Publié le 4 Août 2013

balsmusette.jpgIl y a de la mélancolie dans le regard de Mélina Sadi. Comme si celle qui est devenue la baronne de Paname regrettait d’être née dans la mauvaise moitié du XXe siècle. Rouge à lèvres, robe à fleurs, boucles d’oreilles framboise, sa silhouette est celle d’une femme des années 1940… Depuis plusieurs années, elle organise la plupart des bals musette de la capitale. Après quelques saisons passées à faire guincher Paris-Plages, elle s’invite sur les bords des canaux de Seine-Saint-Denis où ses « bals barges » font la joie des fêtards restés pour l’été.

Son nom de scène est un hommage ironique à l’ambiance populaire des nombreux bals qui peuplaient Paris au début du siècle : le Paname des marlous, des guinguettes, des apaches, ces jeunes voyous qui détroussaient les bourgeois des beaux quartiers. « Paris sans musette, c’est comme Buenos Aires sans Tango » assure-t-elle avec sérieux.

Son sacerdoce  : rendre la « joie de vivre »

« Le musette c’est la rencontre de la musique auvergnate et de la musique italienne, puis du jazz et de la musique espagnole, ça fait partie de la culture parisienne. » De ses deux passions, la danse et Paris, elle a fait son sacerdoce : rendre à la capitale sa joie de vivre imprégnée de l’influence du musette. « J’ai un amour immodéré pour cette ville », un amour quasi exclusif. « Pendant longtemps, quand je voulais m’évader, je prenais une chambre d’hôtel dans un quartier de Paris que je ne connaissais pas et je le visitais de bout en bout ».

La baronne est avant tout une « tenancière de balluche » (organisatrice de bal). Son rôle, pendant la fête, est d’encourager les badauds encore un peu inibés. « Je veux que les gens deviennent acteurs du bal, qu’ils démystifient la danse à deux, qu’ils dansent en couple et avec la foule en même temps », sourit-elle. Alors elle donne d’elle-même, danse, alpague, blague. « Je chope les regards, les angoisses et j’essaie de transmettre l’esprit de la fête. »

Arrivée en Seine-Saint-Denis à l’âge de 16 ans, la jeune femme, originaire de Charleville-Mézières (Ardennes) s’était promis face à sa glace, déguisée en diva, de « faire danser les Parisiens. J’ai passé la moitié de ma vie à le rêver. L’autre à le réaliser ». Cet après-midi, la baronne de Paname sera à Pantin (Seine-Saint-Denis) pour un bal barge animé par le groupe « Hot Sugard Band ».

Aujourd’hui, de 15 heures à 20 heures, Mail Charles-de-Gaulle à Pantin (Seine-Saint-Denis).

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Fêtes et Cérémonies

Publié le 4 Août 2013

La ville de Neuilly-Plaisance (93) remonte le temps pour fabriquer du pain 100 % local. Hier, c’était l’heure de la moisson.

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C’est une « dame » âgée de plus de 90 ans mais dont l’efficacité reste redoutable. Une moissonneuse-lieuse a récolté plus de 200 kg de blé, hier matin, sur une parcelle de 500 m² située dans le parc des Coteaux d’Avron à Neuilly-Plaisance (Seine-Saint-Denis). Objectif de l’opération : fabriquer un pain 100% local en utilisant de A à Z les méthodes agricoles du début du XXe siècle. Après le labour et le hersage accomplis à l’aide de deux bœufs d’attelage début mars, des chevaux ont tracté la machine à semis quelques jours plus tard. Un battage à l’ancienne sera ensuite réalisé dans trois semaines avant la fabrication finale du pain dans un four traditionnel le 7 septembre.

Une cinquantaine de curieux ont fait le déplacement

A l’heure de la moisson, hier matin, la ville avait fait appel à deux frères issus d’une grande famille d’agriculteurs de Presles-en-Brie (Seine-et-Marne). « Cette moissonneuse-lieuse a toujours appartenu à notre famille », raconte Michel Duval. Aujourd’hui dans les travaux publics, l’un de ses cinq frères, Raymond, est malgré tout resté un « grand collectionneur de machines agricoles anciennes ». « J’ai conservé une parcelle et j’occupe mon temps libre en réalisant de temps en temps quelques démonstrations comme celle-ci », explique-t-il. A Neuilly-Plaisance, commune située à seulement quelques kilomètres deParis, une cinquantaine de curieux avaient fait le déplacement. Le choc culturel atteindra même le sommet lorsque deux bambins, hauts comme trois pommes, s’amusèrent à immortaliser l’œuvre de la moissonneuse-lieuse avec leur dernier smartphone.

Sous leurs yeux s’ébat une machine popularisée dans les années 1920 mais rendue obsolète par l’arrivée de la moissonneuse-batteuse dans la deuxième partie du XXe siècle. Equipée d’un moulinet-rabatteur et d’une barre de coupe, elle a mis une trentaine de minutes pour réaliser la moisson. « Avec une moissonneuse-batteuse, le tour serait joué en une minute à peine, s’amuse Raymond Duval. La moissonneuse-lieuse se déplace trois fois moins rapidement et avec seulement 1,5 m de coupe contre 11 m pour la moissonneuse-batteuse. » Pour la ville de Neuilly-Plaisance, l’objectif de cette opération était avant tout « à visée pédagogique », explique Jean Perrot, adjoint au maire (UMP). « Nous avons invité la population à chaque étape de la fabrication du pain », explique-t-il. Une petite parcelle mitoyenne a également été réservée aux enfants de la ville qui ont pu planter des choux, des betteraves, des pommes de terre mais aussi du maïs, de l’orge, ou encore des tournesols.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 3 Août 2013

Le Tour de France cycliste est fini, mais la caravane (en attendant mieux) passe par Aulnay.

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L’avenue Dumont se refait une beauté.

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Marc Masnikosa

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Rédigé par Marc Masnikosa

Publié dans #Un autre regard par Marc Masnikosa

Publié le 3 Août 2013

psa-copie-1.jpgMalgré ses difficultés, le groupe automobile français s'est fixé comme objectif d'utiliser à plein ses usines européennes d'ici 2016.

Confronté à la morosité du marché automobile européen et devant faire face à d'importants problèmes financiers, le groupe PSA traverse actuellement une forte zone de turbulences qui l'a notamment poussé à se lancer dans un vaste plan de restructuration. La famille Peugeot serait même prête, dit-on, à céder le contrôle du groupe à son associé américain General Motors voire à ouvrir son capital à son partenaire chinois Dongfeng. Pourtant, dans ce contexte particulièrement difficile, le groupe ne baisse pas les bras pour autant et afficherait même quelques objectifs ambitieux.

A l'équilibre d'ici 3 ans

Philippe Dorge, directeur des ressources humaines chez PSA, a ainsi récemment annoncé que la firme française voulait porter à 100% le taux d'utilisation moyen de ses usines européennes d'ici 2016 et ramener tous ses sites à l'équilibre d'ici trois ans, dans le cadre de l'accord de compétitivité qu'il négocie en France avec ses syndicats. "L'idée, c'est de retrouver le point mort sur toutes les usines", a précisé le dirigeant.

Des sites aujourd'hui au ralenti

Le constructeur hexagonale est actuellement en sous-utilisation chronique de ses capacités de production, avec en 2012 un taux de 75%. Ce niveau d'activité tombe même autour de 50% à Rennes (Ille-et-Vilaine), Mulhouse (Haut-Rhin) et Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), site voué à la fermeture en 2014, voire même en dessous à Sevel Nord et Madrid. Le directeur des ressources humaines n'a cependant pas donné davantage de précisions quant aux moyens mis en œuvre pour atteindre pareil objectif. Les modèles General Motors garniront-ils prochainement les lignes d’assemblage des usines PSA ?

 

Source: Reuters / http://news.autoplus.fr

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Economie

Publié le 3 Août 2013

La promotion pour l’ouverture d’Aulnay Plage du 3 au 25 août bat son plein sur le marché du boulevard de Strasbourg.

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Des sacs à pain étaient même offerts.

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Marc Masnikosa

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Rédigé par Marc Masnikosa

Publié dans #Un autre regard par Marc Masnikosa

Publié le 3 Août 2013

Une balade au fil de l’eau pour le week-end ? Ce programme en a séduit plus d’un. Depuis le 29 juin, les navettes fluviales qui sillonnent le canal de l’Ourcq chaque week-end ont embarqué… 23600 passagers! C’est 31% de plus que l’année passée sur la même période. « Nous avons mis à disposition un bateau supplémentaire pendant l’opération Paris-Plages, explique Mathilde Christnacht, du comité départemental du tourisme. A ce moment-là, de nombreux Parisiens découvrent nos navettes en allant se promener au bord du bassin de la Villette. Nous avons donc anticipé le flux supplémentaire de passagers. »

Et si les navettes fluviales ont autant de succès, cela vient probablement du tarif très attractif : 1 € le samedi et 2 € le dimanche. Du bassin de la Villette à Bobigny ou d’Aulnay-sous-Bois à Bobigny, les différents parcours proposent aux passagers de découvrir jusqu’au 25 août le canal de l’Ourcq grâce à une visite commentée. Et ça cartonne!

Ce qui plaît aussi aux amoureux du département : les navettes thématiques un peu plus chères mais bien souvent complètes au moment du départ. Celle d’aujourd’hui, sur « L’Ourcq, ses histoires, ses anecdotes et la grande écluse », a déjà été prise d’assaut. Il faudra opter pour la croisière « Boat-movie », sur l’histoire du cinéma le long du canal, qui partira demain à 11 heures du bassin de la Villette (12 €). A bord, un comédien fait revivre aux passagers des scènes célèbres du cinéma et leur fait découvrir de nombreux lieux de tournage, salles de projection… La nouveauté de l’été? Les croisières nocturnes pour déguster du vin à la nuit tombée (35 €). Et si vous avez le mal de mer, aucun souci. D’autres promenades animées à pied ou à vélo sont assurées tout l’été le long du canal.

www.tourisme93.com

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 2 Août 2013

pistolet-et-la-balle-se-concentrer-sur-l-39-arme.jpgUne berline allemande a pris pour cible les passagers d'une voiture dont les occupants sont connus des services de police pour trafic de drogue. Un homme a été tué, et le pronostic vital du second passager est engagé.

Deux hommes, connus très défavorablement des services de police pour trafic de drogue, ont été la cible de coups de feu jeudi soir à Sevran. Circulant en voiture dans les cités rivales du Rougement et des Beaudottes, les deux hommes étaient arrêtés à un feu rouge vers 23 heures quand une berline allemande de couleur sombre s'est portée à leur hauteur et a fait feu, selon les informations du Parisien.

Le tireur a touché à bout portant le passager avant de la voiture avant de prendre la fuite. La balle a traversé le cou de ce dernier et s'est logée dans la clavicule du passager arrière. Le conducteur n'a lui pas été ciblé. Il a immédiatement conduit les deux hommes à l'hôpital Robert Ballanger, à Aulnay-sous-Bois. L'homme touché au cou, âgé de 27 ans, est décédé. Le pronostic vital du second passager de 32 ans, touché à la clavicule, est lui engagé. L'enquête a été confiée à la police judiciaire de Seine-Saint-Denis.

Une plaque tournante du trafic de drogue

«C'est un règlement de comptes», assure Stéphane Gatignon, le maire EELV de la ville. «Là, il s'agit du même système qu'à Marseille: une structuration mafieuse autour du trafic de drogue auquel il faut aujourd'hui s'attaquer». Les deux victimes gravitaient autour d'une bande qui contrôle des territoires de Sevran, l'une des plaques tournantes du trafic de drogue en Seine-Saint-Denis. L'homme blessé à l'épaule avait été jugé avec d'autres comparses en fin d'année dernière pour avoir participé en 2008 à la séquestration et au meurtre du leader d'une bande rivale, auquel ils voulaient reprendre le contrôle du trafic de drogue dans une cité de la ville. Le chef de leur gang, Issam Saad, avait été condamné à 25 ans de prison. L'homme aujourd'hui blessé avait été acquitté, faute de preuves.

Le maire de Sevran assure que ce règlement de compte n'a rien à voir avec le décès d'un jeune homme de 24 ans au cours d'une rixe entre bandes rivales, début juillet. La victime avait été touchée par plusieurs balles dans le ventre et avait reçu plusieurs coups de barre de fer.

Source : http://www.lefigaro.fr

 

 

 

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Sécurité publique

Publié le 2 Août 2013

 RSA-2Stéphane Troussel, le président PS du conseil général, parlait de « bouffée d’oxygène » après le pacte conclu le 16 juillet dernier entre l’Etat et les départements concernant les dépenses liées au RSA (revenu de solidarité active). Il espère obtenir en 2014 les 120 à 130 M€ qui manquent à la Seine-Saint-Denis pour financer cette allocation. 

Pierre Laporte, le président du groupe Front de gauche, parle lui de « jeu de dupes ». « Nous ne partageons ni son euphorie, ni son optimisme », ajoute-t-il. Il s’interroge d’abord sur les conditions de répartition entre les départements des 830 M€ reversés au titre de la gestion de la taxe foncière. « Les critères sociaux seront-ils pris en compte? » Autre point, les 1,3 Mds€ restants promis par l’Etat proviendront d’une hausse de la taxe sur les achats et les ventes immobilières. « Cette mesure ignore le recul des transactions immobilières », pointe encore l’élu. Une inquiétude partagée par Stéphane Troussel lui-même qui assurait « il va falloir rester mobilisés ».

Enfin, Pierre Laporte rappelle qu’au titre de la modernisation de l’action publique, l’Etat va amputer les moyens qu’il donne aux collectivités. « En réalité, rien n’est réglé sur le fond pour 2013 et encore moins pour 2014! ».

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Finances

Publié le 2 Août 2013

Du 3 au 25 août, le parc Ballanger se transforme en base de loisirs. Un rendez-vous convivial organisé par les centres sociaux autour d’un programme d’activités culturelles, sportives et ludiques gratuites.

Cette édition 2013 s’articule autour de trois thématiques, une par semaine : nature et découvertes, sport, rêve et féerie. De quoi satisfaire tous les goûts et toutes les tranches d’âge, dans un même esprit de convivialité, de plaisir et dans la détente. Randonnée à vélo, à poney ou à... chameau, cross, gym aquatique, saut à l’élastique, trois bassins nautiques, baptême en montgolfière, retransmissions sur écran géant et  restaurant.

Les parents qui souhaitent participer aux activités adultes pourront inscrire sur place leurs enfants au centre de loisirs et au club loisirs. Les Aulnaysiens auront accès gratuitement à toutes les activités. Cependant, ils devront pour cela être munis du Pass’Ballanger. Plus qu’un coupon, c’est un véritable sésame pour les loisirs. Les non Aulnaysiens devront, eux, acquitter un droit d’entrée (2 € par adulte, 1,50 € par enfant). Bon été à Ballanger !

Le Pass’Ballanger est à télécharger en cliquant ici.

Source : aulnay-sous-bois.fr

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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Fêtes et Cérémonies

Publié le 1 Août 2013

garererbaulnay.JPGVous trouverez ci-dessous une lettre du président du STIF (Syndicat des Transports d’Ile-de-France), Jean-Paul Huchon, adressée au président de l’association Aulnay Environnement, André Cuzon. Interpellé sur la mise en place dès le 2 septembre 2013 du RER B Nord+ et ses conséquences sur la gare d’Aulnay-sous-Bois notamment, monsieur Huchon se montre particulièrement optimiste c’est le moins que l’on puisse dire. C’est ainsi qu’il écrit : « les nouveaux arrêts en gares bénéficieront directement ou indirectement à tous les usagers de la ligne B puisque la régularité de la ligne en sera améliorée et que le lien entre toutes les gares sera renforcé, y compris depuis la gare d’Aulnay-sous-Bois ». Cette phrase à elle seule sonne comme un véritable camouflet pour celles et ceux qui refusent le passage en omnibus et demandent le maintien de trains directs à Aulnay-sous-Bois. Quoi qu’il en soit, les usagers jugeront à la rentrée prochaine…

Ce document est également disponible au format pdf en cliquant ici.

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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Transports

Publié le 1 Août 2013

immobilieriledefrance.jpgEtonnant ! En dépit de la crise et de la hausse du chômage, la capacité des Franciliens à acquérir un bien immobilier continue à progresser. C’est le baromètre trimestriel Capacim (Capacité d’achat immobilier) de Dauphine Crédit Foncier qui le dit. Les résultats de cet indicateur pour le premier trimestre 2013, qui seront dévoilés aujourd’hui, révèlent en effet des hausses trimestrielles de 0,4 à 8% selon les villes.

Paris plus accessible. Dur dur d’acheter un appartement à Paris. Pourtant, un tiers des ménages habitant l’Ile-de-France seraient en capacité de le faire selon le baromètre. Ils étaient 33,4% au premier trimestre 2013 contre 32,7% un an auparavant.

Une moitié de propriétaires potentiels. Un ménage sur deux en Ile-de-France, 53,4% exactement, a la possibilité d’acquérir un bien immobilier dans l’une des vingt communes de la région étudiées par Capacim.

Des situations très contrastées. « L’Ile-de-France se distingue du reste de la France par des écarts extrêmement significatifs », souligne-t-on au Crédit Foncier. Ainsi, sur les 20 communes retenues par le Capacim pour son baromètre, 67,9% de ménages franciliens peuvent acheter à Evry dans l’Essonne contre seulement 28,4% seulement à Neuilly. Plus généralement, en dehors de ces deux extrêmes, ils sont plus de 60% à pouvoir acquérir un bien immobilier à Palaiseau (91), Meaux et Fontainebleau (77), Cergy et Argenteuil (95), Saint-Denis ou Bobigny, et moins de 45% à Saint-Germain-en-Laye et Versailles (78), Boulogne et Issy-les-Moulineaux (92) ou Saint-Mandé et Vincennes (94). Idem pour les progressions : depuis le premier trimestre 2012, la proportion de Franciliens susceptibles d’acheter à Fontainebleau (77) a augmenté de 8,4%, de 7% à Saint-Germain (78) ou de 6% à Nanterre (92).

Des prix de l’immobilier en baisse. C’est, avec la baisse des taux de crédit, l’explication principale de cette hausse de la capacité d’achat des Franciliens. Les prix baissent et donc, le nombre de foyers qui peuvent acheter augmente. CQFD. Mais cette capacité reste théorique. Car dans la réalité le nombre de transactions n’augmente pas en proportion. Bien au contraire. Les ménages pourraient théoriquement se lancer dans un achat mais, par manque de confiance dans l’avenir, ils préfèrent reporter cette acquisition.

Source : Le Parisien

 

 

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Logement

Publié le 1 Août 2013

hollandeclihysousbois.jpgIl n’a fait que poser un pied au bord de la piscine de Clichy-sous-Bois. Pourtant, hier matin, François Hollande a pris un vrai bain de foule dans la ville et sur la pelouse de sa plage éphémère. Ce fut aussi pour la commune la première visite d’un chef d’Etat. En 2012, quand François Hollande est venu à Clichy, il n’était alors que candidat. « On veut voir le président. Mais il y a trop de journalistes », peste une habitante. Smartphone brandi à bout de bras, les Clichois doivent jouer des coudes pour capturer une photo du président de la République. Une ribambelle de femmes et d’enfants en tee-shirt et maillot de bains entreprennent pendant une bonne demi-heure de percer la double haie formée par la garde rapprochée du président et le cordon des médias. Certains peuvent profiter d’une aide inattendue. Une collaboratrice de l’Elysée fend la foule tenant une fillette par la main : « Tu veux voir le président ? » La petite hoche timidement la tête. Quelques minutes après, elle ressort un peu hébétée de ce face-à-face : « Il m’a demandé comment je m’appelais », bredouille l’enfant.

La plage et la future agence de Pôle emploi

Hier matin, lors de la signature du premier emploi franc de Clichy-sous-Bois, François Hollande s’est employé à réhabiliter l’image de la ville. « Clichy est une référence et un exemple qui peut être porté partout ailleurs », a-t-il lancé. Toujours dans son rôle de VRP de luxe, il a souligné : « Dès l’entrée dans Clichy, on voit à quel point les transformations ont été importantes. C’est une ville qui change. Elle a longtemps été identifiée comme une ville où des événements graves se sont produits. » Une allusion aux émeutes urbaines de 2005 qui avaient éclaté en réaction à la mort de deux adolescents, Zyed et Bouna, électrocutés dans un transformateur. Pour tourner définitivement cette page, le chef de l’Etat insiste : « Nous voulons faire confiance aux villes et aux quartiers. C’est dans les quartiers populaires que le taux de création d’entreprise est le plus fort. »

A sa sortie du parc d’activités de la Dhuys, une cinquantaine de curieux guettent l’apparition de François Hollande. Parmi eux, des employées municipales. Telles des groupies, elles essaient d’apercevoir sa silhouette. « Oui, j’ai voté pour lui. A vrai dire, je ne sais pas exactement pourquoi il est là aujourd’hui », avoue l’une d’elles. Aux fenêtres, des riverains mitraillent avec leurs appareils photo le remuant cortège.

Puis le président entreprend de parcourir à pied les deux cents mètres qui le séparent de la future agence Pôle emploi, dans le quartier du Plateau de Clichy. En territoire ami, le président a été accueilli par Olivier Klein, maire socialiste d’une commune qui l’avait plébiscité à 72% aux présidentielles de 2012. Hier, malgré la crise et une popularité en berne, la ferveur autour de François Hollande était bien réelle.

Seules notes discordantes : l’irruption, vite maîtrisée, d’un supporteur de la cause malienne. Mais aussi le coup de sang d’Eric Raoult, maire UMP du Raincy, qui n’avait pas été convié à la table ronde. Il s’est dit ulcéré par « le sectarisme socialisme ».

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 1 Août 2013

EFSdondusangA la suite d’une baisse de la fréquentation des lieux de collecte, « les réserves en produits sanguins diminuent fortement dans toute l’Ile-de-France », alerte l’Etablissement français du sang (EFS). L’EFS Ile-de-France lance donc un appel à la mobilisation des Franciliens. Dans le département, les habitants de plus de 18 ans peuvent donner leur sang du lundi au samedi à Bobigny, de 8 h 30 à 15 h 30 à l’hôpital Avicenne, situé au 125, rue de Stalingrad.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Santé

Publié le 1 Août 2013

primark.jpgPrimark, l’enseigne de mode tendance à petits prix, célèbre outre-Manche, va débarquer en France au printemps 2014. Ce poids lourd de la planète fashion a choisi de faire ses premiers pas dans le centre commercial O’Parinor, à Aulnay-sous-Bois. Il se déploiera sur 5000 m2 (l’équivalent de la superficie d’un Décathlon) dans un centre commercial rénové, en lieu et place de Saturn et de Boulanger. Il représentera, après Carrefour, la plus grande superficie commerciale de la galerie marchande. Installé sur le créneau du « fast fashion », comme H&M, Primark propose des gammes de prix très accessibles et renouvelle souvent ses collections. En effet, cette chaîne britannique réapprovisionne ses rayons plusieurs fois par jour avec de nouveaux vêtements. Chaque pièce n’excédant pas, en moyenne, 20 €.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Commerce