finances

Publié le 13 Novembre 2019

Hier soir, en mairie d’Aulnay-sous-Bois, s’est déroulée la remise des bourses au permis de conduire. 53 jeunes Aulnaysiens âgés de 18 à 30 ans présentant un projet de formation et d’insertion nécessitant une mobilité ont pu en bénéficier cette année.

 

162 jeunes d’Aulnay-sous-Bois ont bénéficié d’une bourse au permis de 1000 euros depuis 2017

Ce dispositif vise à aider les jeunes dans l’obtention du permis à travers une aide financière de 1000 euros en échange de 70 heures d’engagement citoyen dans une association.

Depuis sa mise en place en 2017, la bourse au permis a bénéficié à 162 jeunes d’Aulnay-sous-Bois. La prochaine session ouvrira en janvier 2020.

Source information et photo : compte Twitter de Séverine Maroun

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Finances

Publié le 5 Novembre 2019

A l'approche des élections municipales de mars 2020, Le Parisien a passé au crible la gestion de 41 villes clés en Ile-de-France et dans l'Oise, dont cinq en Seine-Saint-Denis. Nous avons analysé trois promesses de campagne de 2014. Ont-elles été tenues ? Qu'en pensent les habitants ? Que dit l'opposition ? Que répond la municipalité ? Focus sur Aulnay-sous-Bois.

Dirigée par l'ancien policier Bruno Beschizza (LR), l'équipe victorieuse en 2014 à Aulnay-sous-Bois avait axé sa campagne sur la sécurité, la reconversion de la friche PSA - désertée par l'usine automobile de 3 000 ouvriers - et la stabilité des impôts.

Le maire d’Aulnay-sous-Bois Bruno Beschizza tient ses promesses : ne pas augmenter les impôts locaux

1. Ne pas augmenter les taux d'impôts locaux : promesse tenue

« Je ne demande pas grand-chose de plus au maire : qu'il ne s'enflamme pas avec mes impôts ! » Croisé à la sortie du Franprix de la Rose-des-Vents, Hamid, quadragénaire employé dans un garage, se félicite que les taxes locales n'aient pas augmenté. Comme la plupart des habitants. « C'est le plus important : le coût de la vie est tel qu'on ne peut pas se permettre de payer plus d'impôts, même 50 € », résume une mère de famille.

Mais d'autres habitants, dans le sud pavillonnaire, tempèrent. « Pas plus d'impôts, ça oblige la ville à rogner sur certains services, ou en augmenter d'autres. Le coût du périscolaire, par exemple, a explosé », regrette Jérôme, papa de deux ados.

C'est ce que dénonce l'opposition. « Les impôts n'ont pas augmenté depuis 2003 », grince Guy Challier (PS), maire adjoint sous la précédente équipe socialiste, battue en 2014 par Bruno Beschizza, qui avait récolté 60 % des voix au second tour. Pour lui, la stabilité des impôts est un leurre : « Cantine, périscolaire, structures culturelles : tout a augmenté ! »

Côté LREM, le candidat Benjamin Giami (LREM) ajoute que « si l'impôt n'augmente pas, la dette est toujours en hausse ». Dans son dernier rapport, la Chambre régionale des comptes (CRC) souligne que si la dette augmente moins vite depuis 2014, elle a toutefois atteint un niveau critique : 129 M€ en 2017. « Cela se transformera en impôts pour nos enfants ! », critique Benjamin Giami.

La réponse du maire (LR) Bruno Beschizza : « Promesse tenue, alors que les conditions se sont aggravées, avec la baisse des dotations d'Etat, soient 26 M€ en moins pour Aulnay en trois ans », insiste l'édile. Qui assure : « Si l'on veut installer des classes moyennes dans nos villes de banlieue, il faut éviter à tout prix le matraquage fiscal ! »

Source article : journal Le Parisien / Source photo : site internet de la ville d’Aulnay-sous-Bois

 

 

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Finances

Publié le 1 Août 2019

Sans que l’on sache réellement pourquoi, peut-être est-ce parce que beaucoup sont en vacances et ont donc la tête ailleurs, le 1er août 2019 apporte son long de changements. Parmi eux notamment, l’augmentation du prix de l’électricité. Après la hausse record de 5,9% au 1er juin, c’est une nouvelle hausse de 1,23% qui entre en vigueur aujourd’hui. En 10 ans, le prix de l’électricité aura augmenté de 50% ! C’est décidemment de plus en plus cher d’avoir la lumière !

Tout ce qui change le 1 août 2019 : le prix de l’électricité continue d’exploser !

Les autres changements sont accessibles en cliquant sur l’article : ici.

Source image : https://www.rouchenergies.fr

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Finances

Publié le 29 Mai 2019

Les 18-30 ans qui souhaitent bénéficier d’une aide au permis de conduire, accordée en contrepartie d’un engagement associatif, ont entre le 3 et le 14 juin pour faire acte de candidature.

Parce que le permis constitue un atout important d’accès à l’emploi et à l’autonomie, la Ville d'Aulnay-sous-Bois et l’Établissement public territorial (EPT) Paris Terres d’Envol, avec la participation du Programme d’Investissements d’Avenir (PIA), financent, à hauteur de 1 000 €, l’obtention du permis pour les jeunes Aulnaysiens âgés de 18 à 30 ans.

En contrepartie, les personnes qui seront retenues en ayant motivé l’utilité du permis dans leur parcours professionnel et personnel doivent s’engager bénévolement pendant 70 heures, dans une activité citoyenne menée au sein d’une association.

Les dossiers de candidature sont à retirer et à retourner à l'accueil de la Direction de l'éducation au 22 Boulevard Gallieni, du 3 au 14 juin. Une commission chargée d’étudier les dossiers se réunira à l’issue de cette période.

Retrait des dossiers :
À l'accueil de la Direction de l'éducation
Adresse : 22 Boulevard Gallieni
Horaires :
Du lundi au vendredi, de 8h30 à 12h - 13h30 à 17h30.

 

Source information, photo et vidéo : site internet de la ville d’Aulnay-sous-Bois

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Finances

Publié le 9 Mai 2019

C’était une promesse de campagne du maire Bruno Beschizza en 2014 : ne pas augmenter la taxe d’habitation et la taxe foncière à Aulnay-sous-Bois.

En 2019, force est de constater que cet engagement a été tenu puisque les impôts locaux n’ont pas augmenté dans notre commune depuis 5 ans.

Pas d’augmentation des impôts locaux depuis 2014 : le maire Bruno Beschizza préserve l’attractivité fiscale d’Aulnay-sous-Bois

Malgré la cure d’austérité imposée aux collectivités locales par les présidents de la République, François Hollande et Emmanuel Macron, qui s’est traduite par une baisse des dotations de l’Etat de 25 millions d’euros en défaveur de la ville d’Aulnay-sous-Bois, les efforts de bonne gestion impulsés par le maire Bruno Beschizza ont payé.

Ainsi, l’attractivité fiscale de la commune est plus que jamais préservée. En effet, Aulnay-sous-Bois est la 2ième ville la plus attractive de Seine-Saint-Denis sur la taxe foncière avec un taux de 14,40% et la 13ième ville la plus attractive de Seine-Saint-Denis sur la taxe d’habitation avec un taux de 25,05%.

Pas d’augmentation des impôts locaux depuis 2014 : le maire Bruno Beschizza préserve l’attractivité fiscale d’Aulnay-sous-Bois

Robert Ferrand

Source image 1 : compte Twitter de la ville d’Aulnay-sous-Bois / Source image 2 : journal Le Parisien

Voir les commentaires

Rédigé par Robert Ferrand

Publié dans #Finances

Publié le 2 Mai 2019

La ville d’Aulnay-sous-Bois a décidé d’accompagner ses employés dans leurs démarches. Une centaine de personnes sont concernées.

Deux millions de personnes ne touchent pas la prime d’activité alors qu’elles y ont droit. C’est la raison pour laquelle le maire (LR) d’Aulnay-sous-Bois, Bruno Beschizza, a mis en place un accompagnement personnalisé pour les agents municipaux qui souhaitent la recevoir. Concrètement, « une cellule composée de deux assistantes sociales a vérifié la situation des 300 agents ayant les rémunérations les plus basses », indique la municipalité.

Depuis janvier, elle a reçu 182 agents en entretiens individuels et parmi eux, 105 ont été désignés éligibles. Le montant moyen de leur prime s’élèvera à 185€ (500€ pour la plus importante, contre 23€ pour la moins élevée). Pour les agents qui ne sont pas concernés par le dispositif, la mairie prévoit « d’examiner individuellement la situation de tous les agents qui gagnent moins de 1 500 euros nets par mois ».

Source article et photo : journal Le Parisien

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Finances

Publié le 2 Avril 2019

Bruno Beschizza soumet ce mercredi au vote du conseil municipal le dernier budget du mandat. Entre baisse de dotations d’Etat et fiscalité stable.

Un dernier budget en forme de bilan, pour lancer la campagne des municipales de 2020. Ce mercredi 3 avril, le conseil municipal d’Aulnay-sous-Bois doit délibérer sur les finances de la ville pilotée par Bruno Beschizza (LR), dont la candidature à sa réélection ne fait aucun doute. Et le leitmotiv n’a pas changé : « Dépenser mieux… avec moins », martèle l’édile, à quelques heures de soumettre son budget aux élus, répétant que la baisse des dotations de l’Etat lui coûte 26 M€ sur cinq ans. « Soit cinq années de réfection des nids-de-poule ! »

Moins d’investissements, mais « plus structurants ». Bruno Beschizza égrène : un équipement multimodal qui doit ouvrir d’ici à la fin de l’année à Balagny, la nouvelle place Abrioux, l’installation de nouvelles caméras de vidéosurveillance - portant leur nombre à plus de 300 - ou encore l’école Louis-Barrault, prévue pour la rentrée de septembre.

« On investit moins qu’avant, c’est la trajectoire globale des budgets aujourd’hui. L’argent ne coule plus à flots ! Mais on investit mieux, sur des équipements structurants », estime le maire.

Pas de hausse d’impôts. « Un engagement de campagne tenu, malgré une situation budgétaire très détériorée à notre arrivée », tacle Bruno Beschizza. Parmi les postes d’économie, les dépenses de fonctionnement. « En 2019, nous sommes redescendus sous le niveau des dépenses de 2009, soit 153,8 M€ contre 154,2 M€ à l’époque », se félicite la ville, qui explique ces baisses, notamment, par des « économies structurelles » sur la masse salariale, pointant une réduction des charges de personnel de 700 000 €.

Hausse des prestations assumées. Quid de certaines prestations dont le prix a augmenté, comme la cantine, ou du tarif de la future piscine ? « C’est assumé. Les choses ont un prix. J’estime que le prix plancher de 1,25 € par repas pour un enfant, c’est légitime », dit l’édile. Qui, à propos de la future piscine - dont le prix d’entrée sera de 4,80 € pour un habitant, soit 1 € de plus que pour l’ancien stade nautique - rappelle que « ses prestations seront vingt fois supérieures ».

« Un quotient familial plus respectueux des familles monoparentales a aussi été mis en place », ajoute le cabinet de l’édile.

L’en-cours de dette à 132 M€. Sujet sensible ! Sur les documents du débat d’orientations budgétaires, figure une projection sur l’en-cours de cette dette à 2022 : 154 M€. Un chiffre à prendre avec « prudence », conseille l’entourage du maire, qui rappelle que pour l’exercice 2019, « tout dépendra des emprunts de fin d’année liés à la réalisation des opérations d’investissements ».

En 2018, la dette effective était de 132 M€ soit 29 M€ de plus qu’en 2014. « Si on met cette évolution en perspective avec la baisse de la DGF qui a grévé les finances de la ville de 26 M€, alors, à dotations constantes, l’en-cours n’aurait progressé que de 3 M€ en cinq ans », rappelle le camp Beschizza.

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Finances

Publié le 25 Janvier 2019

Selon un sondage dévoilé hier, plus de la moitié des dirigeants de PME compte accorder une prime à leurs salariés. En pleine crise des gilets jaunes, Emmanuel Macron avait demandé un effort pour les revenus les plus faibles.

Certains vont plus loin, comme Didier Riahi. Il dirige une PME de 85 salariés basée à Aulnay-sous-Bois. Il a fait une bonne année 2018 et il veut que ses salariés en profitent. Ceux qui touchent moins de 2.000 euros ont touché la prime exceptionnelle défiscalisée : 300 à 1.000 euros selon les revenus. Un vrai plus pour le pouvoir d’achat.
En janvier, un tiers des salariés a été augmenté au cas par cas selon le mérite personnel. C’est plus que les autres années où ce sont généralement 10 à 15 % des effectifs qui voient leur bulletin de paie gonflé.


 

Le journal Le Parisien évoque également l’entreprise Aulnaysienne dans un article à lire en cliquant : ici

Article complet de France 3 régions à lire en cliquant :

Source information : https://france3-regions.francetvinfo.fr

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Finances

Publié le 31 Décembre 2018

SALAIRES, REVENUS

- Le Smic horaire passe de 9,88 à 10,03 euros brut (+1,5%), et le Smic mensuel de 1.498 à 1.521 euros sur la base de 35 heures hebdomadaires. En net, la hausse sera de 16 euros à 1.204 euros.

- Les heures supplémentaires seront exonérées de cotisations salariales et d'impôt sur le revenu jusqu'à 5.000 euros nets par an. Tous les salariés, y compris les fonctionnaires, pourront en bénéficier.

 

- La CSG baissera pour 5 millions de retraités. Leur taux de prélèvement passera de 8,3% à 6,6%. La mise en oeuvre pourrait prendre plusieurs mois et les bénéficiaires seront remboursés rétroactivement.

- La prime d'activité va augmenter de 90 euros et sera élargie de 3,8 à 5 millions de foyers éligibles. Les CAF verseront cette prime revisitée à partir du 5 février, y compris aux nouveaux allocataires s'ils font une demande avant le 25 janvier.

RETRAITES

- Les retraites de base seront revalorisées de 0,3%, nettement moins que l'inflation. Cette sous-indexation concerne aussi certains régimes complémentaires (travailleurs indépendants, salariés du BTP, contractuels de la fonction publique), ainsi que les pensions d'invalidité et les prestations pour accident du travail ou maladie professionnelle.

- Les cotisations retraite des salariés du privé vont augmenter légèrement, sans ouvrir de droits supplémentaires sur leurs futures pensions. Ils seront en outre incités à travailler plus longtemps, jusqu'à 63 ans au moins, via un nouveau système de "bonus-malus".

ÉNERGIE

- Baisse des tarifs réglementés du gaz de près de 2%

- Le chèque énergie sera augmenté de 50 euros et bénéficiera à 5,8 millions de ménages pour payer leurs factures d'énergie ou des travaux de rénovation énergétique.

FISCALITÉ

- Le prélèvement à la source est mis en place et se concrétisera sur les feuilles de paye des 38 millions de foyers français concernés fin janvier. Les taux prélevés ont été révélés en avril-mai dernier. Chez les salariés, l'impôt sera prélevé directement par l'employeur: il apparaîtra sur la fiche de paie au même titre que les cotisations sociales. Chez les retraités, la collecte sera réalisée par les caisses de retraite. Les travailleurs indépendants verseront un acompte mensuel ou trimestriel, calculé par l'administration en fonction de leurs revenus des mois précédents, puis ajusté selon leurs revenus effectifs.

TRAVAIL

- Le compte personnel de formation sera désormais alimenté en euros et plus en heures. Ce sera à hauteur de 500 euros par an (800 euros pour les peu qualifiés et handicapés) dans la limite de 5.000 euros (8.000 euros). Les heures déjà acquises sont converties au taux de 15 euros.

- Réforme de l'apprentissage: la limite d'âge maximum passe de 26 à 29 ans. La durée du travail des apprentis est assouplie. Création d'une aide unique pour les entreprises de moins de 250 salariés. Aide au permis de conduire de 500 euros pour les apprentis qui pourront entrer en formation tout au long de l'année.

SANTÉ, ENVIRONNEMENT

- Le prix de vente des prothèses auditives sera plafonné à 1.300 euros. Le remboursement minimum par la Sécu et les mutuelles passera de 199,71 à 300 euros. Pour les enfants jusqu'à 20 ans révolus, ces deux montants seront alignés à 1.400 euros.

- La "participation forfaitaire", non remboursée par l'Assurance maladie, passera de 18 à 24 euros pour certains actes médicaux coûteux (120 euros et plus).

- L'achat, l'usage et le stockage de produits phytopharmaceutiques (pesticides de synthèse) seront interdits aux particuliers et jardiniers amateurs. Les produits pourront être récupérés pour retraitement par les filières de recyclage spécialisées.

PROMOTIONS

 

- Les promotions sur les produits alimentaires dans la distribution ne pourront pas excéder 34% du prix de vente au consommateur. De facto, les promotions du type "un acheté, un gratuit" seront donc interdites au profit des "deux achetés, un gratuit".

ÉLECTIONS

- L'inscription sur les listes électorales sera désormais possible via internet et jusqu'au 31 mars, pour pouvoir voter aux élections européennes du 26 mai.

Source : https://www.ladepeche.fr

 

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Finances

Publié le 21 Décembre 2018

Lors du conseil municipal du mercredi 19 décembre 2018 un projet de réhabilitation du Presbytère et des abords de l’église Saint-Sulpice d’Aulnay-sous-Bois a été présenté.

Projet de réhabilitation du Presbytère et des abords de l’église Saint-Sulpice à Aulnay-sous-Bois

Le coût des travaux échelonnés sur une période de 3 ans est estimé à 1 million d’euros. Afin d’alléger la participation financière de la commune dans cette opération, les élus ont autorisé le maire, Bruno Beschizza, à lancer une recherche de fonds auprès de mécènes privés.

Source information et image : compte Twitter de la ville d’Aulnay-sous-Bois

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Finances

Publié le 5 Novembre 2018

La nouvelle fondation de la banque américaine consacrera son premier programme au département français, afin d'y favoriser le développement de compétences professionnelles et des petites entreprises.

JPMorgan investit en Seine-Saint-Denis. La première banque américaine va consacrer 30 millions de dollars (26 millions d'euros) sur cinq ans dans le département, ainsi que dans d'autres zones de banlieue parisienne marquées par un fort taux de chômage et de pauvreté.

Objectif : financer des programmes de développement de compétences professionnelles et des petites entreprises, indique la banque dans un communiqué adressé à l'agence Reuters.

Ces 30 millions de dollars s'inscrivent dans le cadre de la nouvelle fondation de la banque annoncée en septembre et baptisée « Advancing Cities ». Cette initiative prévoit d'investir 500 millions de dollars sur cinq ans dans une trentaine de villes, dont certaines en dehors des Etats-Unis, à l'instar de programmes similaires que la banque a déjà menés à Détroit, Chicago et Washington.

Jamie Dimon à Pantin mardi

Le PDG de la banque Jamie Dimon sera mardi matin à Pantin, à la Maison des Compagnons du devoir, pour lancer ce premier programme de la nouvelle fondation, d'après « Le Figaro  ». Au moins deux membres du gouvernement sont également annoncés - Muriel Pénicaud, ministre du Travail, et Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d'Etat auprès du ministre de l'Economie -, ainsi que des responsables politiques locaux, des chefs d'entreprise et des responsables d'associations.

JPMorgan investit déjà en Seine-Saint-Denis par le biais de programmes comme  le « school challenge » , destiné à susciter des vocations d'ingénieurs parmi les lycéens. La décision du PDG d'investir dans le département a été notamment motivée, selon « Le Figaro », par la perspective des  Jeux Olympiques de 2024 à Paris .

 

Source article : Les Echos

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Finances

Publié le 18 Octobre 2018

Dans un article paru dans son édition du 16 octobre 2018 (à lire en cliquant sur l’image ci-dessous), le journal Le Parisien expliquait comment en 5 ans, sur la période 2012 à 2017, la taxe foncière avait progressé de près de 12 % en France.

Bruno Beschizza, le maire qui n’augmente pas les impôts à Aulnay-sous-Bois

A cette occasion, le quotidien publie le palmarés des villes en plus forte hausse. Ne cherchez pas Aulnay-sous-Bois dans cette liste ! En effet depuis 2014, le taux communal de la taxe foncière n’a pas augmenté !

Il s’établit à 14,40 % sur le bâti, soit la 3ième plus basse taxe foncière des 40 villes du département de la Seine-Saint-Denis.

Malgré une baisse sans précédent des dotations de l’Etat de l’ordre de 25 millions d’euros en défaveur d’Aulnay-sous-Bois, soit environ une année d’investissement, Bruno Beschizza a réussi le tour de force de ne pas actionner le levier de la fiscalité.

Ce résultat remarquable a été obtenu par la maitrise des dépenses communales et la recherche d’une qualité optimale du service public envers les habitants.  

Le maire a donc tenu sa promesse de campagne en n’augmentant pas les impôts locaux à Aulnay-sous-Bois.

Robert Ferrand

Voir les commentaires

Rédigé par Robert Ferrand

Publié dans #Finances

Publié le 4 Juillet 2018

Comme vous le savez certainement, le lundi 25 juin 2018 en fin d’après-midi, le ministre de l’action et des comptes publics Gérald Darmanin s’est rendu à l’Hôtel de Ville pour signer un accord de contractualisation entre l’Etat et la commune d’Aulnay-sous-Bois. L’objectif est de s’engager sur un plafond limitatif des dépenses des collectivités locales pour tenter de résorber la dette publique chiffrée actuellement aux alentours de 2 200 milliards d’euros   

Le maire d’Aulnay-sous-Bois Bruno Beschizza n’a évidemment pas attendu la signature de cet accord pour réaliser des économies sur son budget de son fonctionnement depuis 2014, ce que n’a pas manqué de souligner le ministre Gérarld Darmanin qui l’a chaleureusement félicité pour sa bonne gestion financière.

Le leader d’En Marche Aulnay Marc Masnikosa satisfait de la contractualisation entre l’Etat et la ville d’Aulnay-sous-Bois

Le marcheur de la première heure et leader d’En Marche Aulnay, Marc Masnikosa, a pris la pose aux côtés des deux hommes. Il s’est déclaré réjouit par cet accord qui selon lui va dans le bon sens.

On aura noté par ailleurs, l’absence remarquée de Billel Ouadah candidat LREM aux dernières élections législatives.

Pour celles et ceux qui l’auraient manqué, le discours de Gérald Darmanin peut être visionné en cliquant : ici

Robert Ferrand

(Dans un souci de neutralité éditoriale, chère à notre équipe, Marc Masnikosa étant rédacteur en chef d’Aulnaylibre.com c’est Robert Ferrand qui a rédigé cet article).

Source photo : profil Twitter de Marc Masnikosa

 

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Finances

Publié le 1 Juillet 2018

Etrangement on profite toujours du début des vacances d’été pour annoncer des augmentations ! Cette année n’échappe pas à la règle. Ainsi, depuis ce 1er juillet, ce sont les prix du gaz qui remportent la palme de la plus forte augmentation. Ils vont en effet flamber avec une hausse moyenne de 7,45% !

Flambée des prix du gaz au 1er juillet 2018 : hausse record de 7,45 % !

Le prix du tabac devrait lui aussi progresser de 20 à 30 centimes par paquet.

Ce n’est pas avec ces augmentations de prix que nous allons pouvoir remplir nos paniers sur les marchés !

A noter également la mise en place de la limitation de vitesse à 80 km/h sur les routes secondaires. Les radars automatiques sont déjà calibrés pour cette vitesse alors soyez prudents pour éviter l’amende.

Tout ce qui change au 1er juillet 2018 est à retrouver en cliquant : ici

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Finances

Publié le 24 Juin 2018

Bruno Beschizza, maire (LR) d’Aulnay-sous-Bois, reçoit ce lundi Gérald Darmanin, le ministre des comptes publics, pour signer la contractualisation de sa ville.

Négocier, plutôt que subir. C’est le parti pris de Bruno Beschizza, maire (LR) d’Aulnay-sous-Bois, qui reçoit ce lundi soir Gérald Darmanin, le ministre de l’action et des comptes publics, pour signer la contractualisation de sa ville avec l’Etat. En résumé : un « contrat » obligeant la commune à ne pas augmenter de 1,3 % les dépenses de fonctionnement chaque année, jusqu’en 2022, en échange du maintien des dotations d’Etat. Un choix que l’édile sarkozyste assume sans ciller et surtout, sans crier à la « mise sous tutelle ».

« Depuis 2014, j’ai perdu 26 M€ de dotations »

« Si l’on est lucide, on sait que cela fait des années que les budgets des collectivités sont contraints par l’Etat : rigidité salariale des agents, baisse des dotations d’Etat, ou encore obligation d’épargner… A Aulnay-sous-Bois, depuis 2014, j’ai perdu 26 M€ de dotations, l’équivalent de cinq ans d’entretien de voirie », égrène Bruno Beschizza. Qui appuie : « Certains élus peuvent continuer de faire semblant et subir totalement cette contractualisation, mais moi je décide de me mettre à la table des négociations avec l’Etat, de faire du gagnant-gagnant, ne pas subir. »

Et alors que l’Etat a proposé à Bruno Beschizza une contractualisation avec un plafond à 1,5 % plutôt que 1,2 % pour la majorité des villes concernées - en considérant la démographie dynamique d’Aulnay-sous-Bois et des efforts budgétaires déjà enclenchés - l’édile se félicite d’avoir retoqué et misé sur un plafond à 1,3 %.

Concrètement, dans quels domaines sa majorité va-t-elle faire des économies ? « Mes impératifs : garder un haut niveau de service public, ne pas augmenter les impôts, respecter un pacte social avec mes agents, détaille le maire. Partant de là, mon administration met en place une organisation intelligente, réfléchie avec les syndicats. »

Quelques marges de manœuvre

Ainsi, l’une des marges de manœuvre consiste à ne pas remplacer automatiquement un agent partant à la retraite. « Chaque mois, une commission du personnel fait le point sur les demandes des services en matière de remplacement et évalue les besoins », précisent les services de la ville. Par exemple : « Avant, nous avions un directeur de la jeunesse et un directeur de l’éducation, mais aujourd’hui, nous avons un directeur de l’éducation et de la jeunesse ».

« Autre point d’économie : pour la cuisine centrale, nous sommes passés d’un marché global avec un seul prestataire pour toutes les denrées à un système d’allotissement, avec des producteurs qui répondent directement pour chaque denrée. On supprime des intermédiaires », indique encore la direction générale des services.

« J’ai aussi mis fin à des pratiques inutiles : avant 2014, la ville dépensait 40 000 € pour des voyages d’élus dans le cadre de jumelages. Avec moi, c’est 0€ », grince encore Beschizza. Qui ajoute : « Ceux qui disent que c’est sur les services publics qu’on gratte se trompent : en 2018, le budget sport et jeunesse a augmenté de 12,6 % et celui de l’éducation, + 6,18 % ! »

Source article : Thomas Poupeau du journal Le Parisien / Source photo : site internet de la ville d’Aulnay-sous-Bois

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Finances

Publié le 25 Mai 2018

Lors du conseil municipal de mercredi dernier, une délibération concernait la contractualisation entre Aulnay-sous-Bois et l’Etat sur l’objectif de contribution à l’effort de réduction du déficit public et de maitrise de la dépense publique.  

 

A cette occasion les services de l’Etat ont salué les efforts de bonne gestion financière à Aulnay-sous-Bois qui se classe 26ème ville la plus vertueuse sur les 322 communes concernées par la contractualisation.

 

Voilà de quoi valider la trajectoire budgétaire définie en 2014 par le maire Bruno Beschizza. Dans le communiqué de presse ci-dessous vous pourrez lire que l’édile persiste et signe !

 

 

 

Gestion rigoureuse des finances de la ville :

Bruno Beschizza, Maire d’Aulnay-sous-Bois, persiste et signe

 

 

Bruno BESCHIZZA, Maire d’Aulnay-sous-Bois, tient à saluer l’action de la municipalité, des élus comme des agents, qui a permis pour la 5ème année consécutive, de maintenir un haut niveau de services aux habitants sans augmenter la fiscalité locale.

Ce résultat a été atteint grâce à une gestion rigoureuse qui a permis de faire baisser les dépenses de fonctionnement de 4,56% depuis 2014.

 

Ces efforts de bonne gestion ont d’ailleurs été salués par l’Etat qui a classé Aulnay-sous-Bois comme la 26ème commune la plus vertueuse sur les 322 concernées par la contractualisation sur les dépenses entre les villes et l’Etat prévue par la Loi de Programmation des Finances Publiques 2018-2022.

 

C’est sur la base de cette gestion rigoureuse que la majorité LR-UDI du Conseil municipal d’Aulnay-sous-Bois du mercredi 23 mai, a pu en toute sérénité autoriser le Maire, Bruno BESCHIZZA, à contractualiser avec l’Etat sur une trajectoire exigeante d’évolution des dépenses de la Ville.

 

Alors que l’Etat proposait à Aulnay-sous-Bois de bénéficier d’un taux de 1,5 % d’augmentation des dépenses de fonctionnement, inflation comprise, la municipalité d’Aulnay-sous-Bois a préféré faire le choix de poursuivre son effort de maîtrise de ses finances publiques, et donc de respecter le plafond légal de 1,2% d’augmentation, tout en gardant une marge de sécurité en contractualisation à 1,3%.

 

Bruno BESCHIZZA a rappelé son attachement au principe constitutionnel de libre administration des collectivités territoriales. Il a également redit que, compte tenu de la baisse continue des dotations de l’Etat, qui représente 26 millions d’euros depuis 2014, l’effort de maîtrise des dépenses est indispensable pour maintenir la qualité des services et pour réaliser des investissements pour l’avenir.

 

Source : site internet de la ville d’Aulnay-sous-Bois

 

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Finances

Publié le 13 Avril 2018

Le vote du budget s’étant déroulé le 4 avril dernier, on peut désormais l’affirmer : il n’y aura pas d’augmentation des impôts locaux à Aulnay-sous-Bois en 2018.

Ce résultat est tout à fait remarquable lorsque l’on considère que notre commune a perdu 25 millions d’euros de recettes dans le cadre de sa contribution au redressement des finances publiques imposée par l’Etat.

Pas d’augmentation des impôts locaux à Aulnay-sous-Bois en 2018

Pour mémoire, François Hollande a demandé aux collectivités locales un effort d’économie de 10 milliards d’euros. Emmanuel Macron, quant à lui, demande un effort supplémentaire de 13 milliards d’euros d’économie d’ici 2022.

Alors que le matraquage fiscal a atteint un niveau record en France en 2017, le fait de ne pas augmenter les impôts locaux à Aulnay-sous-Bois est un signal fort. Cette promesse faite en 2014 par le maire Bruno Beschizza est donc tenue depuis 4 ans grâce à une gestion optimale au plus près des besoins.

Pour rappel, le taux de la taxe d’habitation à Aulnay-sous-Bois est de 25,05% contre 25,90% au niveau du département. Le taux de la taxe foncière sur le bâti est de 14,40% contre 22,22% au niveau du département. Enfin le taux de la taxe foncière sur le non-bâti est de 24,59% contre 40,99% au niveau du département.

Robert Ferrand

Source image : compte Twitter de la ville d'Aulnay-sous-Bois

Voir les commentaires

Rédigé par Robert Ferrand

Publié dans #Finances

Publié le 10 Mars 2016

Pas d’augmentation des impôts en 2016 à Aulnay-sous-Bois !

Bonne nouvelle pour les habitants d’Aulnay-sous-Bois. Lors du conseil municipal, mercredi soir, la majorité a annoncé qu’elle n’augmenterait pas la part communale des impôts locaux en 2016. «C’est un marqueur politique, d’autant que nous ne l’avons pas fait depuis trois ans », s’est félicité Bruno Beschizza, maire (LR).

Durant la séance, Stéphane Fleury, adjoint aux finances, a rappelé le «contexte national difficile », entre la baisse des dotations d’Etat, représentant une perte de 4,05 M€ pour Aulnay cette année, et les prévisions de faible croissance.

Ainsi, 2016 sera encore l’année des économies. Notamment via une réorganisation des agents au sein des services de la ville, un remplacement sur deux en cas de vacance de poste… La majorité a également rogné sur les subventions aux associations «à chaque fois que cela a été possible ».

A l’adresse des élus d’opposition PS, ses prédécesseurs à la tête de la ville, Bruno Beschizza a rappelé avoir largement réduit le budget communication — passant de 1 M€ en 2013 à 378 000 € l’an dernier.

L’opposition épingle un budget «d’austérité »

Au rayon des investissements cette année : création d’un centre de supervision urbain pour les écrans de vidéosurveillance, un dojo ou encore l’engagement des travaux de rénovation du souterrain de la gare…

De son côté, l’opposition a tiré à boulets rouges sur ces orientations budgétaires. Miguel Hernandez (PC), après une charge contre le gouvernement responsable des baisses de dotation, a regretté «la baisse des moyens octroyés aux services municipaux, aux associations et à la culture ». Il a aussi enjoint la majorité à «endetter davantage la commune » pour construire les équipements publics nécessaires aux nouvelles populations. «L’austérité est au rendez-vous de ce budget 2016 », a-t-il martelé.

Même son de cloche chez Evelyne Demonceaux, élue PS : «Nous sommes en désaccord avec ces orientations budgétaires, car vous baissez les prestations phares, comme le sport ou la culture, et vous réduisez les subventions aux associations ».

Source article et photo : Le Parisien

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Finances

Publié le 7 Mars 2016

Le département du 93 va augmenter les impôts fonciers de 9,5% !

Opération déminage ! Pour la première fois, la majorité du conseil départemental a organisé, ce lundi matin, une conférence de presse trois jours avant le vote du budget. But de la manœuvre : faire de la pédagogie pour justifier l’augmentation d’impôt à venir concernant le taux du foncier bâti (payé par les seuls propriétaires) qui passera de 14,8 % à 16,29 %, soit 9,5 % de hausse. C’est la majorité au grand complet qui est venu défendre sa politique budgétaire. «Cette hausse est indispensable pour assurer l’avenir des investissements », assène Stéphane Troussel, président PS du conseil départemental. «Je pense notamment aux grands travaux dans les transports avec la prolongation des différentes lignes de métro mais aussi aux futurs équipements liés aux Jeux olympiques. » En 2016, il est ainsi prévu 221 M€ d’investissement (+ 4,6 % par rapport à 2015). D’après leur calcul, l’augmentation d’impôts représentera environ 23 € par habitant et rapportera 35 M€.

«Nos emprunts toxiques sont passés de 93 % en 2008 à 8,5 % »

La majorité rappelle également les efforts réalisés en matière de gestion. «Nos emprunts toxiques sont passés de 93 % en 2008 à 8,5 % en 2016 », se félicite Daniel Guiraud, vice-président PS chargé des finances.

Près de 35 millions auraient été économisés en dépense de fonctionnement entre 2008 et 2014 avec un effort particulier sur la communication (- 55 %) et sur les fournitures (- 19 %). Malgré ces résultats, la majorité sait qu’elle aura à affronter les critiques de la droite. Elle les a même anticipées. «J’attends les leçons de la droite quand on voit ce qu’elle fait dans les autres départements d’Ile-de-France soit + 29 % dans l’Essonne et le Val-d’Oise et + 66 % dans les Yvelines », tonne Belaïde Bedreddine, vice-président Front de gauche chargé de l’écologie urbaine. «Sans compter les coupes des subventions dans la culture, les actions sociales ou l’écologie. »

Pour le RSA, le 93 dépense quatre fois plus que le 92

Stéphane Troussel est aussi revenu sur le RSA. Depuis 2004, les départements sont chargés de distribuer et de financer en partie cette allocation. Une charge qui s’est alourdie au fil des années. Dans le 93, on est ainsi passé de 41 000 à plus de 100 000 allocataires. Pour financer le RSA, le département de la Seine-Saint-Denis dépense quatre fois plus que celui des Hauts-de-Seine.

L’Etat vient d’annoncer qu’au 1er janvier 2017, il récupérerait la distribution du RSA. Mais personne ne sait ce qu’il va demander comme contribution aux départements. Pour le budget 2016, la majorité du conseil départemental a annoncé qu’elle inscrirait pour le RSA la même somme qu’en 2015, soit 140 M€, et cela alors même que mécaniquement, les allocataires seront plus nombreux.

Source article : Le Parisien / Image d’illustration

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Finances

Publié le 19 Février 2016

Vous trouverez ci-dessous la liste détaillée des propriétés communales mises en vente à Aulnay-sous-Bois. Pour plus de renseignements vous pouvez contacter le service foncier de la ville au 01 48 79 63 66.

Liste des propriétés communales mises en vente à Aulnay-sous-Bois en 2016

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Finances

Publié le 8 Janvier 2016

Pas d’augmentation des impôts locaux en 2016 à Aulnay-sous-Bois annonce le maire Bruno Beschizza

Première bonne nouvelle de l’année pour les habitants d’Aulnay : pour ses voeux, organisés samedi, à 17 h 30, gymnase Pierre-Scohy, le maire (LR) Bruno Beschizza annoncera que les impôts locaux n’augmentent pas. Il évoquera aussi l’installation de caméras de vidéosurveillance, au nombre de 200 d’ici 2020, l’organisation de la police municipale…

En revanche, il ne fera pas allusion à sa probable élection, lundi soir, comme président de « Paris, terres d’envol », nouveau territoire regroupant les agglos Terres de France, Aéroports du Bourget, et les villes du Blanc-Mesnil et Aulnay. En hommage aux forces de l’ordre, très sollicitées en 2015 lors des attentats, l’orchestre de la Police nationale donnera un concert lors de ces voeux.

Source : Le Parisien

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Finances

Publié le 1 Janvier 2016

Tout ce qui change au 1er janvier 2016 !

Chaque nouvelle année apporte son lot de nouveautés sur le plan fiscal, sur les placements financiers ou plus simplement sur notre quotidien... 2016 n'échappe pas à la règle : diesel plus taxé, prix du timbre et des courses de taxi qui augmente, etc. Panorama complet des nouveautés du 1er janvier.

Le diesel plus taxé

Les taxes sur le gazole vont augmenter de 3 centimes d'euros par litre et celles sur l'essence sans plomb 95 de 1,7 centime. Pour les automobilistes cela représente en moyenne de 28 euros par an sur la facture de gazole à la pompe. En revanche, cela devrait rapporter 1,5 milliard d'euros dans les caisses de l'Etat.

40% pour financer à taux zéro l'achat de son logement

A compter du 1er janvier, le prêt à taux zéro (PTZ) pourra financer jusqu'à 40 % de l'achat d'un logement neuf (contre 18 à 26 % aujourd'hui). Les conditions d’attribution et les modalités des prêts ont de nouveau été révisées afin d’élargir ce dispositif aux primo-accédants d’un logement neuf ou ancien sous condition de travaux. Accordé par des banques, le nouveau barème est plus généreux. Son plafond de ressources est aligné sur celui du régime locatif Pinel. Selon les zones géographiques, il est relevé de 1 000 à 4 000 euros pour un célibataire ou deux fois plus pour un couple. A titre d'exemple, la limite pour une personne seule est de 37 000 euros en région parisienne et de 24 000 euros en zone rurale. Les modalités des remboursements s'effectuent selon les conditions de revenus. Le durée du prêt peut être variable de 10 à 25 ans.

Redonner un coup de pouce à l'emploi à domicile

Pour éviter le développement du travail au noir ou des ménages qui ne déclarent qu'une partie des heures de travail des salariés à domicile, le gouvernement a porté de 75 centimes à 2 euros par heure travaillée la déduction de charges sociales dont bénéficient les particuliers-employeurs. Globalement, cette réduction est de l'ordre de 20% du salaire brut horaire sur le barème du SMIC.

Une complémentaire santé pour tous les salariés

Les entreprises vont devoir proposer à leurs salariés une complémentaire santé (assurance, mutuelle ou institution de prévoyance) qu'elles financeront à hauteur de 50%.

Vers un allègement d’impôts ?

Va-t-on assister en 2016 à une baisse des impôts comme l'affirme le gouvernement ? Sur le papier oui, mais celle-ci risque de passer relativement inaperçue pour la majorité des contribuables. L'Etat anticipe une baisse du taux de prélèvements obligatoires de 44,6 % du PIB à 44,5 % entre 2015 et 2016. Les principaux gagnants devraient être les entreprises et les ménages aux revenus modestes. Les entreprises vont bénéficier de 8 milliards d'euros d'allègements supplémentaires grâce au pacte de responsabilité et d'un milliard pour le soutien aux PME. Pour les particuliers, François Hollande a annoncé fin août une baisse sur l'impôt sur le revenu de 2 milliards d'euros. Selon le gouvernement, grâce à la réforme de la «décote», 8 millions de ménages paieront 252 euros d'impôts par an en moins. 46% des foyers vont être imposés contre 46,5% en 2015.

L'investissement dans les PME pour réduire son ISF

Le dispositif ISF PME permet de déduire de son Impôt Solidarité sur fortune 50% des montants investis dans des PME de moins de sept ans et non plus 10 ans comme auparavant.

Fin de l'allègement fiscal sur la vente des terrains

En 2015, la taxation des plus-values sur les ventes de terrains avait bénéficié d’un allègement fiscal avec un abattement exceptionnel de 30%. En 2016, c'est terminé ! Les plus-values seront taxées selon le régime général. (Les opérations ayant fait l’objet d’un compromis avant la fin 2015 pourront encore profiter de l’abattement en cas de vente en 2016).

Coup de chaud sur les frais de tenue de compte

Les banques sont de plus en plus nombreuses à facturer à leurs clients des frais de gestion. Une association de défense d'usagers appelle à les refuser .

Pas de coup de pouce pour le SMIC

Le SMIC va augmenter de 0,6% en janvier pour passer à 9,67 euros bruts de l’heure, soit 1 466,62 € bruts mensuels sur la base de la durée légale de 35 heures hebdomadaires (contre 1 457,52 € bruts, précédemment). Le Smic avait été revalorisé de 0,8 % au 1er janvier 2015.

Revalorisation des barèmes de la Caisse d'allocation

Comme chaque année, les barèmes de la CAF vont évoluer au 1er janvier. Les plafonds de ressources pris en compte pour déterminer l’éligibilité aux aides seront relevés de 0,4%. Cela concernera par exemple la garde d’enfant ou les allocations familiales. Par ailleurs, le plafond de la sécurité sociale va augmenter de 1,5% pour passer à 3 218 euros par mois et 38 616 euros par an. Ce montant sert dans le calcul de certaines cotisations (chômage, retraite) et pour établir les déductions fiscales en matière d’épargne retraite (Plan d'épargne retraite populaire).

Entrée en vigueur de la prime d'activité

La prime d'activité va se substituer au RSA « activité » ainsi qu'à la prime pour l'emploi. Cette prime distribuée par la caisse des allocations familiales (CAF), d'un montant moyen de 160 euros, devrait être versée mensuellement aux travailleurs modestes. Elle est calculée en fonction des ressources et de la composition du foyer auquel appartient son bénéficiaire, selon des modalités proches de celles du RSA « activité », et peut faire l'objet de bonifications individuelles pour les actifs dont les revenus professionnels sont compris entre certains seuils. Au total 4 millions de ménages seraient éligibles mais le gouvernement a pris pour hypothèse que seulement 2 millions de personnes devraient la demander en 2016.

Exonérations des taxes pour les retraités aux revenus modestes

En 2015, de nombreux retraités aux revenus modestes s'étaient retrouvés financièrement pris à la gorge en raison de la fin des exonérations des taxes locales. Face à la bronca, le gouverment a fait marche arrière. L'exonération sera accordée pour ceux qui en bénéficiaient déjà en 2014. Cela devrait concerner 650 000 contribuables dont 300 000 qui ont été concernés par la suppression de la demi-part des veuves.

13 régions au lieu de 22

Fin novembre, le parlement a adopté la carte des treize nouvelles régions au lieu des 22.

Les cartes de vœux plus chères

Les prix du timbre vont augmenter de 3,6 % en moyenne. Pour les particuliers, le prix du timbre de la lettre prioritaire passera de 76 à 80 centimes d’euro et celui de la lettre verte de 68 à 70 centimes d’euro. Les ménages dépensent environ 48 euros par an en moyenne en produits postaux, ce qui représente 4 euros par mois.

Hausse des courses des taxis

Les tarifs des courses des taxis vont être plafonnés à 3,83 euros de prise en charge puis de 1,05 euros (ou 1,06 euros pour les taxis parisiens) d'indemnité kilométrique. A cela s'ajoute 35,26 euros (ou 35,43 euros pour les taxis parisiens) pour le prix maximum horaire concernant la période d'attente (en cas de réservation par le client) ou de marche lente.

N'oubliez pas de déclarer vos revenus issus des plateformes collaboratives

Si vous gagnez de l’argent grâce à des plateformes collaboratives avec par exemple la location d'appartements sur Airbnb, le fisc va être plus pointilleux sur vos déclarations de revenus. Les professionnels de ces plateformes vont adresser aux particuliers un récapitulatif annuel des revenus générés. Cette obligation entrera réellement en vigueur en janvier mais en juillet 2016.

Coup de frein au bonus automobile

Si vous souhaitez acheter une voiture neuve en 2016, la prime de mise au rebut d’un vieux véhicule diesel ne sera plus étendue qu'aux voitures de plus de 15 ans contre 10 ans aujourd’hui. En revanche, les aides accordées sur l’achat de véhicules hybrides sera considérablement réduite en passant de 4 000 euros à 1 000 euros pour une voiture émettant de 21 à 60g de CO2.

Tarifs du gaz

Si les tarifs du gaz vont baisser de 2% en janvier, c'est en quelque sorte l'arbre qui cache la forêt. La taxe intérieure de consommation sur le gaz naturel (TICGN) va enregistrer une forte hausse en passant de 2,64 euros HT à 4,34 euros HT par MWh. Si les ménages chauffés au gaz verront le coût de leur consommation annuelle baisser de 22 euros, la fiscalité, elle, va augmenter de 34 euros...

Passez par un médiateur pour les litiges de la consommation

Une ordonnance du 20 août 2015 donne la possibilité à tout consommateur de passer par la médiation afin de faciliter le règlement à l'amiable des litiges avec un professionnel (litiges nationaux et litiges transfrontaliers). Dès réception des documents sur lesquels est fondée la demande du consommateur, le médiateur de la consommation sera saisi pour tenter de trouver une issue à ce conflit.

Un gilet jaune pour les motards

Désormais, les motards devront disposer d'un gilet jaune «de haute visibilité» à portée de main et le porter en cas d'arrêt d'urgence. Les contrevenants encourent une amende de 11 euros en cas d'absence de gilet à bord et de 135 euros s'ils ne le portent pas à la suite d'un arrêt d'urgence.

Une prime de transport pour les cyclistes

Désormais, les employeurs pourront prendre en charge de manière volontaire le coût des trajets entre le domicile et le travail en vélo. Cette indemnité est plafonnée à 25 centimes par km.

Baisse de la TVA sur les protections hygiéniques des femmes

La TVA sur les protections hygiéniques féminines va passer de 20% à 5,5%. Coût pour l'État, 55 millions d'euros annuels. Reste à voir si cette baisse sera répercutée sur les prix.

Un détecteur de fumée obligatoire

L'obligation d'installation d'un détecteur de fumée dans tous les logements, initialement prévue le 8 mars 2015, entrera finalement en vigueur vendredi. La loi requiert l'installation d'au moins un appareil par habitation par le propriétaire du logement. Le bailleur peut soit fournir l'appareil à son locataire, soit lui rembourser son achat.

Source : Le Parisien

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Finances

Publié le 5 Novembre 2015

21 sites des douanes françaises ont participé ce jeudi matin à l'opération : des tonnes de marchandises contrefaites ont été broyées à l'occasion de la journée nationale de destruction des contrefaçons. Exemple à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis).

Opération destruction des contrefaçons à Aulnay-sous-Bois !

Une destruction pour le moins bruyante ! Un rouleau-compresseur passe et repasse sur un tapis recouvert d'objets saisis très variés. Dans la masse : des médicaments, du rouge-à-lèvre, des baskets, des stylos, des batteries de téléphone... Plus insolite encore, des pièges à cafards ou du café.

Une menace pour la santé et les emplois

Derrière, un camion-broyeur avale des milliers d'articles, palette après palette, sous les yeux du secrétaire d'Etat au Budget Christian Eckert. Après, il y aura incinération. Serge Puccetti, responsable communication des douanes, veut alerter : s'il y a de la contrefaçon, c'est qu'il y a des acheteurs. Il les met en garde, notamment avant les achats de Noël. "Déjà, c'est une menace pour la santé, explique-t-il, ces produits ne sont pas testés et ne bénéficient pas des recherches des fabricants. Il y aussi une menace économique et sociale. La France est très copiée. Derrière, ce sont nos emplois qui sont détruits." Et Serge Puccetti de souligner : « sur la simple destruction réalisée ce jeudi en Ile-de-France, cela représente, en chiffre d’affaires, une perte de 95 millions d’euros pour les entreprises copiées ».

Ces contrefaçons proviennent souvent de containers arrivés par bateaux, mais de plus en plus aussi par le biais d'internet. Les douanes collaborent avec la Poste et les services privés de livraison. L'an passé, elles ont saisi près de 9 millions d'articles.

Source : http://www.franceinfo.fr/

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Finances

Publié le 6 Octobre 2015

La hausse des tarifs de la cantine à Aulnay-sous-Bois passe mal

« Vous payez la cantine plus cher, cette année ? » La question arrache un rire grinçant à ce groupe de mamans, devant l’école Louis-Aragon, à Aulnay. La révision des tarifs de restauration scolaire, votée lors du conseil municipal de juin, fait grincer des dents dans cette commune où plus de 6 500 enfants déjeunent à l’école.

Le tarif, appliqué en fonction des revenus des familles, était autrefois compris entre 0,71 € et 5,62 €. Il oscille désormais entre 1,25 € et 5,80 €. Le calcul prend désormais aussi en compte les « ressources », ce qui inclut les versements de la Caisse d’allocations familiales.

La mesure frappe au porte-monnaie bon nombre de parents, surtout dans les couches modestes. Dans le quartier populaire du Gros-Saule, une mère de famille lève les yeux au ciel. « Je payais 10 € par enfant et par mois, l’an dernier, explique-t-elle. Cette année, le tarif a triplé ! » Or, quatre de ses enfants fréquentent la cantine, deux en élémentaire et deux en maternelle. Maman d’un nourrisson, elle n’imagine pas les faire manger à la maison : « Avec un bébé, j’ai déjà peu de temps. Si je fais un aller-retour supplémentaire entre l’école et la maison, ça devient vraiment compliqué… » Julienne et Assia, deux autres mères d’élèves, se lamentent aussi : « On gratte le fond de nos poches, encore et encore… »

Dans l’entourage de Bruno Beschizza, le maire LR, on assume cette hausse des prix, censée épargner les classes moyennes et les familles monoparentales : « Auparavant, le système était tellement attractif qu’aucours de l’année scolaire 2014, on est passé de 50 % d’enfants inscrits à la cantine à 75 % ! » Et on souligne que le prix maximal d’un repas reste nettement inférieur à son « coût réel », estimé à 11,60 € (incluant aussi bien l’achat des denrées, la masse salariale, l’acheminement des repas…).

« Pour les situations d’extrême précarité, il est possible d’avoir une aide exceptionnelle du Centre communal d’action sociale », ajoute la mairie. « C’est vrai que les tarifs d’Aulnay restent moins chers qu’ailleurs. Mais le mode d’inscription a aussi changé. Personnellement je ne paie pas plus cher par repas, mais on me facture quatre déjeuners, même si ma fille ne va à la cantine que deux fois dans la semaine », souligne Christelle Dauvin, représentante FCPE à l’école du Bourg 1.

Dans les rangs de l’opposition, on s’insurge : le parti communiste affirme dans un tract que la cantine est « devenue financièrement inabordable pour beaucoup de parents d’élèves ». Pour l’heure, les demi-pensionnaires à Aulnay sont aussi nombreux que l’an dernier. La municipalité, qui voulait inscrire en priorité les écoliers dont les deux parents travaillent, n’a finalement refusé personne.

La sélection sera-t-elle financière ? Certains hésitent, comme cette maman : « Je vais essayer de ne pas inscrire mes enfants. Pourtant, je cherche du travail, j’ai besoin de temps pour aller aux rendez-vous. Mais je n’ai pas les moyens de payer autant. J’essaierai de m’arranger avec des copines, des voisins… »

Source : Le Parisien

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Education, #Finances

Publié le 23 Septembre 2015

La taxe foncière a bondi de 150% dans 600 communes dont Aulnay-sous-Bois à cause de la loi Duflot de 2013 !

Les 28 plus grandes agglomérations de France comprenant la région parisienne, Lyon, Marseille, Nantes, Lilles, Bordeaux, Toulouse, La Rochelle, ou encore Grenoble ont vu la taxe foncière bondir de 150% en un an. 600 communes et des milliers de français sont concernés.
En cause, la loi des finances 2013. Elle prévoit de taxer les parcelles de terrains constructibles qui restent libres comme les jardins ou les potagers. Le montant de la surtaxe est de cinq euros du mètre carré. C'est un coup de massue que certains découvrent depuis quelques jours en lisant leur feuille de taxe foncière et ce n'est pas fini car en 2017, la taxe va doubler pour atteindre 10 euros du mètre carré.

De 30 à 6.500 euros

Les propriétaires ont donc le choix entre payer une fortune de taxe foncière ou vendre leur bout de terrain pour y voir construire une maison. Michelle habite à St-Leu-la-Forêt dans le Val-d'Oise et elle en a fait les frais. Quand sa belle-mère lui a présenté la feuille de taxe foncière, elle a d'abord cru à une erreur. La vieille dame est aujourd'hui en maison de retraite et laisse la maison familiale à son fils. Le jardin fait un peu plus de 1.000 mètres carrés et est constructible. Jusqu'à maintenant, la taxe était de 30 euros, mais cette année, c'est 6.500 euros.

Et avant la fin de cette année, il va falloir trouver 8.000 euros pour régulariser la situation. Sébastien Meurant, le maire de Saint Leu est sous le choc. Depuis 7 ans, il essaie de geler les impôts de sa commune mais, depuis quelques jours, il se fait interpeler par ses administrés : "C'est une forme de spoliation déguisée et une forme d'expropriation déguisée". Un casse-tête pour le maire qui se demande s'il ne va pas devoir placer certains secteurs de sa ville en zone protégée ou agricole pour éviter d'appliquer cette taxe.

Source : http://www.rtl.fr/

Voir les commentaires

Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Finances