Publié le 13 Janvier 2014

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Coucou Valérie ! C'est moi !

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Humour

Publié le 13 Janvier 2014

au-revoir.jpgAprès bientôt  cinq ans de loyaux services, le blogueur Stéphane Fleury se met à partir d’aujourd’hui en retrait de la rédaction d’Aulnaylibre ! La continuité du blog sera assurée en toute sérénité par les autres rédacteurs. 2013 restera une année de fréquentation record pour notre site qui a dépassé la barre des 200 000 visiteurs uniques. 2014 commence d’ailleurs sur des bases encore plus élevées. C’est pourquoi nous poursuivrons l’aventure au moins un an supplémentaire avec la même envie de vous informer, distraire, amuser, agacer, énerver, chahuter, le tout avec la liberté de ton qui nous caractérise. A cet égard, Aulnaylibre ! reste et demeure à ce jour le seul et unique blog de la ville d’Aulnay-sous-Bois dont aucun membre n’est adhérent ou militant d’un parti politique ce qui nous permet un traitement de l’information sans pression ni ingérence de quiconque.

A bientôt sur Aulnaylibre ! l’info sur Aulnay 100 % libre et indépendante !

Un grand merci à nos fidèles lectrices et lecteurs !

La rédaction d’Aulnaylibre !

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #En route vers 2014 !

Publié le 13 Janvier 2014

Ils ont fait leur petit effet... Dimanche après-midi, à 15 heures, en plein mois de janvier... suite à un appel à une journée sans pantalon du collectif « No pants subway ride » transmis sur les réseaux sociaux*, près de 300 Parisiens - plutôt jeunes - ont pris le métro en slip ! « Il y avait trois mots d’ordre, sourit Lea, étudiante : faire comme si de rien n’était, ne pas se parler et ne pas porter de string ! ».  Les intrépides se sont rassemblés au rond-point de l’Etoile (VIIIe) puis sont descendus dans la station Charles-de-Gaulle-Etoile et se sont déshabillés sur les quais. Et en voiture Simone ! jusqu’à Bastille, devant le regard amusé des voyageurs ! « Ça ne mange pas de pain, ça reste correct, sourit Patricia, usager de la ligne 1.

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« C’est pour le fun, vante un Misaël en slip bigarré. C’est pour montrer aux gens qu’on est pareils, avec de grosses jambes, des maigres... » L’étudiant ingénieur, 22 ans, ajoute « C’est A bas les complexes ! ». Ce happening loufoque est né à New York en 2002. Depuis, une soixantaine de villes ont décidé de baisser le pantalon, Toulouse, Sydney, Hong Kong, Pékin et New Delhi... Hier, la jeune Lea en slip rose et noir glissait : « Le dimanche, il n’y a pas grand-chose à faire. Et il faut savoir montrer qu’on a de l’humour et le sens du ridicule ! »

* http://on.fb.me/1gk2Dnh

Tous en slip et en culotte dans le métro

 

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Humour

Publié le 13 Janvier 2014

Nous vous l’annoncions samedi dans nos colonnes. Le Parisien reprend ce matin l’information.

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 A la suite de l’incendie de la rue Pascarel, le 30 décembre à Aulnay, une collecte est organisée pour venir en aide aux familles qui ont tout perdu. Des vêtements, des chaussures pour enfants et adultes sont les bienvenus ainsi que de la vaisselle, du linge de maison, des produits d’hygiène, des cartables, des fournitures scolaires, des jouets et des livres.

Les objets sont à déposer à l’espace Gros-Saule, rue du Docteur-Claude-Bernard, jusqu’au 16 janvier.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #A vos quartiers !

Publié le 13 Janvier 2014

Etes-vous du côté obscur de la force? Les fans de « Star Wars » tourmentés par cette question trouveront peut-être une réponse à la Cité du cinéma à Saint-Denis, où se tiendra l’exposition « Star Wars Identities », du 15 février au 30 juin. Les plateaux de tournage 8 et 9 des studios géants de Luc Besson, qui s’étendent sur plus de 2 000 m2, seront aménagés pour présenter plus de 200 pièces originales issues des archives du Lucas Art Museum, situé à San Francisco (Etats-Unis) : maquettes, accessoires, costumes ou croquis qui ont construit l’univers de cette saga mythique, portée à l’écran pour la première fois en 1977 par le cinéaste américain George Lucas. Depuis plus de 35 ans, il conte les aventures de Luke et Anakin Skywalker, héros Jedi issus d’une galaxie très lointaine.

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Vaisseau de course, casques et… bikini de métal

Parmi les pièces de collection exposées, le fameux module-podracerd’Anakin, visible dans l’Episode I « La menace Fantôme » (1999), qu’il a fallu transporter sur les lieux de tournages tunisiens avec l’avion porteur Antonov, le plus long et lourd du monde. Les fans se régaleront aussi avec les casques de « Stormtrooper » ou… le bikini en métal de la Princesse Leia, objet mythique s’il en est, qui a même sa propre page sur l’encyclopédie en ligne Wikipédia!

Mais la principale originalité de l’événement se situe sans doute dans sa dimension interactive, et même psychologique. Equipé d’un audioguide et d’un bracelet, le visiteur est invité à répondre à une série de questions sur l’univers de la saga. A l’issue du parcours, chacun saura quelles forces l’habitent et trouvera à quel héros de la saga il s’identifie. Le profil du personnage, que ce soit Dark Vador, le robot R2-D2,Chewbacca, Luke Skywalker, Yoda ou la princesse Leia, sera ensuite envoyé par mail au visiteur. Pour concocter cette quête identitaire, autour de trois thèmes majeurs (origines, influences et choix), les organisateurs de l’exposition se sont entourés d’un conseil scientifique composé de plusieurs psychologues canadiens!

starwars-saint-denis.jpgL’expo a déjà remporté un grand succès au Canada

Première exhibition de grande ampleur dans le cadre majestueux de la Cité du cinéma, inaugurée en septembre 2012, cet événement « Star Wars » sera aussi une première européenne. L’exposition n’avait jusqu’à présent été vue qu’au Canada, où elle a atteint des records de fréquentation (plusieurs centaines de milliers de spectateurs, notamment à Montréal où il a parfois fallu étendre les horaires d’ouverture jusqu’à minuit). Pour le lancement en Europe de « Star Wars Identities », l’organisateur X3 Productions a choisi Saint-Denis. « Nous cherchions un lieu original et unique, lié au cinéma pour célébrer l’œuvre emblématique de George Lucas. La Cité du cinéma était le lieu idéal. Au plaisir de parcourir l’exposition s’ajoutera, pour le public, la satisfaction de découvrir pour la première fois ce lieu historique réservé jusqu’alors aux tournages », explique Frédérique Torres, directrice de l’exposition à Saint-Denis. Vous pouvez dès maintenant réserver vos billets pour découvrir le site et, du même coup, quel personnage vous auriez pu incarner dans cette épopée galactique…

« Star Wars Identities », exposition du 15 février au 30 juin à la Cité du cinéma, 20, rue Ampère à Saint-Denis. Tarif : 22 €, 17 €(4-14 ans), gratuit (moins de 4 ans). Pack famille (2 adultes et 2 enfants) à 70 €. Tarif réduit le mardi : 19 €. Billets collector avec cordon et pochette cadeau pour 4,90 € de plus. Billets en vente sur Starwars identities.fr, Ticketnet et les points de vente habituels.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Culture

Publié le 13 Janvier 2014

Pour protester contre la hausse de la TVA et « la concurrence déloyale » des voitures avec chauffeur, les taxis défileront ce matin à Paris et dans les grandes villes.

Ce matin, des milliers de taxis vont défiler sur les routes de France à l’appel de cinq syndicats (CFDT, CGT, FO, SDCTP et CST). Dans leur collimateur, le relèvement de la TVA sur les transports de 7% à 10% depuis le 1er janvier, mais surtout les voitures de tourisme avec chauffeur, les fameux VTC, qualifiés de « multinationales » et de « lobby qui détruit les emplois ». « Nous ne sommes pas contre la concurrence mais pour une concurrence loyale, assure Nordine Ahmane, délégué syndical de FO-Taxis. Celle des voitures avec chauffeur est déloyale. »

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Le spectaculaire essor des VTC depuis quatre ans 
Elles ne portent aucune signalétique et c’est impossible de les héler dans la rue. Pourtant, les sociétés de VTC, utilisées par Monsieur Tout-le-Monde, se sont multipliées depuis 2009 et le vote de la loi libéralisant cette activité et l’ouvrant aux auto-entrepreneurs. « Juste après cette loi sont arrivés les smartphones et de nouvelles applications de géolocalisation. Cela permet aux particuliers de réserver leur voiture dans le secteur, d’avoir de nombreux services à bord et de connaître le prix de la course avant de monter. Ils se sont précipités sur ces nouveaux outils! » explique Pierre Peyrard, le directeur de Taxiloc, une centrale de réservation de taxi. Mi-2013, on recensait dans l’Hexagone près de 5 300 entreprises de VTC exploitant plus de 9800 véhicules. Le nombre de taxis, lui, dépasse les 50 000.

Les taxis hurlent au « dumping » 

« Toutes ces sociétés contournent la loi en fonctionnant comme des taxis. Ils cassent les prix, font des courses à 8 €. Alors qu’on paye nos licences très cher, n’importe qui peut conduire ces voitures avec chauffeur », dénoncent les syndicats de taxi. Ils sont même soutenus par les syndicats des « voitures de grande remise », qui s’insurgent contre la banalisation des VTC. « Les taxis sont nos confrères. Il faut que l’Etat encadre davantage ces nouvelles sociétés », tempête Yves Andraud, le porte-parole du GTPVT (Groupement des transporteurs de personnes en voitures avec chauffeur).

Un quart d’heure entre la réservation et la course 

Depuis le 1er janvier, un décret oblige les VTC à respecter un délai d’un quart d’heure entre la réservation et la prise en charge du client. « Cette mesure est inutile », d’après Yanis Kiansky, le président-fondateur d’Allocab, qui a déposé un recours au Conseil d’Etat. Même l’Autorité de la concurrence émet des réserves : « Les comportements illicites des VTC qui pratiquent le racolage ne relèvent pas de la concurrence mais de la fraude. » Les taxis, eux, demandent un encadrement très strict des VTC avec un tarif minimal fixé pour chaque course.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Transports

Publié le 13 Janvier 2014

concert-musique_image_full.jpgDans le cadre de sa série « Carte blanche à… » le Conservatoire de musique et de danse d’Aulnay-sous-Bois, situé 12 rue de Sevran, propose ce soir à 18h un concert des élèves de la classe de musique de chambre et d’instruments du conservatoire. L’entrée est libre. Renseignements au 01 48 79 65 21.

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Culture

Publié le 12 Janvier 2014

Les enfants Rom du Vélodrome ont eu droit à ce qui ressemble à un cadeau de Noël ce samedi 11 janvier 2014. Une sortie au cirque franco-belge a en effet été organisée par  Baptiste d'Audaux  de l'ASET 93 (Association d'Aide à la Scolarisation des Enfants Tsiganes). Accompagnés par 5 membres du collectif de soutien aux familles Rom d'Aulnay-sous-Bois comme Jean-François Chevallier, Anne-Marie Vachon de RESF 93, Sébastien Ville et François Siebecke, ce sont au total 28 enfants âgés de 5 à 12 ans qui ont pu profiter du spectacle pour un moment particulièrement émouvant.

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Comme lors d'une sortie scolaire, ils se sont mis en rangs et étaient tout joyeux de l'événement à venir.

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Parcours du combattant pour sortir du camp.

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Comptage avant de prendre les billets d'entrée.

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Et c'est parti pour le spectacle.

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Denissa et Léon rient et applaudissent .

Voilà un grand moment de solidarité pour des enfants parmi les plus défavorisés de notre commune, ceux du campement. DES ENFANTS COMME TOUS LES ENFANTS DU MONDE .

Merci à l'ASET et au collectif Aulnaysien. Et comme disait Jean Jaurès « la fraternité est une pensée vivante » !

Marc Masnikosa

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Rédigé par Marc Masnikosa

Publié dans #Un autre regard par Marc Masnikosa

Publié le 12 Janvier 2014

Vous trouverez ci-dessous un texte et des photos transmises par Jean-Louis Kardides à notre rédaction évoquant la situation des lycées Voillaume et Jean Zay.

Le climat malheureux au lycée Voillaume est dû en partie au fait que les agents n'ont plus la possibilité de nettoyer entièrement cet établissement par manque de personnels (congés de maladie non remplacés),mais aussi à une principale qui semble se mettre à dos toute son équipe. Ce problème de quasi-insalubrité ne permet pas aux jeunes de se sentir respectés et intégrés. On retrouve le même problème près du lycée Jean Zay.

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Les jeunes fréquentant les installations de musculation jouxtant le lycée Jean Zay peuvent enfin accéder au site puisque la municipalité qui avait mis une clôture bien inutile à cet endroit leur laisse le passage.

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Les jeunes tentent de rendre ce lieu agréable. Ils ont trouvé on ne sait où un banc..... Mais malgré des demandes provenant des parents du lycée, ce lieu n'a aucune poubelle.

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Un jeune rencontré lors des prises de ces clichés disait: "On ne demande pas grand-chose, une poubelle et un peu de sable ou de béton pour ne pas patauger les jours de pluie".

Les caisses de la ville sont-elles si vides?

Texte et photos : Jean-Louis Karkides. (Avec nos remerciements pour sa contribution).

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Vous avez la parole

Publié le 12 Janvier 2014

peripherique-70kms.jpgCette fois, c’est fait. Depuis vendredi matin, la vitesse limite sur le périphérique est fixée à 70 km/h. Soit 10 km/h de moins que la précédente limitation qui était en vigueur depuis 20 ans.

La mesure respectée. Annoncée depuis plus d’une semaine sur les PMV (panneaux à message variable) qui surplombent l’anneau parisien, la mesure a été très respectée par la majorité des 1,3 million d’usagers quotidiens de l’axe routier. Par peur des radars bien sûr. Mais aussi parce que les embouteillages ont joué le rôle de « régulateur de vitesse ».

46 km/h en journée. Illustration sur un trajet test de la porte d’Italie à la porte de la Chapelle (soit une petite moitié du périphérique, lui-même long de 35 km) parcouru à 9h30, juste après l’heure de pointe. Le tronçon Italie-Bercy, avant l’arrivée de l’A 4, est encore noir de monde. Le flot de véhicules s’écoule à la vitesse de 32 km/h.

Après la porte de Vincennes, la circulation se fluidifie enfin. Surprise : pas un véhicule ne dépasse le 70. La file de gauche est même totalement désertée par les automobilistes, qui craignent d’être poussés à la faute par leurs « suiveurs ». L’embellie est de toute façon de courte durée puisqu’un nouveau ralentissement survient à la porte de Pantin. La vitesse moyenne sur le tronçon test s’élèvera finalement à 46 km/h. Bien loin du 70 autorisé.

Les motards gênés. Finie la remontée de files! Dans la grande descente de la porte des Lilas, un motard, qui respecte strictement le 70, roule derrière les voitures en zigzaguant dans la voie. « Cette réduction de 10 km/h est totalement injustifiée », dénonce Jean-Marc Belotti, coordinateur Ile-de-
France de la Fédération des motards en colère. Les pilotes de deux-roues notent d’ailleurs que la plupart des « bécanes » sont plus polluantes à faible vitesse.

Les radars reparamétrés. Les 14 radars automatiques du périphérique (il y en aura deux de plus dans quelques semaines) ont tous été recalés sur la nouvelle limitation de vitesse. Les flashs risquent donc de se multiplier les nuits prochaines. 

A la préfecture de police, on rappelait en tout cas qu’aucune consigne n’avait été donnée pour renforcer les contrôles avec radars mobiles sur le périphérique. 

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Transports

Publié le 12 Janvier 2014

manif-drancy.jpgIls ne veulent pas relâcher la pression. « Nous allons manifester tous les mois jusqu’en juin », prévient Alain Ramos, président du Corigat. Ce collectif de riverains de la gare de triage organisait hier un défilé entre la mairie du Blanc-Mesnil et la gare de Drancy, site majeur du fret ferroviaire francilien, où transitent chaque année près de 250000 wagons, dont 13000 chargés de matières dangereuses. Environ 300 habitants, élus et membres d’associations ont répondu présent.

Depuis plusieurs mois, le Corigat réclame « l’arrêt du transit et du stationnement de trains transportant des matières dangereuses » au cœur de cette zone fortement peuplée. Une mobilisation qui a pris de l’ampleur après les deux déraillements du mois de décembre, impliquant un wagon (vide) d’acide chlorhydrique et un de déchets radioactifs. Après ce dernier incident, le 23 décembre, l’autorité de sûreté 
nucléaire (ASN) a mené l’enquête et relevé des traces de radioactivité supérieures à la normale sur le wagon sorti des voies.

L’inquiétude gagne les habitants

Pour la première fois, les organisations Greenpeace et Sortir du nucléaire se sont joints au cortège des riverains, hier. « Les pompiers ou la 
SNCF n’ont aucune formation spécifique en matière de nucléaire. En cas d’accident grave, personne ne sait ce qu’il faut faire pour décontaminer », dénonce Alain Carnini, du réseau Sortir du nucléaire. « Quand on voit les responsabilités de la SNCF et de RFF dans le drame de Brétigny, nous n’avons pas de raisons de leur faire confiance pour Drancy », estime Alain Ramos.

Du côté des habitants, l’inquiétude grandit aussi. « Quand l’alarme s’est déclenchée après les déraillements, on n’a pas su quoi faire, dénonce Nicole, habitante du Blanc-Mesnil. On n’a aucune instruction! Je recevais de la famille, ils ont préféré partir en courant… Je me demande si je ne vais pas acheter des masques à gaz. »

Dans le cortège hier avec de nombreux élus et partis politiques, le maire (PC) du Blanc-Mesnil, Didier Mignot, a annoncé la tenue d’un comité local d’information avant le 15 février. « Le ministre des Transports, Frédéric Cuvilier, me l’a confirmé il y a deux jours », indique l’élu, qui a également saisi le tribunal administratif pour demander une enquête en urgence. « Il faut que l’Etat prenne ses responsabilités », martèle Didier Mignot.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Environnement

Publié le 12 Janvier 2014

autos.jpgMichel Romanet est un homme heureux. Ce matin, sa « Traversée de Paris en anciennes » va envahir Paris. Avec pas moins de 600 automobiles, 50 motos et 28 tracteurs, la 14e édition, organisée par l’association Vincennes en anciennes, qui compte plus de 1000 membres, va permettre à tous les nostalgiques de belles automobiles d’admirer un véritable musée roulant dans les plus beaux lieux de la capitale, comme la place de la Bastille, Montmartre, les Invalides ou bien encore au pied de l’Obélisque de la place de la Concorde. Ici, les amateurs et curieux pourront même se faire photographier au volant ou au guidon des plus belles machines (entre 10 heures et 10h45). 65 marques représentées dont la plupart disparues

De la Brasier de 1903, jusqu’à la Ferrari 355 F1 de 1999, en passant par les curieuses 
Citroën Ami 6 et les prestigieuses Rolls-Royce Silver Cloud de 1964, plus de 65 marques automobiles seront représentées, la plupart aujourd’hui disparues. Un défilé hors du commun également puisque les tracteurs, plus habitués aux balades champêtres, iront battre le pavé jusqu’aux Champs-Elysées. Du luxe, de l’utilitaire avec les vieux camions du boucher et du dépanneur, mais aussi de l’insolite sur deux, trois ou quatre roues, à l’instar de cette curieuse voiture à trois roues britannique, de la toute petite Isetta française (une Smart bien avant l’heure) ou de l’imposante Cadillac « 59 » américaine et fière d’étaler ses ailerons démesurés.

Assister à une traversée de Paris, c’est l’occasion de découvrir des autos exceptionnelles en revivant près d’un siècle de mémoire automobile. Un spectacle gratuit et accessible à tous. Puis, de midi à 16 heures, sur l’esplanade du château de Vincennes, chacun pourra échanger avec les propriétaires, jamais avares de commentaires sur leurs belles automobiles.

L’événement permet de rappeler que Paris et sa proche banlieue ont été le fer de lance d’un savoir-faire automobile. Les usines Panhard siégeaient dans le XIIIe arrondissement, alors que Citroën assemblait en 1919 sa Type A, sa première automobile du côté de Javel. Quant à Louis Renault, c’est dans son tout petit atelier, installé dans le jardin familial de Boulogne-Billancourt, que le jeune inventeur lança son empire. Si les grands carrossiers d’avant-guerre, comme Chapron, Saoutchik, Figoni-Falachi et Franay ont signé les courbes des plus belles automobiles du monde entre les deux guerres, il reste aujourd’hui peu de lieux pour témoigner du passé. Raison de plus pour entendre, aujourd’hui dans les rues de Paris, ronronner les moteurs de ces belles du temps passé.

Rens. : vincennesenanciennes.com. 

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 12 Janvier 2014

telephone.jpgTrois individus se sont introduits vendredi soir vers 19h30 dans une boutique de téléphones portables, située rue de Bondy à Aulnay-sous-Bois. Après avoir enfermé les vendeurs dans la remise, ils se sont emparés d’une grande quantité de téléphones avant de prendre la fuite. La police d’Aulnay est à leur recherche.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Commerce

Publié le 12 Janvier 2014

Yoann-Freget.jpgLa saison 3 de « The Voice » a démarré hier soir sur TF1 et le centre commercial le Millénaire accueille aujourd’hui, à 16 heures, Yoann Fréget, pour un concert gratuit et une séance de dédicace. Le gagnant de la saison 2 vient de sortir son premier album, « Quelques heures avec moi ».Par ailleurs, de 10 heures à 20 heures, les visiteurs pourront aussi se mettre dans la peau d’un coach de « The Voice » en prenant place, le temps d’une photo, sur le célèbre fauteuil rouge de l’émission. Les clichés seront ensuite mis en ligne sur les sites de TF1 & Vous et MYTF1, puis partagés sur la page Facebook du télé-crochet à succès de la première chaîne ainsi que sur celle du centre commercial.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #93 Infos

Publié le 11 Janvier 2014

C’était ce matin dans une rue pavillonnaire d’Aulnay-sous-Bois. Un camion poubelle qui faisait sa tournée du samedi s’est trouvé littéralement bloqué à cause d’une voiture en stationnement. Elle était pourtant positionnée de façon tout à fait réglementaire, ce qui signifie que la voirie n’est tout simplement plus adaptée aux besoins. Voici donc une excellente occasion de rappeler que les problèmes de circulation ne se limitent malheureusement pas qu’aux grands axes dans notre ville. Ils touchent de plus en plus le secteur pavillonnaire.

Il est vrai que la multiplication des véhicules combinée à la sur-densification des parcelles constructibles par la suppression du coefficient d’occupation des sols (COS) et la subdivision des terrains ne sont pas étrangères à cette situation. Ainsi, malgré quelques coups de klaxon et l’interpellation des riverains, impossible de trouver le conducteur. Le camion a donc dû rebrousser chemin. C’est ballot, non ? D’où cette petite réflexion du soir : avant de construire n’importe quoi, n’importe où et n’importe comment il convient de réfléchir soigneusement au cadre de vie existant des riverains. C’est pourtant du bon sens. N’est-ce pas Gérard Ségura ?

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #A vos quartiers !

Publié le 11 Janvier 2014

Vous trouverez ci-dessous un message annonçant l’organisation d’une collecte solidaire en faveur des victimes de l’incendie au Gros Saule à Aulnay-sous-Bois intervenu le lundi 30 décembre 2013.

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Suite à l’incendie qui a eu lieu au Mail Pascarel, des familles ont perdu un certain nombre de biens personnels. Si vous avez des vêtements   et chaussures (enfants et adultes), vaisselle, linge de maison, boîtes de rangement, produits d’hygiène, cartables, fournitures scolaires, jouets, jeux et livres, vous pouvez les apporter à l’Espace Gros Saule jusqu’au 16 janvier 2014 rue du Dr Claude Bernard (à côté de l’antenne jeunesse Tabarly). Nous nous occuperons de les donner aux familles touchées par ce terrible événement. Nous comptons sur votre générosité.

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #A vos quartiers !

Publié le 11 Janvier 2014

voillaume-aulnayAu lycée Voillaume à Aulnay-sous-bois (Seine-Saint-Denis), les enseignants ont fait grève cette semaine. Dans cet établissement, 63% des élèves sont issus de classes sociales défavorisées. Entre l'indifférence de l'administration et celle de certains élèves, pas facile d'enseigner correctement comme le raconte ce professeur.

Vous savez, c'est à nous que vous demandez: "Alors, c'est pas trop dur ?". Nous enseignons en Seine-Saint-Denis, dans un établissement classé en zone prévention violence. Jusqu'à cette année, nous répondions d'un sourire un peu las : "non, ça va, faut pas croire tout ce qu'ils disent à la télé". Remarquez bien qu'il ne faut pas plus le croire aujourd'hui. Nos élèves n'ont pas changé, et nous avons toujours le même plaisir à travailler avec eux, en dépit de difficultés indéniables que nous avons systématiquement surmontées.

Clarté, rigueur et fermeté

C'est Aulnay-sous-Bois. C'est (ce fut) PSA. C'est un lycée de plus de 2.000 élèves, pour plus de 200 enseignants. C'est un public composé à 63% de catégories socio-professionnelles défavorisées. Mais c'est aussi plus de 80% de réussite au bac en 2013. C'est, en somme, un petit coin de République. Alors, qu'est-ce qui ne va plus ? Dans un tel établissement, la réussite de chaque élève requiert clarté, rigueur et fermeté – mais pas seulement dans les salles de cours. L'ensemble de nos supérieurs hiérarchiques, de la direction au Rectorat, doit tenir bon avec nous sur ces trois exigences. Et c'est là que le bât blesse.

De la nonchalance à l'insolence

Parmi les missions que nous n'arrivons plus à assurer : sauver les élèves en décrochage. Depuis le 12 septembre, on signale que l'un d'entre eux dort en cours, bavarde, se présente sans son matériel. Plus le temps passe, moins il comprend ce qu'on attend de lui, et ce qu'il fait là. La nonchalance se mue en indifférence, l'indifférence en inconscience, l'inconscience en hostilité, l'hostilité en insolence. Il est plus que temps, déjà, de convoquer une commission éducative, qui permet de rassembler autour de l'élève enseignants, parents, vie scolaire et direction afin de réfléchir à une solution individualisée.

22 novembre : première tentative : les parents ne sont convoqués que le vendredi pour le mercredi midi. L'élève n'est pas au courant. La commission est reportée.

9 décembre : deuxième tentative : les professeurs principaux ne sont pas informés. La commission est de nouveau reportée.

11 décembre : La direction annonce qu'elle fixera une nouvelle date.

10 janvier : La commission n'a toujours pas eu lieu et l'élève a véritablement décroché.

Or, c'est dans ces moments où l'autorité et l'accompagnement font défaut que des incidents plus graves peuvent survenir. Et dans notre lycée, cela arrive; la politique disciplinaire de la direction révèle alors les mêmes carences.

voillaume.jpgViolences des élèves et indifférence des supérieurs

Un œuf est lancé à deux reprises en direction d'un enseignant, une bombe lacrymogène est vidée en classe : la direction n'a consenti à réunir des conseils de discipline que suite à l'exercice de notre droit de retrait. D'autres incidents graves restent à ce jour encore non traités. Échec à tous les étages. Comment pourrait-il en être autrement quand, à la discipline et au respect que l'on demande aux élèves, ne répondent de la part de notre hiérarchie aucune clarté, aucune rigueur, aucun respect des temporalités, aucune volonté de concertation ? Mais tant que le lycée survit, ceux qui le font vivre au quotidien ne se heurtent qu'à l'indifférence de leurs supérieurs. Nous ne pouvons pas continuer ainsi.

Arrivés au terme de cinq jours de mobilisation, nous espérons parvenir à nous faire entendre au-delà des murs réels et symboliques auxquels nous nous heurtons quotidiennement. Nous réaffirmons ici le choix qui est le nôtre : enseigner dans un établissement sensible pour garantir à nos élèves l'égalité des chances et la possibilité de choisir leur avenir. Qu'on nous aide.

Source : http://leplus.nouvelobs.com

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Education

Publié le 11 Janvier 2014

badges-stade-de-france.jpg«On a l’impression que tout Saint-Denis veut son badge... » Le service voirie de la ville de Saint-Denis a beau en avoir l’habitude, il doit se mettre en ordre de bataille chaque début d’année. Un renfort est présent tous les jours et une permanence se tient chaque samedi de janvier*. C’est en effet la période du renouvellement des badges d’accès pour les riverains du périmètre de sécurité du Stade de France. Cette année, 1671 habitants, qui vivent dans les rues dont les accès sont bouclés à chaque événement, peuvent venir récupérer le précieux sésame qui va leur permettre de circuler les jours de concert ou de matchs (coup d’envoi le 25 janvier avec Racing-Toulouse en rugby).

Munie de sa carte grise et d’un justificatif de domicile de moins de trois mois, Francine Helou est venue retirer son badge jeudi matin en mairie. « C’est indispensable! Même s’il y a encore quelques accrocs avec la police, cela se passe mieux », estime la vice-présidente de l’amicale des locataires du Gai-Logis (201 logements avenue Wilson, juste au pied du stade), qui a vu pousser l’enceinte sous ses fenêtres. « Parfois, des médecins ne peuvent pas venir soigner des personnes âgées ici. Et pour l’anniversaire de mon fils, la famille a dû tourner pendant deux heures... » Les riverains regorgent d’anecdotes de ce genre : impossibilité de se garer dans son propre parking, interdiction par la police de faire 50 m dans sa rue... « Une fois, on a failli en venir aux mains avec les forces de l’ordre. On a fini par abandonner notre voiture sur un 
carrefour avant que les agents ne comprennent », se souvient Mauricette Mezzo, de l’association Landy Ensemble, à Aubervilliers. L’autre ville du Stade de France distribue aussi ses badges aujourd’hui**.

« Comparé à la situation il y a 4 ou 5 ans, il y a eu d’énormes améliorations », estime Christophe Girard (Parti de Gauche), adjoint au maire de Saint-Denis, délégué au quartier Stade de France, qui cite la création de parkings pour les motos, le maintien des accès aux commerces ou l’installation d’urinoirs mobiles.

Le dispositif des badges semble désormais bien intégré par la police, les riverains et les stadiers. Au point de séduire de plus en plus les entreprises présentes dans le périmètre. A la faveur notamment de l’arrivée de SFR et de la SNCF dans le secteur, la ville de Saint-Denis a délivré cette année... 15440 badges aux salariés des entreprises. « Comme pour les riverains, ils pourront entrer dans le périmètre à condition d’avoir des solutions de stationnement », précise Christophe Girard.

*Permanence aujourd’hui de 9 heures à 12 heures, salle 11/13 au rez-de-chaussée du centre administratif, place du Caquet à Saint-Denis. En semaine de 9 heures à 12 heures et de 13h30 à 17h30 au 3e étage. **Aujourd’hui de 9 heures à 12 heures, centre Henri Roser, 38, rue Gaétan Lamy à Aubervilliers. En semaine, à la Direction prévention et sécurité, au 1, boulevard Anatole France. 

Source : Le Parisien

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Publié le 11 Janvier 2014

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Vous trouverez quelques photos envoyées par notre chasseur de Castors diplômé Jean-Louis Karkides nous informant de l’énorme succès de la manifestation qui s’est déroulée ce matin entre la mairie du Blanc-Mesnil et la gare de Drancy contre les trains de déchets nucléaires.

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La manif est partie de la mairie de Blanc-Mesnil pour rejoindre la gare de Drancy. Nous étions bien 300.

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Elus de Blanc-Mesnil, d'Aulnay (EELV seuls représentés), Aline ARCHIMBAUD(sénatrice EELV),J.F BAILLON (CG93 EELV),Hervé BRAMY (CG93 PCF), l'association CORIGAT (riverains),les mouvements "sortir du nucléaire", et "Green Peace".

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Source texte et photos : Jean-Louis Karkides, militant EELV et chasseur de Castors diplômé.

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Publié le 11 Janvier 2014

mosquee-aubervilliers.jpgDans le petit salon de l’hôtel de ville comble, l’association des musulmans d’Aubervilliers (AMA) a signé hier, avec la ville, la promesse de deux baux emphytéotiques. Ils renvoient à des contrats de très longue durée qui autorisent l’association des musulmans à disposer des terrains contre une redevance modique. Cette signature concrétise les prémices de la construction de la mosquée d’Aubervilliers et d’un édifice culturel. Sur 4000 m2, situés dans le quartier Port-Chemin-Vert, entre l’A86 et le canal, ces deux projets verront le jour dès que l’association aura réuni les financements.

L’attribution d’un terrain, une ancienne friche industrielle, constitue une grande avancée pour ce dossier initié en 2001 par deux étudiants, Mohamed Karroumi et Rachid Zaïri. Toujours mobilisés aujourd’hui, ce sont eux qui ont paraphé la convention. Ils se souviennent du parcours du combattant pour parvenir jusque-là. En 2001, alors que les mosquées commencent à sortir de terre dans les communes environnantes, Aubervilliers ne possède pas même une esquisse de projet. « En 2001, les musulmans d’Aubervilliers devaient se déplacer à La Courneuve ou à Pantin, il n’y avait rien dans leur ville », raconte Rachid Zaïri, secrétaire général de l’AMA. Une pétition de 3500 signatures prouve qu’il y a une véritable attente.

Tous les vendredis, pour la prière, les deux lieux de cultes, la mosquée de la Fraternité et la salle de prière du commissariat peinent à contenir un millier de fidèles. Les responsables de l’AMA estiment le nombre de musulmans à 5000 à Aubervilliers. La future mosquée a été dimensionnée en conséquence et pourra accueillir 4000 pratiquants.

Le maire (
PS) Jacques Salvator avait promis dans ses engagements de campagne en 2008 un terrain pour édifier une mosquée. Toujours en convalescence, il n’était pas là hier. Evelyne Yonnet, la première adjointe qui assure l’intérim, l’a martelé à sa place : « La promesse a été tenue ». « Dans une ville comme Aubervilliers, dont une part des habitants est de confession musulmane, il est nécessaire et juste que les fidèles disposent d’un véritable édifice cultuel qui leur permette de célébrer leur religion dans des conditions de dignité satisfaisantes », avait rappelé Jacques Salvator, en mars dernier.

Deux délibérations de décembre 2011 et juillet 2012, ont permis de définir les deux projets. Il ne s’agira pas d’un simple lieu de prière. A l’ombre du minaret, s’élèvera un centre culturel. L’AMA souhaite lui donner un rayonnement départemental. Il accueillera des événements culturels mais aussi un salon de thé, une salle de remise en forme, un hammam, une librairie. « Nous voudrions qu’il devienne un mini-Institut du monde arabe. Il sera ouvert à tous. C’est une main tendue », explique Mohamed Karroumi.

L’ensemble se déploiera avenue Franklin-Roosevelt, dans le futur quartier de Port-Chemin-Vert.

Prochaine étape, et pas des moindres : le rassemblement des financements. « Nous avons déjà 10% du budget », explique Rachid Zaïri. Ce qui représente 600000 €. Un footballeur professionnel, évoluant dans un grand club anglais, a promis de participer. Et maintenant que le projet est en bonne voie, les contributeurs se pressent. « Depuis un an, l’association parvient à mobiliser pas moins de 50000 € tous les mois », indique-t-on en mairie, rappelant que la construction de la future grande mosquée et son centre culturel, seront entièrement à la charge de l’AMA.

Source : Le Parisien. Vidéo d’illustration Aulnaylibre ! : Mosquée d’Aulnay-sous-Bois

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Publié le 11 Janvier 2014

Un nouveau commissariat, c’est bien, mais avec plus de policiers, c’est encore mieux. La visite lundi dernier de Manuel Valls, ministre de l’Intérieur, venu officialiser le lancement des travaux du futur commissariat de Livry-Gargan qui devrait ouvrir en 2016, continue de faire réagir. « On ne peut que se féliciter de l’ouverture programmée d’un nouveau commissariat, mais rappelons que les outils essentiels pour lutter contre l’insécurité résident dans des moyens matériels et humains conséquents », réagit Gérard Prudhomme, candidat (UDI) à Livry-Gargan. 


D’après le responsable départemental de la sécurité publique, il y aurait « une petite centaine » de fonctionnaires affectés à Livry-Gargan. Selon nos informations, le nombre est plus proche de 80. Manuel Valls n’a pas éludé la question des effectifs, rappelant au préalable les conséquences de la « RGPP », la révision générale des politiques publiques engagées par le précédent gouvernement, qui a eu pour effet la suppression de 13500 postes de policiers et gendarmes sur tout le territoire. « Il faudra quatre à cinq quinquennats pour remplacer les postes supprimés », a estimé Manuel Valls, qui s’emploie à réembaucher des policiers. « Votre département a été l’un des premiers à être dotés » des nouvelles sorties d’école, a-t-il précisé à Livry-Gargan. Pour autant le solde de fonctionnaires reste déficitaire, y compris en Seine-Saint-Denis au regard des dernières mutations accordées en septembre.

A Sevran — où, selon nos informations, 110 policiers travaillent —, le Front de gauche fait signer depuis décembre une pétition pour l’obtention d’effectifs de police supplémentaires et la création d’un commissariat de plein exercice. Le commissariat doit être reconstruit mais il est toujours dépendant de celui d’Aulnay-sous-Bois. « Si l’on prend en compte le nombre d’infractions, Sevran dispose de moins de policiers qu’il n’y en a dans les Hauts-de-Seine, il n’y a pas d’équité républicaine », commente Clémentine Autain, candidate Front de gauche qui assure que la pétition a déjà recueilli cinq cents signatures.

Source : Le Parisien Vidéos : Aulnaylibre !

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Publié le 11 Janvier 2014

Bobigny.jpgL’université Paris-XIII propose depuis deux ans, à Bobigny, une année préparatoire aux études de médecine, unique en France.

Ils ont tous le bac en poche. Mais, souvent, ils n’ont pas opté au lycée pour la voie royale des futurs médecins (le bac scientifique), ont obtenu des résultats un peu justes ou manquent cruellement de confiance en eux. Du coup, ces jeunes du département n’ont pas osé se lancer dans le grand bain en intégrant directement une première année de médecine, très sélective, à la sortie du lycée. Leur solution, pour tenter de décrocher un jour le précieux diplôme? Intégrer la prépa santé de l’université Paris-XIII, unique en France et lancée depuis deux ans seulement.

L’objectif de l’année préparatoire aux études de santé (Apes), « rétablir un peu de justice sociale alors que les boîtes privées sont très coûteuses, et permettre aux étudiants de notre territoire de mieux réussir dans des études très sélectives », assure le président (PS) du conseil général, Stéphane Troussel. Mais aussi appuyer leur formation en espérant qu’une fois médecin ils resteront en Seine-Saint-Denis pour exercer leur profession.

« Les indicateurs de mortalité du département sont très élevés, l’espérance de vie y est plus faible et la démographie médicale est particulièrement dégradée actuellement, précise l’élu. Nous sommes un département urbain qui reste marqué par la désertification médicale. » Voilà aussi la raison pour laquelle le département finance à hauteur de 50000 € par an cette formation.

Les jeunes qui parviendront à devenir médecins resteront-ils pour autant en Seine-Saint-Denis? Selon Jean-Luc Dumas, le directeur de l’UFR santé de Paris-XIII, une étude réalisée avec le corps médical du département semble le prouver. « Le taux de dispersion des élèves de médecine originaires du département est minimal, assure-t-il. Cette tendance est très positive. »

Dans la salle de Bobigny, hier après-midi, la quarantaine de jeunes des deux premières promotions de la prépa santé ne s’engagent pas vraiment lorsque la question de leur avenir est évoquée. « On verra bien », glisse Yassine, étudiant de la première promo, qui vient justement d’obtenir des résultats encourageants aux partiels du premier semestre. « Quoi qu’il arrive, il reste dix ans d’études pour réfléchir! » Au premier rang, une étudiante de l’actuelle promotion est déjà décidée à quitter le département à tout prix. Son rêve? L’humanitaire. Pas de quoi satisfaire Stéphane Troussel qui, dans un sourire, lance aux jeunes : « Des situations similaires à de l’humanitaire, il en existe aussi ici. »

Source : Le Parisien

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Publié dans #Education

Publié le 11 Janvier 2014

alain-dister.jpgBien connu pour ses nombreux articles et ses biographies de stars de rock, Alain Dister a également été le photographe de Jimi Hendrix, The Clash, Nico, Janis Joplin, Lou Reed, Cher ou encore Pink Floyd.

Samedi 11 et dimanche 12 janvier 2014 à l’Espace Gainville d’Aulnay-sous-Bois. Entrée libre de 13h30 à 18h30.

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Publié dans #Culture

Publié le 10 Janvier 2014

usine-psa-d-aulnay-reclasses-ou-presque.jpg2 712 salariés sur les 3 000 ont souscrit à un projet de mobilité interne ou externe. Les quelques 300 restants veulent bénéficier du plan de départ volontaire.

La quasi-totalité des salariés de l'usine PSA Peugeot Citroën d'Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), qui doit fermer en 2014, ont été reclassés ou sont en cours de reclassement à l'échéance, le 31 décembre, de la période de départs volontaires du site, a indiqué vendredi 10 janvier le directeur des ressources humaines, Philippe Dorge. Au total, "2.712 personnes sur 3.000 ont adhéré à un projet de mobilité interne ou externe", soit 90% des effectifs de l'usine de Seine-Saint-Denis avant l'annonce de sa fermeture, a-t-il précisé. La moitié d'entre elles restent au sein de l'entreprise. Parmi ceux qui quittent l'entreprise, 200 ouvriers sont partis dans le cadre des congés seniors. Selon Philippe Dorge, sur les quelque 300 personnes restantes, 240 ont fait acte de candidature pour bénéficier des mesures de départ volontaire et "60 ne se sont pas manifestées".

450 personnes encore à Aulnay

D'ici le 31 mars, ces 60 personnes recevront une proposition de mutation interne à laquelle elles devront répondre dans un délai de 30 jours, puis en cas de refus une seconde proposition. En cas de refus définitif, ces salariés se verront proposer un congé de reclassement de 12 mois, c'est-à dire un accompagnement pour trouver un nouvel emploi, avant leur licenciement. Pour ceux-là, l'indemnité supplémentaire de départ est réduite à 7 mois, contre 12 mois pour ceux qui ont adhéré au plan de départs volontaires.

A l'heure actuelle, 450 personnes sont encore présentes physiquement sur le site d'Aulnay: syndicalistes, personnes restant à la production de pièces détachées et ouvriers chargés de la sécurité du site. Selon le SIA, premier syndicat de l'usine, "500 salariés sont encore sans solution". Pour "maintenir un lien entre les anciens salariés" et "donner un coup d'accélérateur à la revitalisation" du site, le syndicat a annoncé vendredi la création de l'Association des Anciens d'Aulnay (AAA).

En deux ans, le groupe a supprimé 11 200 postes

A l'usine de Rennes, "1.387 personnes sur 1.400 (concernées par les suppressions de postes) ont une solution de reclassement, dont plus de 400 de congés seniors", selon Philippe Dorge. La fermeture d'Aulnay et les suppressions de postes à Rennes et dans le reste du groupe doivent aboutir à la suppression de 8.000 postes, comme prévu dans le plan de restructuration lancé en juillet 2012.

Au total, entre mai 2012 et mai 2014, les effectifs du groupe devraient diminuer de 11.200 personnes. L'accord de compétitivité signé avec quatre syndicats en octobre, qui garantit la pérennité des sites en France en échange d'une modération salariale, "va permettre de réaliser les transformations dont le groupe a besoin sans recourir à un plan de sauvegarde de l'emploi", selon Philippe Dorge.

Fin 2012, le groupe employait plus de 91.000 personnes dans l'Hexagone, sur un total de 202.000 salariés dans le monde.

Source : http://www.challenges.fr (avec AFP)

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Publié dans #Emploi

Publié le 10 Janvier 2014

Attention, petit bijou ! Ne manquez pas «Twaaga», le deuxième court-métrage de Cédric Ido, jeune réalisateur de Saint-Denis, ce vendredi soir sur Arte, dans l'émission Court-Circuit consacrée à l'Afrique (diffusion à 23h55). 

Ce vendredi soir sur Arte
Auréolé d'un prestigieux prix lors du dernier Festival international du film de Dubaï en décembre dernier (mention spéciale du jury dans la catégorie court-métrage), Twaaga raconte l'histoire de Manu, 8 ans, dans le Burkina Faso  des années Thomas Sankara, jeune capitaine révolutionnaire qui se démène à la tête de son pays pour redresser l'économie et vaincre l'impérialisme occidental. Le garçon, fan des comics, se demande si les superpouvoirs existent dans la vraie vie...

Tourné à Ouagadougou en octobre 2012, sélectionné au London Film Festival et donc au Dubaï International Film Festival 2013, Twaaga mélange les genres avec une virtuosité déjà répérée dans le premier film de Cédric Ido, Hasaki Ya Suda (Les sabres), film de samuraï futuriste tourné en lingala qui a cartonné dans des dizaines de festivals en 2011.

Twaaga allie deux qualités rarement associées : le fond et la forme !

Du style, une lumière au top, une bande originale qui déchire et des acteurs, amateurs et professionnels, dirigés de main de maître par Cédric Ido, 33 ans. Le petit frère de Jacky (également réalisateur mais aussi 
acteur - il a joué dans Inglourious Bastards, de Quentin Tarantino, et Ces amours-là, de Claude Lelouch-) ne se contente pas de mettre la forme. «J'ai vécu à Ouagadogou  de l'âge de 3 à 8 ans, entre 1983 et 1987, durant les années Sankara», explique-t-il. «Je ne savais pas à l'époque ce qu'était la révolution, mais je crois que c'est ce qui m'a poussé et a été un moteur pour moi bien des années plus tard pour écrire et réaliser ce film. Je voulais raconter la grande Histoire dans la petite. Faire passer le message de cet homme au discours universel qui se battait contre l'hégémonie occidentale et voulait que son peuple se libère. »

Entre parallèle avec ce qu'il a vécu en Afrique et projection de Thomas Sankara, véritable héros national et figure de la révolution, on suit avec un plaisir non dissimulé le chemin de Manu dans une aventure bourrée d'humour, où l'on retrouve l'univers de la BD, passion initiale d'Ido. Un film loin de tout cliché. Enfin quand on lui demande, et la suite ?  «Ben, deux longs !», répond du tac au tac celui qui a grandi «de l'autre côté du périph» - il tient à ses origines banlieusardes - . «Je suis en projet d'écriture sur deux sujets, un sur les rabatteurs des salons de coiffure de Château-d'Eau à Paris et l'autre sur le Ghana colonial.» Sans compter un Twaaga version longue qui ne serait pas pour lui déplaire...

Cédric Ido. retenez-bien ce nom !

Source : Le Parisien

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