son épouse. Le commissariat a été saisi de l’enquête. Les deux parents ont été interpellés et placés en garde à vue.

Source article : Le Parisien / Image d’illustration

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Publié le 20 Février 2016

Jambisation ou comment les trafiquants de drogue règlent leurs comptes en mutilant leurs victimes dans le 93

"A Marseille, on tue. Ici, on mutile: une ou plusieurs balles dans les jambes, c'est une particularité locale." En Seine-Saint-Denis, les policiers ont désormais un nom pour désigner les expéditions punitives entre dealers: "jambisation".

Quand il a épluché la base de données qui recense les blessés par arme à feu dans ce département populaire de banlieue parisienne - 33 en 2015 -, Frédéric Adnet, chef du Samu 93, est tombé de l'armoire. "Cuisse, cuisse, jambe, genou -deux impacts-, genou...", égrène le médecin. "Le nombre de blessures aux membres inférieurs est... frappant."

Rien qu'entre fin janvier et début février, la même scène s'est jouée à trois reprises.

Stains, haut lieu du trafic de drogue du département, 30 janvier: en pleine nuit, un tireur cagoulé et ganté tire sur un jeune homme au pied d'un immeuble. Au niveau d'un genou. Cinq jours plus tard, une deuxième victime est atteinte à une cuisse. "Match retour", dira la police.

Entre-temps, à Saint-Denis, un troisième homme est touché à un pied par deux projectiles tirés par un agresseur en voiture, en pleine journée. Avec cette fois une victime collatérale: sa fille de 12 ans, légèrement blessée à un coude.

Des enquêtes sont en cours. Mais pour un membre de la police judiciaire, "pas de doute, on est dans une nouvelle série de +jambisations+, après la trêve de l'état d'urgence", instauré après les attentats du 13 novembre.

"Désormais, en Seine-Saint-Denis, on donne des leçons en mutilant, dit-il. Pourquoi? En terme d'exemplarité, c'est plus efficace: un mec qui disparaît, au bout de 15 jours, on l'oublie. Alors que celui qui se trimballe dans la cité avec des béquilles ou en fauteuil roulant, c'est autre chose."

Autre hypothèse avancée: "Pour coups et blessures avec armes, les auteurs ne risquent pas les assises. Et donc pas de lourdes peines".

Et le fonctionnaire, "sidéré par ces actes punitifs", d'ajouter: "Il y a dix ans, au Clos Saint-Lazare, à Stains, les mecs se flinguaient à la pelle. Ça a complètement disparu".

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Source article : http://www.ladepeche.fr / Image d'illustration

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Publié le 20 Février 2016

M’hammed Henniche est secrétaire de l’Union des associations musulmanes du 93 qui regroupe une partie des acteurs du culte musulman. Selon lui, «le département est enfin dans une bonne dynamique de construction de mosquées malgré un retard important. »

Comment s’explique ce retard ?

M’hammed Henniche. Bondy a été la première ville de Seine-Saint-Denis à accueillir une mosquée. J’entends par là un lieu de culte construit avec la volonté affichée d’en être un. C’était en 2005, longtemps après les premières ouvertures en France. Au-delà de la problématique financière — la construction d’une mosquée coûte cher — ce retard s’explique par des raisons politiques. Un projet de mosquée se réalise au moins sur deux mandats, il a besoin de stabilité or certaines villes n’en ont pas toujours eue. Il faut ajouter que les mairies ont souvent eu peur de braquer tout le monde avec de tels projets : une société française qui ne serait pas prête mais aussi une communauté musulmane — qui représente un électorat important en Seine-Saint-Denis — à cause des divisions et des tensions que cela peut provoquer, comme c’est le cas à Noisy-le-Sec.

Le nombre des mosquées est-il insuffisant ?

Il manque surtout des mosquées dignes de ce nom. Beaucoup ont été aménagées dans l’attente d’une «vraie » mosquée, dans des lieux inadaptés ou trop petits. A Romainville, par exemple, l’une d’entre elles s’est installée dans une ancienne entreprise où il y a un transformateur électrique, c’est dangereux. Par manque de place, certaines n’ont pas d’espace pour les femmes qui se retrouvent les plus lésées. Un peu par la force des choses, ces lieux de culte ont été reconnus officiellement mais nous ne pouvons pas en rester là. Il faut défendre des projets aux yeux de tous et en bonne et due forme.

Pourtant, les projets semblent se multiplier aujourd’hui…

Aujourd’hui, le sujet est définitivement sur la table. Des projets se débloquent un peu partout. Au moins douze sont en cours. Selon moi, dans dix ans, on ne parlera plus de construction de mosquées. Elles seront toutes terminées.

Source article : Le Parisien / Vidéo : Aulnaylibre !

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Publié dans #93 Infos

Publié le 19 Février 2016

Un homme de 25 ans violente une femme pendant des semaines à Aulnay-sous-Bois et Bondy

Un homme de 25 ans a été arrêté jeudi soir et placé en garde à vue pour avoir violenté plusieurs semaines durant, celle dont il était supposé être le compagnon. Leur idylle était récente, elle s’est transformée en cauchemar à constater l’état dans lequel la jeune femme de 22 ans a été trouvée. Elle s’est vue prescrire 60 jours d’ITT (incapacité totale de travail).

La mère de la jeune fille l’a aidée à fuir

Maltraitée, molestée, la jeune femme s’est présentée dans un grand état de choc psychologique aux services de police. D’emblée l’enquête a été ouverte pour violences avec séquestration. Les faits se seraient produits dans plusieurs appartements, à Aulnay et Bondy. L’homme exerçait manifestement une importante emprise psychologique sa victime.

C’est la mère de la jeune femme qui aurait permis à sa fille de fuir, prétendant qu’elle devait urgemment se rendre au chevet d’un parent. Finalement, la jeune femme, a été conduite à l’hôpital, puis auprès de la sûreté territoriale, à Bobigny, à qui l’enquête a été confiée. Le «compagnon » a été interpellé peu de temps après. Les policiers ont dû attendre un peu pour l’interroger puisqu’il était en état d’ébriété au moment de son arrestation. Il est déjà connu pour des violences conjugales.

Source article : Le Parisien / Image d’illustration

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Publié dans #93 Infos

Publié le 18 Février 2016

«Que les habitants sachent de quoi ils parlent, avant de donner leur avis ! » Voilà l’idée fixe d’Alain Boulanger et Bernard Loup, co-présidents du Collectif pour le triangle de Gonesse (CPTG). Opposés à Europa City — projet de centre-commercial pharaonique, qui pourrait voir le jour d’ici 2024 à Gonesse (Val-d’Oise), en bordure de la Seine-Saint-Denis — les deux hommes lancent des réunions publiques à destination du grand public. La première aura lieu ce jeudi 18 février à Villiers-le-Bel (Val-d’Oise), une autre le lundi 7 mars, à Aulnay.

«Le but est d’informer les riverains sur les différents aspects du projet, avant que ceux-ci ne participent aux réunions de la commission nationale du débat public, la procédure obligatoire qui démarre le 17 mars », résume Alain Boulanger, ex-élu à Aulnay. «Certains diront que ces rencontres font doublon avec le débat public, nous pensons au contraire que c’est pertinent », assume-t-il. Surtout, le duo veut montrer que leurs arguments contre le projet ne se limitent pas à l’écologie et au problème de la disparition de terres agricoles.

L’opposition au projet de centre commercial Europa City à Gonesse ne faiblit pas

Quid des emplois locaux ?

230 000 m², 500 commerces, une piste de ski, peut-être un cirque… Europa City s’annonce gigantesque et très énergivore. «Les porteurs du projet évoquent la création de 11 500 emplois, c’est même un argument censé faire taire les détracteurs », note Bernard Loup, associatif du Val-d’Oise. «On oublie une chose : quid des commerces des villes avoisinantes ? »

Ainsi, le CPTG réclame une étude estimant le nombre de destructions d’emplois engendrées par Europa City. «Il est évident que des commerçants vont fermer, tonne Alain Boulanger. Quand un consommateur a 10 € à dépenser, il ne le fait pas à deux endroits ! »

Par ailleurs, si les élus du Val-d’Oise sont favorables au projet, ceux du 93 sont contre. Une satisfaction pour le CPTG : «Lors du dernier conseil territorial de Paris, terres d’envol, l’assemblée a voté pour la création d’un document où les élus formalisent leur opposition à Europa City. »

Que pense la commission nationale du débat public de ces réunions préparatoires ? «Cela présente l’intérêt de mobiliser les gens sur le débat, reconnait Claude Brévan, qui va piloter le débat public. A l’issue, on aura des gens qui connaissent bien le dossier. »

Lundi 7 mars, 19 heures, salle Chanteloup à Aulnay-sous-Bois. Entrée libre.

Source article : Le Parisien / Source photo : https://www.debatpublic.fr/

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Publié le 15 Février 2016

Le 93 tente de préserver les jeunes de la radicalisation djihadiste

La radicalisation de ses jeunes est un sujet sensible en Seine-Saint-Denis. Samy Amimour, terroriste du Bataclan, a grandi à Drancy, Hasna Aitboulahcen, tuée dans l’assaut du Raid à Saint-Denis, vivait à Aulnay, tout comme les frères Belhoucine, complices présumés des attentats de janvier, et probablement tués dans les rangs de Daech en Syrie.

Sur les 156 jeunes Français morts dans les rangs des djihadistes, une trentaine viendrait du 93. Et près d’un quart des signalements en Ile-de-France émanent de ce département (420 sur 1700). Les chiffres datent de l'automne 2015 et le 93 est, de loin, le département de la région Ile-de-France où les signalements de radicalisation sont les plus nombreux. Deux fois plus qu'à Paris, par exemple. Ceux qui appellent le numéro vert* —mis en place, en novembre 2014, par le ministère de l’intérieur pour signaler précisément ce type de situation— sont le plus souvent des parents inquiets d'un changement brutal de comportement de leur enfant, converti dans la moitié des cas. Les jeunes signalés sont majoritairement âgés de 15 à 21 ans. «On note aussi une hausse significative du nombre de jeunes filles », ajoute une source départementale.

Article complet à lire en cliquant : ici

Source article : Le Parisien

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