logement

Publié le 3 Juillet 2013

Kaufman & Broad a distribué récemment une brochure permettant d’en savoir un peu plus sur l’immeuble LE COS’Y qui devrait voir le jour aux 10-12 de la rue Anatole France à Aulnay-sous-Bois. Ainsi, outre quelques arguments marketing imparables  comme à deux pas du magnifique parc des Cygnes (vraiment ? le Parc Dumont n’est-il pas plus proche ?), à 11 minutes de Paris Gare du Nord par le RER B ( lol !), on apprend que les logements afficheront un prix du mètre carré fixé aux alentours de 4 500 euros. Par exemple, il faudra compter 120 000 euros pour un studio de 26 m², 176 000 euros pour un 2 pièces de 39 m² avec parking ou encore 276 000 euros pour un 3 pièces de 63 m² avec balcon et parking.

 


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Rédigé par Stéphane Fleury

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Publié le 29 Mai 2013

immobilier.JPGMalgré un net recul du nombre de transactions, les prix de l’immobilier demeurent élevés en Ile-de-France. Mais les professionnels l’assurent : même si elle est encore limitée, l’évolution est bel et bien à la baisse.

Pas de krach immobilier à l’horizon mais plutôt un atterrissage en douceur. Après avoir connu des sommets, le marché francilien poursuit sa très lente érosion. Selon la chambre régionale des notaires, qui présentait hier ses derniers chiffres, le prix au mètre carré dans l’ancien s’établit désormais à 5470€. Ce qui représente un recul infime de 0,4% sur un trimestre et de 0,5% sur un an. Dans le détail, l’inflexion est un peu plus marquée en grande couronne (- 1,4% sur un an) qu’en petite couronne (- 0,8%) tandis qu’à Paris les prix sont qualifiés de stables par les notaires (+ 0,1%). « Dans la capitale, il faut encore compter 8260 € du mètre carré », indique Christian Bénasse, le président de la chambre de Paris. Pour un modeste 60 m2, un ménage devra donc débourser en moyenne près d’un demi-million d’euros! De quoi en décourager plus d’un.

 C’est d’ailleurs ce que tendent à montrer les statistiques. Le nombre de transactions a chuté de 16% en un an dans la région. « Ces données sont toutefois à pondérer dans la mesure où la réforme de l’imposition des plus-values immobilières a dopé les volumes de ventes en 2012, surtout à Paris », souligne Thierry Delesalle, notaire dans la capitale. Il n’en reste pas moins une tendance de fond. Par rapport à la période dite « haute », c’est-à-dire de 1999 à 2007, les transactions dans l’ancien ont dégringolé de 31% à Paris. Seule la Seine-et-Marne, département le moins cher de la région, bénéficie encore d’un marché relativement dynamique avec une hausse de 10%.

Conséquence du recul des ventes, les prix auraient dû mécaniquement chuter. Alors pourquoi un tel niveau ? « Il y a souvent un décalage mais la baisse est bel et bien amorcée », balaie Nicolas Boudel, un agent immobilier du VIe. Si la décrue est aussi lente, c’est en partie à cause des réticences des vendeurs. « Les placements alternatifs manquent et les propriétaires préfèrent conserver leur bien plutôt que de baisser leur prix », note la chambre.

Source : Le Parisien. Image : prix des appartements anciens. Prix médians au mètre carré observés par les notaires au cours du 1er trimestre 2013 et évolution sur un an.

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Rédigé par Aulnaylibre !

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Publié le 26 Avril 2013

coprolamoree.jpgLe 93 cumule 22 plans de sauvegarde pour les copropriétés endettées. Le sénateur PS, Claude Dilain, va rendre un rapport à la ministre du logement dans lequel il préconise une intervention plus rapide des pouvoirs publics.

Appartements insalubres au Chêne Pointu à Clichy-sous-Bois, chauffage défaillant aux Bruyères à Bondy, squat et incendie tragique dans un immeuble d’Aubervilliers... On vit de plus en plus mal dans les copropriétés privées de Seine-Saint-Denis et d’ailleurs. Barres de dix étages ou petits immeubles de quelques appartements, elles sont, selon l’expression du sénateur socialiste Claude Dilain, une « bombe à retardement ». L’élu s’apprête à transmettre un rapport à la ministre du Logement, Cécile Duflot, pour faciliter l’intervention en urgence des pouvoirs publics dans les résidences les plus en danger. « Aujourd’hui, il est difficile d’intervenir, la propriété privée est sacrée en France », indique l’élu, ancien maire de Clichy et fin connaisseur de la situation au Chêne Pointu.

Sévérité accrue envers les investisseurs véreux

Le ministre de la Ville, François Lamy, semble aussi conscient de l’urgence, puisqu’il a annoncé un plan englobant les résidences privées présentant des « dysfonctionnements », à partir de 2014. En 2012, les tribunaux de France ont été saisis plus de 700 fois pour qu’une copropriété soit placée sous administration provisoire. La mesure est prise lorsque les propriétaires n’arrivent plus à entretenir l’immeuble ou à payer leurs charges.

Autrefois promises aux classes moyennes, ces résidences ont vu leurs habitants s’appauvrir. « La crise met les ménages dans l’impossibilité de payer leur crédit auprès de la banque, et leurs charges, souligne Claude Dilain. C’est le début du cercle vicieux ». Les dettes ne permettent plus d’entretenir ces ensembles, qui vieillissent mal : « Ils ont souvent été construits dans les années 1950-1960, à une époque où on ne se préoccupait pas d’isolation et d’économies d’énergie », note Philippe Blériot, administrateur judiciaire de plusieurs résidences du 93.

En Seine-Saint-Denis, sur 230000 logements collectifs privés, 10000 font l’objet d’un diagnostic ou d’une intervention publique. Et le 93 compte 22 plans de sauvegarde, qui permettent à une copropriété de bénéficier de fonds publics pour effectuer des travaux d’urgence et améliorer son fonctionnement. Parfois ça marche. La résidence de la Morée, à Aulnay, a ainsi épongé sa dette (2 M € d’impayés en 2004), et entame des travaux de réhabilitation. Mais il y a aussi des échecs. Claude Dilain plaide pour la création d’un « cadre juridique permettant de prendre des mesures exceptionnelles ». Cela permettrait d’être plus sévère à l’égard des investisseurs peu scrupuleux, alléchés par les prix des appartements. « Par exemple, au Chêne Pointu, un copropriétaire bailleur peut détenir 12 lots et devoir de l’argent à la copropriété sur ses 12 lots. Rien ne lui interdit aujourd’hui d’acheter d’autres appartements au sein de cette résidence. Il faudrait instaurer un droit de veto, sous l’autorité d’un juge, pour bloquer ces achats ».

Source : Le Parisien Photo : aulnay-sous-bois.fr

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Publié le 23 Avril 2013

OPHlogo.pngC’est ce qui s’appelle s’attaquer à un gros morceau… Dans un mois, le 22 mai, Cécile Duflot, la ministre du Logement, aura sur son bureau un rapport dont les propositions pourraient bousculer bien des habitudes parmi les maires. Rendre plus transparent, plus juste aussi, le traitement de la demande des logements sociaux… C’est la délicate mission qu’a confiée la ministre aux différents acteurs du monde HLM. En donnant, mi-janvier, le top départ à cette vaste concertation, Cécile Duflot n’a pas caché l’ampleur de la tâche : « Je n’ignore pas que la voie est étroite. » Car elle s’attaque à un maquis où règnent en maître les barons locaux qui ont la haute main sur les bailleurs sociaux. En ce sens, Cécile Duflot joue gros.

Rétablir une vraie priorité entre les dossiers

Un maquis ? Filière Dalo (Droit au logement opposable) gérée par les préfectures, circuit du 1% logement réservé aux entreprises, filières communales dépendant des maires, sans oublier celles réservés à certains fonctionnaires ou salariés d’établissements publics… A chacune son quota de logements. A chacune, aussi, ses critères de sélection. « Au fil du temps, l’architecture du système est devenue tellement complexe qu’on a perdu de vue le demandeur lui-même. Le préfet veut d’abord loger ses fonctionnaires, la commune favoriser ses habitants et l’entreprise trouver pour son salarié un logement le plus proche de son lieu de travail », résume un expert.

Comment rendre le système plus transparent et rétablir une vraie priorité entre les dossiers? Dans l’entourage de Cécile Duflot, on a quelques idées. Il y a d’abord le « scoring » (lire ci-dessous). Ensuite, les villes devront mettre en commun leurs quotas de logements. Or, « pour un maire, maîtriser le logement social, c’est maîtriser le type de population sur sa commune », souligne un proche du dossier. Cécile Duflot arrivera-t-elle à remporter la bataille des maires? Réponse en juin, lorsque les parlementaires s’empareront de sa loi urbanisme et logement.

Source : Le Parisien

 

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Publié le 8 Avril 2013

C'est parfois un petit signe de rien, plusieurs boîtes aux lettres sur une même grille quand les maisons voisines n'en possèdent qu'une. Des allées et venues plus nombreuses aussi dans ces quartiers tranquilles. Mais la plupart du temps, rien ne distingue ces pavillons de leurs semblables. Et pourtant, depuis deux ans, les villes de banlieue voient se développer un nouveau phénomène du mal-logement : la location à la découpe dans les zones pavillonnaires.

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Au milieu des pseudo-villas "Sans souci" aux prétentieuses colonnes doriques, des petites maisons ouvrières "Marceline" ou "Ginette" avec leurs nains de jardin ou encore les belles meulières des années 1930 derrière leurs troènes, se nichent de nouveaux taudis : un pavillon, divisé en quatre ou cinq appartements, loués chacun entre 600 et 800 euros selon les communes, sans déclaration à la mairie ni respect des normes sanitaires. La cible ? Une population pauvre qui ne trouve pas à se loger ailleurs et ne se plaint pas, vivant dans la peur de perdre son toit.

"Ce processus de densification spontanée, accompagné d'une "taudification" de l'habitat dans les tissus pavillonnaires est avéré dans plusieurs communes qui accueillent des populations défavorisées", explique Anastasia Touati, doctorante à l'Ecole nationale des ponts et chaussées.

Ainsi, en Seine-Saint-Denis, les communes d'Aulnay-sous-Bois, Tremblay-en-France, Sevran, Romainville, Montfermeil, Pavillons-sous-Bois seraient touchées. Dans l'Essonne, le phénomène émerge à Grigny et, dans les Yvelines, à Trappes et à Saint-Quentin. On le retrouve à Goussainville, Gonesse, Villiers-le-Bel, dans le Val-d'Oise, à Chelles et Villeparisis, en Seine-et-Marne, ou encore à Orly, Choisy-le-Roi et Villeneuve-le-Roi, dans le Val-de-Marne.

C'est une partie significative de la moyenne couronne qui est ainsi concernée, dans cette banlieue pavillonnaire modeste qui s'est développée successivement dans les années 1940, au lendemain de la guerre et dans les années 1970. Contrairement à la proche banlieue, on y trouvait des grandes parcelles, peu chères, sur lesquelles les ménages, "sortis des cités" ou fuyant la grande ville, pouvaient s'offrir leur maison. Le pavillon avec son bout de jardin et sa balançoire pour les enfants était alors une valeur de standing pour cette France des "petits-moyens"titre de l'ouvrage collectif des sociologues Marie CartierIsabelle CoutantOlivier Masclet et Yasmine Siblot (La Découverte, 2008).

Avec l'extension des gares, la création de zones d'activités économiques autour des aéroports parisiens, ces zones pavillonnaires sont devenues plus accessibles et proches de l'emploi. Les pavillons y ont souvent vieilli avec leurs habitants et, quand ils sont mis en vente, ils constituent désormais un bon placement pour qui veut faire de l'argent rapidement : "Certains marchands l'ont bien compris : avec une maison de 140 m2, ils arrivent à faire quatre F2 en utilisant les combles. C'est très rentable et les opérations se succèdent, car il y a de la demande", explique Benoît Le Foll, pilote du Centre d'études techniques de l'équipement de Normandie.

On ne parle pas ici de la sous-location que peut faire un couple de retraités pour arrondir ses fins de mois. Mais d'acquéreurs qui veulent faire de l'argent rapidement. Leur profil semble un peu partout le même : des petits commerçants, des petites entreprises de BTP ayant un peu de cash, qui obtiennent très vite des prêts bancaires qu'ils remboursent avec les loyers perçus et qui repèrent les maisons à acheter par les agents immobiliers de leur réseau professionnel.

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PETITE MAFIA ARTISANALE

Les clients sont légion : étudiants, jeunes travailleurs, stewards ou personnels travaillant dans les aéroports, familles aux faibles revenus trop contentes de s'offrir aussi un logement en dehors des zones urbaines denses...

Une petite mafia artisanale, parfois en réseau communautaire faisant venir ses compatriotes, a su aussi prospérer sur la misère. "Dans certains cas, le business est porté par des familles ou des réseaux familiaux qui achètent ensemble le patrimoine et le rentabilisent avec des pavillons utilisés avec des familles entassées dans les moindres recoins", raconte Xavier Lemoine, maire UMP de Montfermeil. On trouve ainsi "à louer" des abris de jardin, des garages, des caves...

Certains poussent l'arnaque un cran plus loin : comme à Sevran, où un pavillon a été transformé en dortoirs, dans lequel le propriétaire loue des lits. "Ce sont les nouveaux marchands de sommeil. Comme il n'y a plus de construction de foyers de travailleurs migrants, la demande est forte. A 400 euros le lit, c'est le scandale absolu", assure Stéphane Gatignon, maire EELV de la commune.

"On est face à des gens sans scrupule qui profitent de la crise du logement en proposant un logement moins cher à des familles à la rue", remarque aussi Martine Bescou, adjointe au logement du maire Front de gauche de Tremblay-en-France. "Dans ces réseaux, on a découvert que des agences immobilières s'étaient spécialisées, des notaires étaient impliqués ainsi que des banques qui font des prêts défiant toute concurrence", dénonce Cécile Madura, première adjointe PS à Goussainville.

Les maux de ces nouveaux taudis sont un peu partout les mêmes : humidité, isolation défaillante, installations électriques saturées, surcharge des réseaux sanitaires... jusqu'au stationnement de voitures sans parking qui rend la circulation difficile. "Les élus s'inquiètent, car pour le voisinage, c'est vécu comme une dégradation du quartier et l'arrivée de ces populations plus modestes, c'est aussi moins d'impôts et des dépenses publiques en plus", souligne Eric Charmes, directeur de recherche à l'Ecole nationale des travaux publics de l'Etat.

L'ensemble des acteurs s'accordent pour expliquer que lutter contre ces nouvelles locations à la découpe demeure compliqué, car la législation n'a pas prévu une telle utilisation du bâti individuel.

TENDANCE À FERMER LES YEUX

La division d'un pavillon en plusieurs logements, non accompagnée de travaux extérieurs, n'est pas soumise à autorisation préalable auprès des services d'urbanisme. Seule demeure l'obligation de respecter le plan local d'urbanisme qui impose, par logement, des contraintes de construction, de stationnement et d'espace vert disponible. Mais, parmi ces nouveaux marchands de sommeil, peu de propriétaires le font. Les services municipaux découvrent souvent l'existence de ces contrevenants lors des inscriptions à l'école, les rattachements demandés à ERDF ou les interventions des services d'hygiène. Les listes d'habitants fournies par l'Insee permettent aussi parfois de découvrir ces nouveaux logements collectifs.

Conscients de l'effet négatif que ces nouveaux taudis donnent à l'image de leur ville, certains élus préfèrent les ignorer. Une tendance à fermer les yeux, car les procédures judiciaires sont longues et difficiles et que ces maires n'ont souvent pas de solution de relogement.

D'autres ont décidé d'attaquer ces constructions non conformes. C'est le cas de la commune de Tremblay-en-France (Seine-Saint-Denis) qui a mis en place un groupe de travail pour croiser les données des différents services et repérer les infractions. A Aulnay-sous-Bois, la ville dresse des procès-verbaux d'infraction au plan local d'urbanisme en s'appuyant sur la liste des déclarations de logement aux impôts et saisit systématiquement le procureur.

Idem à Goussainville où quinze propriétaires ont été condamnés pour"changement d'affectation" ou "augmentation de la capacité d'habitation" du bien immobilier. Là, les services de la ville vérifient les déclarations d'achèvement de travaux pour traquer les contrevenants. "Dès qu'on voit un tas de sable devant une clôture, on s'inquiète", admet Mme Madura.

Source : Sylvia Zappi Le Monde.fr 

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Rédigé par Aulnaylibre !

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Publié le 27 Mars 2013

residence_debussy_-A.jpgLa ville a inauguré samedi 23 mars la livraison d’un nouveau programme de 82 logements sociaux.

C’est une première pour la ville : la réalisation de logements sociaux « bâtiment basse consommation » dont la consommation en énergie sera inférieure de 80% à la consommation normale réglementaire. C’est une étape importante pour la requalification du quartier des Etangs, puisque ces logements vont permettre de désenclaver le quartier par la création d’une voie nouvelle entre la rue du Moulin de la Ville et la rue d’Artois. Si le quartier ne dispose actuellement d'aucun espace vert familial , un futur parc d'un hectare devrait voir le jour d’ici la fin de l’année.

Source : aulnay-sous-bois.fr

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Publié le 22 Mars 2013

DANIELGOLDBERGVous trouverez ci-dessous un communiqué du député de la 10e circonscription de Seine-Saint-Denis (Aulnay-sous-Bois, Bondy-sud-Est, Les Pavillons-sous-Bois) Daniel Goldberg (photo ci-contre) à propos des annonces de François Hollande sur le logement. Celui-ci se réjouit notamment que la proposition de réduire à 5 % le taux de TVA applicable dans les constructions de logements sociaux ait été retenue.

  

21 mars 2013

Daniel Goldberg

Député de Seine-Saint-Denis

 

Annonces de François Hollande

Des mesures fortes

pour relancer le logement et la construction

 

Rapporteur du budget Logement à l’Assemblée nationale, je me félicite de la volonté affichée par François Hollande de mettre en place rapidement des mesures destinées à la fois à faciliter la construction de logements accessibles au plus grand nombre ainsi qu’à soutenir les  professionnels de la construction. Alors que la France compte 3,6 millions de mal-logés et que de nombreuses entreprises du bâtiment sont en difficulté, ces mesures fortes étaient indispensables pour répondre aux besoins et relancer l’économie de ce secteur.

En particulier, je suis plus que satisfait de la volonté d’abaisser à 5% le taux de TVA sur la construction de logements sociaux (taux qui avaient été portés de 5,5% à 7% par l’UMP). A mon initiative, de nombreux conseils municipaux de Seine Saint- Denis ont d’ailleurs voté des voeux demandant à l’Etat non seulement de ne pas relever ce taux comme cela était envisagé, mais de le ramener à 5%. Ce nouveau taux réduit va faciliter le financement des projets des organismes HLM et permettre d’accélérer les mises en chantier, avec des loyers plus accessibles pour les locataires.

Le plan d’urgence annoncé ce matin est une nécessité pour améliorer la vie de nombreux citoyens. Accélérer la nécessaire rénovation thermique des logements, limiter les recours abusifs contre les permis de construire qui entravent trop souvent les projets immobiliers dans les communes, mettre en place un moratoire sur les normes de construction : voilà autant de mesures qui constituent une nécessité reconnue et demandée par la plupart des acteurs de la chaîne du logement. Ce plan doit aussi permettre d’enrayer la hausse des coûts de construction.

Le recours à des ordonnances pour engager ces mesures illustre la détermination du Président de la République à agir vite et fort. Toutefois, cette procédure doit rester exceptionnelle et limitée à un champ de mesures techniques, plus proches du niveau réglementaire que de profondes modifications législatives. Ainsi, dès la loi d’habilitation autorisant le recours aux ordonnances, le Parlement devra connaître et pouvoir discuter du périmètre précis de celles-ci et ainsi être associés le plus en amont possible à leur rédaction.

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Rédigé par Stéphane Fleury

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Publié le 8 Mars 2013

balagny.jpgC’est lors d’une journée ensoleillée, que la résidence Balagny située au 7 et 9 rue de Corse, a été inaugurée. L’événement, organisé à la suite des « rendez-vous d’Aulnay » - présentation du projet de ville aux habitants du quartier a rassemblé un bon nombre de riverains venus découvrir cette construction neuve. L’opération s’est renouvelée le 2 mars pour célébrer cette fois-ci la résidence Savigny, au 4 et 6 allée des Genêts. 

Après un discours du Président de l’OPH, Gérard SEGURA et la traditionnelle coupe du ruban tricolore, les participants ont été invités à visiter quelques appartements « témoins ». Parmi les personnalités présentes: le député Daniel Golberg, les élus de la ville, l’entreprise GTM (Maitre d’œuvre), les architectes Philippe Muller (Balagny) et Humbert Dileege (Savigny), les financeurs. Un buffet cocktail a ensuite clôturé chaque événement pour célébrer ces livraisons de logements 

savigny.jpgDeux résidences, un chantier exemplaire 

Composées de 40 logements chacune, les résidences Balagny et Savigny participent à la politique de construction d’Aulnay Habitat en faveur de nouveaux logements neufs de qualité. Les travaux, initiés à l’automne 2011, ont fait l’objet d’un programme innovant. C’est en effet une seule et même entreprise qui s’est chargée de mener à bien les travaux sur les deux résidences. Cette démarche,  dénommée « CQFD » pour « coût, qualité, fiabilité, délai » a permis de réaliser des économies d’échelle  par la conduite des deux projets en parallèle par un seul maître d’œuvre. Un processus qui a fixé les principes d’une construction rapide, à coûts et charges maitrisés tout en utilisant des matériaux garantissant la qualité et la durabilité des futurs logements. 

Source : http://www.oph-aulnay.org

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Rédigé par Stéphane Fleury

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Publié le 3 Mars 2013

malloges.jpg

Hier, cent cinquante personnes ont défilé entre la mairie de Saint-Denis et le fort de l’Est pour réclamer la réquisition des logements vacants en Seine-Saint-Denis. Ils sont estimés à 30000 sur le territoire, tandis que la demande de logements s’élève à 50000. A l’appel de Droit au logement, Plateforme 93, Réseau solidarité logements et d’une dizaine de collectifs, les manifestants ont voulu marquer le coup quinze jours avant la fin de la trêve hivernale, le 15 mars. Après cette date, les expulsions vont redémarrer. Laure Labrosse de Plateforme 93 a énuméré les revendications des mal-logés : « Nous voudrions obtenir l’application immédiate de la loi sur les réquisitions, de la loi Dalo et le respect de la loi d’accueil inconditionnel des sans-logis.»

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

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Publié le 1 Mars 2013

immobilier1.pngLa France rentre dans le rang ! Les prix de l’immobilier ont baissé de près de 2% en 2012 et de 0,7% en Ile-de-France. Même Paris (1%) ne fait plus exception. « Nous étions déconnectés des autres pays européens, exceptées la Suède et la Finlande. Nous faisions figure d’extraterrestre », a résumé hier Thierry Delesalle, notaire à Paris, lors de la divulgation des derniers chiffres. A en croire la chambre régionale des notaires, c’est bien parti pour durer : « L’environnement actuel décourage les acheteurs. » La crise économique se traduit par des demandes qui s’effritent. Le volume des ventes a ainsi chuté de 12% en région parisienne et de 21% dans la capitale lors du dernier trimestre 2012. D’où le recul général des prix. La solvabilité des ménages qui se dégrade, le durcissement de l’obtention des prêts et de la fiscalité sur les plus-values constituent « un contexte peu porteur, sans perspective d’amélioration à court terme ».
8 270 € le m2 à Paris. Sur les trois derniers mois, la baisse des prix dans l’ancien (- 2%) s’est accélérée dans la capitale. Mais il faut relativiser : le marché reste encore supérieur de 2 250 € par rapport au trou d’air de 2008-2009! Le recul actuel n’est qu’une modeste correction. Le IIe arrondissement continue à résister (+ 3,8%), contrairement au VIe, le plus cher, qui enregistre la plus forte baisse (- 5,6%)… et repasse sous la barre des 13 000 €! Quartiers les plus abordables : la Chapelle, la Goutte-d’Or et Saint-Fargeau (6620€/m2).

immobilier2.png

4 420 € le m2 en petite couronne. Avec des prix globalement divisés par deux par rapport à Paris, le prix des appartements avait atteint un record historique dans la proche banlieue au troisième trimestre 2012. La tendance s’est depuis inversée (- 1,3%), pour retrouver les mêmes niveaux qu’il y a un an. A noter une baisse spectaculaire à Montreuil (- 12,3%), alors que Saint-Maur continue à séduire (+ 3,4%)

3 130 € le m2 en grande couronne. Les prix étant bien plus bas dans les départements franciliens les plus éloignés de Paris, ils ont stagné pour les appartements dans l’ancien (- 0,1%). La Seine-et-Marne et l’Essonne se disputent la palme du département le moins cher. Meaux est la ville qui monte (25,9%), Corbeil s’effondre (-13,5%). Mais le record du bon marché revient à Evry, où l’on peut devenir propriétaire de son logement pour 2010 le m2.

Source : Le Parisien

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Publié le 21 Février 2013

EELVLes élus verts d’Aulnay-sous-Bois s’inquiètent à leur tour d’une hausse annoncée de la TVA sur le logement, la culture et les transports (elle passerait en 2014 de 7 à 10%). « Cette décision, si elle se confirmait, rendrait impossible la mise en œuvre des engagements du président de la République pour la construction de 150000 logements sociaux par an […] », indiquent-ils dans un communiqué. Les élus écologistes proposeront ce jeudi au conseil municipal, présidé par le socialiste Gérard Ségura, un vœu en faveur d’un abaissement de cette taxe à 5% sur les « biens de première nécessité ». Avant eux, d’autres élus de gauche ont déjà pris position en faveur de cette mesure dans le 93, comme le président du conseil général, Stéphane Troussel (PS), ou l’élu de Saint-Denis, Stéphane Peu (PC). Source : Le Parisien

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Publié le 12 Février 2013

logementsLa mobilisation grandit parmi les élus de Seine-Saint-Denis contre la hausse de la TVA sur le logement social. Le 6 novembre dernier, le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, a annoncé que le taux applicable aux travaux d’investissement dans le logement social passerait au 1er janvier 2014 de 7% à 10%. La mesure est jugée inacceptable par de nombreux élus et bailleurs de Seine-Saint-Denis. Ils craignent en effet qu’elle ne freine la construction et qu’elle pèse aussi sur les finances des offices.

Stéphane Peu, président de l’office Plaine Commune Habitat et vice-président de l’Union sociale de l’habitat (USH), vient d’adresser une lettre ouverte à Elisabeth Guigou, Matthieu Hanotin et Bruno Le Roux, les trois députés PS de l’agglomération Plaine Commune qui ont voté la loi. « Cette hausse fait suite à l’augmentation de 5,5 à 7% décidée en 2011 par le gouvernement Sarkozy, rappelle cet élu communiste de Saint-Denis. Elle impacte les capacités financières des organismes HLM, ce qui aura une conséquence négative sur le secteur du bâtiment, grand pourvoyeur d’emplois. »

3,6 millions de personnes en France sont mal logées

 A la tête de l’office HLM départemental OPH93 (23000 logements), Stéphane Troussel, président du conseil général (PS), a de son côté signé la pétition lancée par l’USH. « Cette hausse représenterait une charge financière de 1,5 million par an pour notre office, indique-t-il. Elle met en péril l’objectif affiché du gouvernement de construire 150000 logements sociaux par an durant le quinquennat. » Cette mesure risque également de se traduire par une augmentation du montant des charges locatives. L’office PCH la chiffre à « environ 30 € par an pour les locataires de Plaine Commune Habitat ».

DANIELGOLDBERGTout aussi inquiet, le député PS Daniel Goldberg en appelle à la mobilisation des élus de gauche du département. Il leur propose de faire adopter dans les conseils municipaux un vœu demandant « que le logement social puisse bénéficier du futur taux de TVA le plus réduit, à 5% ». Mesure qui suppose de reconnaître le logement HLM comme « un bien de première nécessité ». Pour appuyer cette demande, Daniel Goldberg rappelle que la Fondation Abbé Pierre vient d’établir un chiffre record : 3,6 millions de personnes en France sont mal logées.

Source : Le Parisien

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Publié le 8 Janvier 2013

93-Seine-Saint-DenisParis et le 9-3 en hausse  ! Dans un contexte général de baisse des prix, la capitale et la Seine-Saint-Denis se font remarquer. Certes, rien de comparable entre la Ville Lumière et le département de proche banlieue le moins cher. A Paris, le prix du mètre carré est en moyenne le plus élevé de France (8518 €, encore un record). Il fait mieux que résister, avec une progression de 1,5% sur 2012. 

Une augmentation des prix entretenue par des acheteurs étrangers mais aussi par les cadres supérieurs qui, l’année dernière, ont représenté près de la moitié des acquéreurs (45,5%), contre 15% en moyenne nationale. Les moins de 30 ans ont aussi beaucoup acheté en 2012 dans la capitale (15% des transactions, soit une hausse de 9%) grâce aux donations effectuées par leurs parents.

En Seine-Saint-Denis, la hausse des prix (+ 3,8%) relève davantage d’un rattrapage. Les prix ont été tirés vers le haut, souligne-t-on chez Century 21, « par l’arrivée d’une population d’employés, de cadres moyens et de retraités » attirés par des prix accessibles (3278 € le mètre carré en moyenne) et qui n’avaient pas connu de véritables hausses depuis 2009.

Les prix de l’Ile-de-France en baisse

Malgré ces deux exceptions, l’Ile-de-France n’échappe pas au mouvement général de baisse. Le prix du mètre carré y recule de 1,1% en moyenne. Ce qui a permis aux acquéreurs, souligne encore Century 21, de s’offrir des surfaces plus grandes de 1 m2 en moyenne à un peu plus de 75 m2 (56 m2 pour les appartements et 103 m2 pour les maisons).

Le département remportant la palme de la baisse est le Val-de-Marne (- 5,9%). Il faut dire que le 94 avait « fait l’objet depuis 2009 de hausses de prix spectaculaires », note l’étude de Century 21. Les Hauts-de-Seine, malgré un léger recul de ses prix, restent le département le plus cher de la banlieue (5626 € le mètre carré). Un logement s’y achète en moyenne 350664 €. Bien plus que pour s’offrir un toit dans les Yvelines (280648 €), l’Essonne (230595 €), le Val-d’Oise (234818 €) ou la Seine-et-Marne (204446 €).

Source : Le Parisien

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Publié le 3 Décembre 2012

prixappart.pngTout le monde campe sur ses positions. C’est en résumé la situation du marché de l’immobilier en Ile-de-France, selon les derniers chiffres fournis par les notaires. Les acquéreurs potentiels espèrent une baisse des prix qui se fait attendre, et les vendeurs ont peur de devoir brader leur bien.

Résultat : au 3e trimestre 2012, 37700 logements ont été vendus dans la région, soit une chute de 21% sur un an. Cette baisse des transactions est sensible depuis six mois maintenant. La baisse des ventes n’épargne aucun département d’Ile-de-France. En dehors de l’attentisme des uns et des autres, il devient aussi beaucoup plus difficile d’obtenir des prêts pour financer son achat.

Malgré ces facteurs qui pèsent sur les transactions, les notaires n’observent pas de repli des prix au mètre carré. Paris s’envole encore pour un nouveau record, la petite couronne reste stable et les seules baisses sont enregistrées en grande couronne, et encore, elles sont très faibles. Que peut-il se passer maintenant? « Difficile de voir le scénario qui va se dessiner », selon les notaires, qui notent cependant : « La baisse continue du nombre de ventes devrait finir par avoir un impact sur les prix qui restent très élevés. »


8440 € le mètre carré à Paris. Et un nouveau record pour les prix au mètre carré à Paris dans les appartements anciens! Certes la hausse n’est pas vertigineuse, avec 1% seulement d’augmentation au 3e trimestre 2012 et 0,8% sur un an. Six arrondissements ont même connu une baisse sur ces trois derniers mois, dont le VIIe et le IVe, qui figurent parmi les arrondissements les plus chers de la capitale. Le VIe arrondissement reste le plus onéreux pour se loger avec un prix du mètre carré qui dépasse les 13000 €. Si vous voulez trouver le prix le plus bas, visez la Goutte-d’Or dans le XVIIIe, avec un prix moyen de 5880 € le mètre carré.

4480 € en proche banlieue. Passé le périphérique, les prix n’ont plus rien à voir avec Paris, mais on n’observe pas de baisse significative des prix. C’est plutôt la stabilité sur un an avec un petit 0,3% d’augmentation. La hausse est plus sensible au 3e trimestre (+ 1,9%), mais, selon la chambre des notaires de Paris Ile-de-France, « ce n’est pas alarmant dans la mesure où le 3e trimestre est toujours la période de l’année où les prix augmentent le plus en raison de la saisonnalité des ventes ». Dans deux départements, les prix ont légèrement baissé sur l’année : la Seine-Saint-Denis (- 0,5%) et le Val-de-Marne (- 0,1%).

3140 € en grande couronne. Situation très contrastée en grande couronne. Dans l’ensemble, les prix baissent sur l’année (- 1%), mais relèvent la tête au 3e trimestre (+ 1,4%). Un écart qui se retrouve dans chaque département. C’est l’Essonne et le Val-d’Oise qui ont connu la baisse la plus significative depuis le début de l’année, avec respectivement - 1,6% et - 1,4%.

Source : Le Parisien 

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Rédigé par Aulnaylibre !

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Publié le 3 Juillet 2012

La Seine-Saint-Denis serait-elle le nouvel eldorado des acquéreurs immobiliers? D’après les chiffres publiés hier par le groupe Century 21 — qui a passé au crible ses transactions entre les premiers semestres 2011 et 2012 —, le marché immobilier de Seine-Saint-Denis est le seul marché francilien à noter une hausse des prix avec Paris.  Les transactions augmentent ainsi de 5,98% sur un an, contre 1,6% dans la capitale. Une augmentation en forme de rattrapage en quelque sorte puisque par rapport aux autres départements limitrophes de Paris (Hauts-de-Seine et Val-de-Marne qui sont désormais à la baisse), « la hausse a été moins forte en 2011 en Seine-Saint-Denis (5,94%) », explique Laurent Vimont, président de Century 21. Mais ici comme ailleurs, cette période d’augmentation, « devrait être suivie d’une prochaine baisse des prix », prédit-il. Reste que si les prix des ventes montent, la Seine-Saint-Denis est encore le département le moins cher d’Ile-de-France avec la Seine-et-Marne.

Saint_Denis_Canal_Saint_Denis.jpg

La capitale devenue trop chère

Le marché est surtout boosté par l’arrivée des Parisiens. « Ils quittent la capitale car les biens immobiliers sont trop chers », analyse Laurent Vimont. A Pantin par exemple, les acheteurs cherchent des biens près des deux premières stations de métro. « Soixante à 70% de nos acquéreurs viennent de Paris. Ils arrivent avec un bon apport et prennent souvent des crédits sur dix ou quinze ans », note Julien Agnès, directeur de l’agence Century 21 locale. Dans le département, les acquéreurs de 40 à 50 ans progressent de 14% sur un an, la plus forte hausse. « Ce sont des gens qui recherchent des maisons avec un bout de jardin », note Laurent Vimont. Les ventes des maisons augmentent d’ailleurs de 11,84% sur un an, quand celles d’appartements baissent de 1,44%.

Selon les chiffres de la Chambre des notaires de Paris - Ile-de-France, cités par Century 21, Tremblay-en-France connaît la plus forte hausse de prix pour les appartements anciens. Plus 39,6% sur un an contre 6,2% à Montreuil, aux abords de la capitale. Le prix au mètre carré y reste quand même bien moins élevé : 3190 € pour la première, contre 4420 € pour la seconde.Venant contredire ces résultats, la Chambre des notaires d’Ile-de-France enregistre de son côté une stagnation des prix en petite couronne sur les six derniers mois. « Je ne pense pas qu’on soit sur une réelle hausse du marché en Seine-Saint-Denis. Il cherche son équilibre. On observe des cycles de transactions plus longs, on est déjà plutôt dans une logique de baisse », commente Frédéric Dumont, notaire à Montreuil.

Source : Le Parisien Photo : Wikipédia

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Rédigé par Aulnaylibre !

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Publié le 22 Juin 2012

Les chantiers de construction de logements se multiplient en ce moment à Aulnay-sous-Bois notamment en centre-ville à proximité de la gare. L’avenue Coullemont en face du parc Dumont ne fait pas exception. Autrefois peuplée de pavillons cossus dont quelques-uns subsistent encore, cet artère située en zone UD au niveau du plan local d’urbanisme (ce qui permet de construire à une hauteur de 15 mètres), va accueillir deux nouveaux bâtiments d’habitat collectif appelés les résidences du parc Dumont. Une association de quartier avait tenté en vain de bloquer le projet réussissant simplement à contraindre le promoteur à scinder le bâti en deux et imposer l’alignement avec l’existant.   


L’ensemble reste néanmoins relativement massif, même si à cet endroit , en cœur de ville, la pertinence de la densification peut s’envisager si l’on souhaite préserver la zone UG pavillonnaire. 55 nouveaux logements sont donc sur le point d’être livrés : 20 T1, 19 T2, 14 T3 et 2 T4. Certains regretterons sans doute la destruction des anciens pavillons, dont quelques-uns d’une belle facture architecturale, et par là-même de leur cadre de vie tandis que d’autres comprendront que l’inexorable croissance de la population dans le département de la Seine-Saint-Denis couplée à l’absence d’offre et au désir légitime de la jeunesse de décohabiter  justifie cette évolution urbanistique. Ces questions mériteraient un vaste débat entre élus et habitants d’Aulnay-sous-Bois, n’est-il pas ?  

 

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Rédigé par Stéphane Fleury

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Publié le 9 Juin 2012

La résistance des prix de l’immobilier en Ile-de-France reste surprenante. La dernière livraison des relevés de prix de la chambre des notaires de Paris-Ile-de-France pour le 1er trimestre 2012 (portant sur les transactions déjà effectuées) traduit bien un tassement du prix médian des appartements anciens. Mais, après la forte hausse des années 2010 et 2011, si les prix commencent à s’assagir, ils restent élevés malgré la morosité ambiante et les incertitudes fiscales. 

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 8 260 euros le m² à Paris

Au premier trimestre 2012, les prix des appartements anciens ont baissé de 1,1% dans la capitale par rapport au dernier trimestre 2011. Seuls cinq arrondissements restent à la hausse. La baisse trimestrielle atteint même 5,8% dans le VIe, le plus cher. Et, sur un an, les prix n’ont augmenté « que » de 0,6% dans le VIIe. Une érosion modérée qui devrait continuer. Les avant-contrats laissent entrevoir un prix médian à 8200 € pour juillet (le record est de 8380 € en novembre 2011.

 4 430 euros le m² en petite couronne

Les prix des appartements anciens ont reculé légèrement cette année au cours du 1er trimestre dans deux départements (- 0,4% dans les Hauts-de-Seine, toujours le plus cher, et la Seine-Saint-Denis), tandis qu’ils font du surplace dans le Val-de-Marne (+ 0,1%). Les prix des maisons anciennes stagnent aussi sauf en Seine-Saint-Denis où ils reculent (-1,4%).

3 140 euros le m² en grande couronne

 Les prix des appartements anciens en grande banlieue ont eu tendance à stagner en début d’année (- 0,3% dans les Yvelines, + 0,4% dans le Val-d’Oise et + 0,6% dans l’Essonne), mais ils avaient baissé le trimestre précédent. Seule le département de la Seine-et-Marne a vu les siens progresser (+ 1,1%). Les prix des maisons anciennes se sont stabilisés, sauf dans le Val-d’Oise où ils ont progressé au 1er trimestre.

Source : Le Parisien du samedi 9 juin 2012

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Rédigé par Aulnaylibre !

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Publié le 25 Avril 2012

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Une résidence au cœur de la ville d'Aulnay-sous-Bois située à 350 m de la gare RER cela vous intéresse ? Et bien c'est ce que propose le programme "Coeurville" qui devrait voir le jour à l'angle des rues Jean Charcot et Charles Dordain dans les mois à venir. Pour l'occasion, dans son annonce, le promoteur Promogin sort le grand jeu et les violons évoquant notamment la rue Charles Dordain, petite rue calme desservant les pavillons voisins. Pas sûr que cela dure très longtemps avec ce nouvel aménagement ! Quoi qu'il en soit, le site selogerneuf.com donne une idée indicative du prix des futurs logements : appartement 2 pièces (39 m²) à partir de 154 000 euros, appartement 3 pièces (54 m²) à partir de 198 000 euros et enfin appartement 4 pièces (80 m²) à partir de 286 000 euros. Tous les détails sont disponibles en cliquant ici.

Source information et photo : http://www.selogerneuf.com  

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Rédigé par Aulnaylibre !

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Publié le 15 Avril 2012

manifdalo.jpgPlusieurs centaines de personnes ont manifesté, hier, dans les rues de La Courneuve et de Bobigny pour demander la fin des expulsions locatives et l'application de la loi du droit au logement opposable (DALO) en Seine-Saint-Denis. Le cortège, formé d'associations locales, a rejoint la préfecture de Bobigny. Quelques participants de la Marche des banlieues se sont joints à la manifestation.

Source information et photo : Le Parisien, Hélène Haus, le dimanche 15 avril 2012

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Rédigé par Aulnaylibre !

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Publié le 4 Avril 2012

residenceparcavenue.JPG

C'est une nouvelle qui n'étonnera personne compte-tenu de la visible accélération des projets de construction notamment dans la zone UA du plan local d'urbanisme, celle amenée à se densifier en priorité sur la ville d'Aulnay-sous-Bois. Cette fois-ci c'est un pavillon situé à l'angle des rues Anatole France et Louis Coutant qui va céder la place à la résidence "Parc Avenue" composée de 22 appartements BBC du studio au 4 pièces. Cette municipalité avait promis de construire. Elle semble tenir cette promesse...

residenceparcavenue2.JPG 

 

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Rédigé par Stéphane Fleury

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Publié le 15 Mars 2012

Vous pouvez prendre connaissance ci-dessous d'un communiqué transmis à la rédaction d'Aulnaylibre ! par les élus PS/PRG et apparentés d'Aulnay-sous-Bois à propos des expulsions locatives et du droit au logement.

 

DALO.jpg

 

 

Communiqué des élus PS/PRG et apparentés :

 

Stop aux expulsions locatives :

Le droit au logement doit être une réalité pour tous !

 

Après cinq années d’existence, le droit au logement opposable reste un échec, loin des belles

promesses de la droite et très loin d’être à la hauteur des enjeux.

 

Les expulsions sans relogement vont reprendre le 15 mars, jetant des milliers de familles à la

rue, faute de pouvoir payer leur loyer du fait de l’augmentation du chômage, d’un pouvoir

d’achat attaqué de toute part, d’une flambée des loyers, des charges et du coût de l’énergie. La

situation est devenue insoutenable ! Elle conduit des familles fragilisées, vivant dans

l’angoisse permanente, à des situations d’exclusion, dégradant ainsi tous les domaines de leur

existence : éducation, santé, emploi….

 

Pourtant, aucune mesure conséquente n’a été prise par le gouvernement Sarkozy-Fillon en

cinq ans ! Bien au contraire : la loi Boutin a divisé par trois les délais d’expulsion, passant de

3 ans à 1 an, remettant en cause le maintien dans les lieux et abaissant les plafonds de

ressource ; Les décisions d’expulsion ont augmenté de 48% en 10 ans.

 

Toutes ces mesures marquent la volonté du gouvernement de rendre le statut de locataire de

plus en plus précaire, niant de fait la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme (« Toute

personne a droit à un niveau suffisant pour assurer sa santé, son bien-être et ceux de sa

famille, notamment pour l’alimentation, l’habillement, le logement… »). Parallèlement, l’Etat

a drastiquement réduit les moyens alloués à l’hébergement d’urgence.

 

Pourtant les menaces se multiplient : De jeunes adultes sont contraints de retourner vivre chez

leurs parents, des enfants souffrent de saturnisme car obligés de vivre dans des logements

insalubres, des parents vivent dans la rue, dans des foyers, dans leur voiture, dans des

caravanes, d’autres attendent des années avant de pouvoir accéder au logement social faute de

HLM en nombre suffisant : Aujourd’hui, plus de 3 millions de personnes sont mal logées en

France.

 

Une véritable politique du logement est nécessaire :

 

La priorité de François Hollande est de lutter contre le logement cher pour permettre à chacun

de bien se loger, sans se ruiner. L’encadrement des loyers, la construction de 2,5 millions de

logements intermédiaires, sociaux et étudiants dont 150 000 logements très sociaux grâce au

doublement du plafond du livret A, le renforcement de l’article 55 de la loi SRU sont autant

de chantiers prioritaires pour François Hollande.

 

A quelques jours de la fin de la trêve hivernale, les élus PS/PRG et apparentés tirent la

sonnette d'alarme et en appellent aux plus hautes autorités de l'Etat pour qu'elles

prennent leurs responsabilités face au risque de jeter des familles à la rue.

 

M. Raoul Mercier                                                                  M. Ahmed Laouedj

Président du groupe PS                                                        Président du groupe PRG

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Rédigé par Aulnaylibre !

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Publié le 22 Décembre 2011

logementsvides.jpgVous trouverez ci-dessous un large extrait d'un article du Parisien paru ce matin. Il permet de faire un point précis sur le nombre de logements vacants en Ile-de-France. Ils seraient plus de 322 000 dans notre région. En Seine-Saint-Denis par exemple, si on dénombre 56 000 demandes de logements sociaux en attente, 31 638 logements sont vides soit 5,2 % du parc...

C'est le paradoxe de l'Ile-de-France : il est de plus en plus difficile de s'y loger et les listes d'attente pour obtenir un logement social ne cessent de s'allonger dans les différentes préfectures. Pourtant, le nombre de logements vacants reste impressionnant. Les chiffres, issus du dernier recensement de 2008, publiés il y a quelques jours par l'Insee (Institut national de la statistique et des études économiques) révèlent que ces logements sans occupants sont 322 431 en Ile-de-France.

Un phénomène qui, même s'il est en légère diminution depuis le précédent recensement de 1999, touche toujours l'ensemble des départements et prend des proportions particulièrement importantes à Paris et dans les Hauts-de-Seine. Dans la capitale, l'Insee dénombre plus de 110 000 appartements vides, ce qui représente tout de même 8,2 % des logements. Dans les Hauts-de-Seine, ces chiffres sont de 50 000, soit 6,4 %.

LOGEMENTSVACANTS.jpg

Selon l'Agence nationale pour l'information sur le logement (Anil), ces vacances s'expliquent d'abord par le fait que ces habitations nécessitent parfois des travaux. Certains propriétaires ont aussi peur des mauvais payeurs. C'est d'autant plus le cas dans les quartiers chics du XVIe ou de Neuilly. Les bailleurs possèdent aussi des logements voués à la démolition. Difficile donc d'évaluer le nombre de logements louables. Mais pour l'association Droit au logement (DAL), ces vacances représentent un véritable scandale. "Quand on voit le nombre de personnes à la rue, c'est révoltant de savoir qu'il y a autant de logements vides. A Evry (Essonne), on a déjà vu des appartements l'abandon durant plusieurs années", dénonce Christiane Laigneau, de la délégation locale.

Cette militante n'envisage qu'une seule solution. "L'Etat devrait réquisitionner les logements vacants des bailleurs. ça leur mettrait la pression pour louer plus vite." Ces logements vides, même s'ils appartiennent le plus souvent à des propriétaires privés, sont à mettre en parallèle avec la liste toujours plus longue des demandes de logement social. A Paris, plus de 120 000 personnes sont en attente d'un appartement en HLM...

Source article et image : Hélène Haus avec F.C. Le Parisien du jeudi 22 décembre 2011

 

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Rédigé par Aulnaylibre !

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Publié le 13 Décembre 2011

Vous trouverez ci-après un article du journal Le Parisien paru dans son édition de ce matin. Il revient sur la journée de mobilisation (hier)  d'une partie des salariés de l'OPH (Office public de l'habitat) et de représentants d'amicales de locataires inquiets des conséquences que pourraient entraîner une fusion avec l'OPH 93 qui gère le parc des logements sociaux au niveau départemental. Les craintes se situent au niveau des emplois d'une part, et des risques d'augmentation des loyers d'autre part. Nous en saurons plus début 2012...

OPH.jpgNon à la fusion. La banderole a été déployée hier matin devant le siège d'Aulnay Habitat. L'office public de l'habitat, qui gère 2 500 logements, a vécu hier une journée mouvementée, au gré de la mobilisation d'une partie de ses salariés et de représentants d'amicales de locataires.

La signature d'un accord en deux temps - d'abord par le syndicat SUD vendredi, puis l'Unsa hier - n'a pas balayé toutes les inquiétudes. L'hypothèse d'un rapprochement entre l'office aulnaysien et son grand frère départemental, l'OPH 93 ( 22 565 logements), est à l'étude depuis le mois de septembre. Et elle suscite bien des craintes. "On ne sait pas si on pourra rester à Aulnay ou s'il faudra aller travailler ailleurs, explique ainsi une salariée. Certains ici travaillent à l'office depuis vingt-cinq ans, ils n'ont pas de permis de conduire, ils ne pourront pas se déplacer."

Au sein des amicales de locataires, on redoute des hausse conséquentes de loyers et de charges : " A Aulnay, les loyers ont toujours été plus bas qu'au sein des autres offices. C'est une dimension sociale qui va disparaitre s'il y a fusion", explique ainsi Michel Bleuze, ancien responsable de l'association de locataires Amiva.

"Aucune décision n'est prise et elle ne le sera qu'après consultation de tout le monde", martèle le maire PS, Gérard Ségura, président du conseil d'administration d'Aulnay Habitat. Il confirme que le scénario fait bien l'objet d'études, sur la "faisabilité d'un rapprochement" et sur la situation financière de l'office aulnaysien.

Nouvelles constructions

Une note présentée en conseil d'administration il y a quelques mois avançait des arguments en faveur d'un rapprochement avec l'OPH 93 : le désengagement financier de l'Etat ou encore la reprise d'une activité de construction "ambitieuse" ( 27 logements sur le point d'être livrés à la cité Arc-en-Ciel, 160 bientôt en construction dans les secteurs du Vélodrome, de Savigny et Balagny). Gérard Ségura affirme que des garanties existent sur le "maintien de tous les emplois, sans perte de salaire". Quant aux loyers, explique l'élu, ils augmenteront "même si l'office reste autonome. Ils sont inférieurs de 18 % à la moyenne des loyers dans les offices publics du département. Je vois mal comment on pourrait continuer à entretenir et construire des logements dans ces conditions."

Les premiers résultats des études en cours devraient être présentés aux administrateurs d'Aulnay Habitat début 2012.

Source article et photo : Gwenael Bourdon, Le Parisien du mardi 13 décembre 2011

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Rédigé par Aulnaylibre !

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Publié le 27 Novembre 2011

«Une résistance surprenante. » C’est ainsi que Christian Lefebvre, le président de la chambre des notaires de Paris, analyse la performance des prix de l’immobilier en Ile-de-France. Les statistiques de la chambre pour le 3e trimestre 2011 traduisent une nouvelle hausse — certes plus modérée — qui défie les pronostics. Il y a tout juste trois mois, sur la foi des promesses de vente, les notaires envisageaient une amorce de baisse à Paris. Malgré la diminution sensible du nombre de transactions, on l'attend toujours.

 

8360 € du m2 à Paris

 

Au cours du 3e trimestre, les prix des appartements anciens ont deux fois moins augmenté dans la capitale qu’il y a un an. La progression annuelle a beau repasser sous la barre des 20%, les prix atteignent un nouveau sommet.

 

Sept arrondissements centraux se situent désormais au-dessus de 10000 €/m2 (le VIe et le VIIe sont même au-dessus de 12000 €/m2). Et sur un an, tous restent en forte hausse, de 16,7% dans le XIIIe et le XXe à 20,6% dans le VIIIe et le XVIe.

 

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      (  Ci-dessous prix au m² des appartements anciens en Ile-de-France  / Chambre des notaires )

 

4490 € du m2 en petite couronne


Avec une augmentation de 12,5% sur un an pour le prix des appartements anciens, la petite couronne ne connaît qu’une « légère décélération de la hausse » (+ 13,5% dans les Hauts-de-Seine, + 11,7% dans le Val-de-Marne, + 10,5% en Seine-Saint-Denis). Malgré une baisse du nombre de transactions, la hausse y est plus forte qu’en grande couronne. Pour les maisons, c’est à une accélération de la hausse qu'on assiste.

 

3180 € du m2 en grande couronne

 

Tous les départements de grande couronne connaissent un ralentissement de la hausse du prix des appartements anciens (+ 7,5% en un an). C’est dans les Yvelines qu’elle est la plus importante (+ 9%) et en Seine-et-Marne qu’elle est la plus faible (+ 4,6%). Sur le marché des maisons anciennes, la hausse des prix s’accélère dans les Yvelines et dans le Val-d’Oise, tandis qu’elle ralentit en Seine-et-Marne et en Essonne.

 

Source : J-P V Le Parisien du 26/11/2011

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Rédigé par Aulnaylibre !

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Publié le 15 Avril 2011

Aulnaylibre ! l'avait évoqué par une note intitulée l'OPH d'Aulnay-sous-Bois, le paradis des directeurs ? (ici). Cette fois-ci c'est la CNL, association représentant les locataires, qui l'écrit dans sa lettre du mois d'avril 2011 : l'OPH en ébullition.

Dans cette missive, dont vous pouvez prendre connaissance ci-dessous, la CNL s'interroge sur la réelle efficacité de la réorganisation de l'OPH et notamment sur la dérive de la masse salariale suite à l'embauche de cadres et responsables...  

CNLAVRIL2011.JPG

L'OPH en ébullition

Nous avons quelques interrogations sur la réelle efficacité dans la réorganisation de l'OPH qui va coûter aux locataires, et se répercutera dans les hausses du loyer :

                - Embauche de cadres, de responsables

                - Réorganisation des services

                - Changement de logo

 

Est-il utile, au vu de la taille de notre organisme de 2 484 logements, d'avoir 4 directeurs ? Cela entraine une augmentation de la masse salariale. Pendant ce temps sur le terrain, la lenteur des travaux est ressentie... Suite à un incendie de hall en décembre 2010 au 17 rue du 8 mai 1945, 3 mois sans intervention à ce jour, toujours en état de délabrement, les locataires subissent. C'est inacceptable ! Des travaux de réfection de peinture, halls et cages d'escaliers au Vieux-Pays sont toujours en attente. L'entretien des travaux courants attendus par les locataires se fait au ralenti.

 

La CNL se prononce pour une gestion maîtrisée, une masse salariale conforme à la taille de notre organisme, des travaux de gros entretien et amélioration de l'habitat sur fonds propres, l'urgence de travaux au quotidien, le contrôle des charges et contre toute augmentation de loyers.

 

Source : la lettre de la CNL Avril 2011

 

Stéphane Fleury 

 

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Rédigé par Stéphane Fleury

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