Publié le 18 Janvier 2014

abeilles.jpgIl les a installées dans le plus bel endroit du jardin. Nichées sur une petite terrasse dominant les toits montreuillois, les abeilles de Rémi sont, à défaut d’être toutes des reines, traitées comme des princesses. Voilà un an que ce quadragénaire, salarié dans une entreprise de La Défense (Hauts-de-Seine), s’est lancé dans l’apiculture du dimanche. Un passe-temps comme un autre selon lui. Mais un brin décalé tout de même. « C’est vrai que pour mes collègues, je suis un peu un original, sourit-il. Mais c’est une activité très agréable avec des enfants et lorsque je reçois des amis, je vois bien que cela intéresse tout le monde. »

Comme lui, ils sont près d’une centaine d’habitants de Montreuil à avoir installé des ruches dans un coin de verdure, sur un toit ou sur un balcon. En Ile-de-France, l’élevage de demoiselles jaunes et noires fait des émules depuis quelques années.

Une tendance en plein boom qui n’a pas échappé à Guy-Noël Javaudin, le responsable du rucher école de Montreuil, lancé il y a deux ans. Pour ses cours annuels, destinés aux futurs apiculteurs amateurs, l’éleveur d’abeilles enregistre une soixantaine d’inscrits. « Les écoles de la région parisienne ne sont pas assez nombreuses et sont en général surchargées, explique-t-il. Du coup, certaines nous renvoient des clients. » La botte secrète de Guy-Noël? Ses « journées découvertes », destinées aux familles. A chaque session, des dizaines de Parisiens fuient la capitale pour venir butiner les bases de l’apiculture dans le quartier de La Boissière.

Mais qui sont ces férus de petits insectes piquants? Des bobos? Cela fait sourire Rémi. Dans son jardin, les trois ruches ont trouvé leur place entre les poules qui picorent dans un poulailler et le petit potager médiéval. « J’aime tout ce qui permet de faire les choses soi-même, admet-il. J’ai pu récupérer de la cire pour faire des bougies avec mes enfants. Et, dès la première année, j’ai même réussi à faire un miel divin! » Six kilos en trois récoltes pour ce débutant qui a pourtant multiplié les « galères », comme il dit.

Un essaim qui quitte le bercail, une reine qui fuit la ruche, des abeilles agressives : Rémi assure qu’il a eu « la totale » pour sa première année. Mais pas démotivé pour autant, il attend avec impatience le printemps pour les futures récoltes. « L’an prochain, je compte bien récupérer aussi le pollen pour en mettre dans les céréales, le matin, ou dans les salades », imagine-t-il. Mais d’ici là, Rémi va devoir rester vigilant. Pour que ses petites protégées passent l’hiver bien au chaud.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Environnement

Publié le 18 Janvier 2014

« On veut m’empêcher de parler », affirme Bilel Hidri, président de la très récente Association des organisations de banlieues populaires.


Celle-ci avait convoqué une réunion hier soir à Aulnay-sous-Bois pour évoquer les questions liées à l’emploi et au commerce. « On a appris à 16h30 qu’on n’avait pas la salle», affirme Bilel Hidri, qui a récemment interpellé Manuel Valls devant les caméras, lors de sa visite dans le quartier.


« Il n’y a pas eu de demande officielle pour cette salle auprès du service des associations. Il n’y a eu aucune intention de refuser ou d’interdire une réunion », assure de son côté le maire (PS) Gérard Ségura. Ne pouvant accéder aux locaux — qui ferment à 19 heures —, les participants s’apprêtaient à discuter dans la rue hier soir.

Remarque de la rédaction : sans vouloir prendre parti dans cette affaire, on se souviendra des difficultés rencontrées par certaines associations pour s'exprimer librement sous cette mandature . A cet égard, l'exclusion brutale et arbitraire de deux associations de défense du cadre de vie pendant le forum 2013 (rue des Saules et Avenue de la Croix-Blanche) simplement parce qu'elles étaient en désaccord avec le maire sortant Gérard Ségura sur sa politique urbanistique est un exemple particulièrement éloquent.  

Source article : Le Parisien. Vidéos : Aulnaylibre !

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Associations

Publié le 18 Janvier 2014

parade-7.pngLa bibliothèque Elsa Triolet, située rue Henri Matisse à Aulnay-sous-Bois, se transforme en cinéma Jacques Prévert en proposant aujourd’hui à 10h30 une séance de dessins animés pour les tout-petits avec la projection de La petite fabrique de couleurs. Pas moins de sept courts métrages d’animation (30 min) seront à l’affiche : Jeux de couleurs, Parade, Les couleurs de Miriam, Mailles, Sandpixies : les nuages, Joan Miro, Apache.  

Rouge, vert, bleu, dans une féerie de couleurs, pures ou mélangées, ce programme fait découvrir les techniques variées de l’animation : pâte à modeler, dessin, papier découpé, marionnettes. Bref, voilà de quoi débuter la journée en famille avec le sourire.

Entrée libre – Nombre de places limité, réservation conseillée au 01 48 66 79 38 

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Culture

Publié le 18 Janvier 2014

mulot.gifSouris, clavier, bureautique et internet n’auront plus de secrets pour vous. La bibliothèque Elsa Triolet, située rue Henri Matisse dans le quartier de la Rose des Vents, propose en effet ce samedi 18 janvier 2014 à 10h à 11h une initiation à l’informatique. De quoi susciter quelques vocations et pourquoi pas l’émergence de nouveaux blogueurs !

Entrée est libre. Nombre de places limité. Réservation conseillée au 01 48 66 79 38. 

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Technologies

Publié le 17 Janvier 2014

Hier soir, pour le dernier conseil municipal de cette mandature, nous avons pu constater que l’ ampoule qui manquait pour éclairer convenablement le couloir de la salle des mariages avait été enfin changée ! Bravo ! A événement exceptionnel, mesures exceptionnelles !

 Avant et pendant des mois, donc, c’était ça :

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Mais hier soir, ô miracle, la lumière fut !

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En revanche, pour le lustre, Gérard Ségura et son équipe demandent au moins un autre mandat municipal pour régler le problème !

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A moins qu'un collectif des lumières de la ville ne se crée entre temps ou bien que de généreux donateurs déposent des ampoules à l’accueil !

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Sinon, dans le pire des cas, et avant qu’il ne ferme, direction Bricoman ! Comptez 1,80 € l'ampoule !

Marc Masnikosa

 

 

 

 

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Rédigé par Marc Masnikosa

Publié dans #Un autre regard par Marc Masnikosa

Publié le 17 Janvier 2014

Vous trouverez ci-dessous une lettre du maire sortant Gérard Ségura à propos du camp Rom installé au Vélodrome. Elle est datée du 14 janvier 2014 et a été distribuée dans les boîtes aux lettres des riverains du stade Vélodrome.

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Rédigé par Robert Ferrand

Publié dans #Communiqués

Publié le 17 Janvier 2014

Après l’incendie de mercredi après-midi le nettoyage et la rénovation de l’école primaire Nonneville 2 d’Aulnay-sous-Bois a débuté.

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La cour et la rue sont sécurisés.

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Quand on pense que les façades avaient été rafraîchies il y a peu…

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Marc Masnikosa


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Rédigé par Marc Masnikosa

Publié dans #Un autre regard par Marc Masnikosa

Publié le 17 Janvier 2014

En période électorale, la cérémonie des vœux des élus devient un exercice de haute voltige. L’article L52 du code électoral (lire ci-dessous) astreint les élus à un devoir de neutralité. Toute la difficulté est de ne pas transformer ce moment convivial d’autopromotion en tribune politique. Lancés depuis plusieurs mois dans la course aux municipales, les maires se plient à l’exercice en contournant l’obstacle.


Michel Bourgain, maire EELV de L’Ile-Saint-Denis et vice-président de l’association des maires de France, rappelle les règles d’usage. « Dès lors qu’un élu reproduit ce qu’il faisait régulièrement il n’y a pas de problème à condition de ne pas vanter les mérites de son action. Tous les commentaires qui enrobent les faits ne sont pas recommandés ». Ce principe est interprété très librement. D’autant plus qu’à ce jour aucune sanction n’a été infligée.

Théoriquement, le risque n’est pas indolore pour les élus indisciplinés. Ils pourraient être contraints d’ajouter à leurs comptes de campagne, les frais de la cérémonie, ce qui peut, en cas de dépassement du plafond, faire annuler une élection… A ce jour, Michel Bourgain précise « qu’aucune élection municipale n’a été invalidée après qu’un maire a outrepassé son devoir de neutralité lors d’une cérémonie de vœux ».

Ce que dit le code électoral

Selon l’article 52-1 du code électoral, « six mois précédant le jour de l’élection, aucune campagne de promotion publicitaire des réalisations ou de la gestion d’une collectivité ne peut être organisée sur le territoire ». A compter de cette date la communication « institutionnelle » revêt un caractère de promotion des réalisations d’une collectivité et elle est prohibée, car elle dépasse le cadre de la stricte information.

Les vœux entrent dans cette exigence. « La communication du candidat doit s’abstenir de mettre en valeur les candidats, leurs réalisations ou encore leurs projets, sauf à s’apparenter alors à un moyen de propagande. La communication doit être purement informative. De même, la forme du message doit être identique à celle employée jusqu’à présent, quant à son support ou encore son ampleur », poursuit la jurisprudence.

C’est ce que la jurisprudence désigne par le principe d’antériorité. « La commune peut continuer à communiquer, à organiser des manifestations, à partir du moment où ces dernières ont un caractère traditionnel et ne sont pas assorties d’actions destinées à influencer les électeurs. » Toute infraction peut engendrer une amende de 75000 €.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #En route vers 2014 !

Publié le 17 Janvier 2014

2.jpgAu lendemain de la pagaille monstre sur la ligne B du RER, la station Châtelet a été fortement perturbée hier soir à cause… d’un feu de cuisine. Celui-ci a pris vers 18h25 en surface dans l’hôtel Novotel Châtelet dégageant des fumées qui se sont ensuite propagées sur les quais du RER B via des conduits d’aération. « Les trains ont provoqué des appels d’air qui ont aspiré la fumée. La procédure d’évacuation des quais a alors été enclenchée » explique-t-on à la RATP qui gère cette station très fréquentée. La circulation du RER A a été perturbée une quinzaine de minutes tout comme celle du RER B dans le sens Nord Sud. Mais dans le sens Sud Nord, le trafic des RER B a été bloqué pendant 1h20 entraînant des retards. Un train en direction de Mitry et de l’aéroport Charles-de-Gaulle a dû être évacué dès les premiers signes de fumée. Le RER D a aussi été impacté. Hier, à 21 heures, le trafic avait repris au ralenti à la station Châtelet mais une odeur âcre flottait encore sur les quais. Dans la salle d’échanges, de nombreux feuillets A4 affichaient partout les raisons de la journée noire survenue… la veille.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Transports

Publié le 17 Janvier 2014

93-panneau.jpgLe département de la Seine-Saint-Denis n’existera-t-il plus que dans les archives? La question se pose sérieusement depuis que le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, s’est dit, hier matin, favorable à la disparition des départements de la petite couronne et à leur intégration à la métropole du Grand Paris. Ce territoire, qui comprendra près de 6,5 millions d’habitants, verra le jour le 1er janvier 2016. La nouvelle entité aurait en charge le logement et l’aménagement du territoire mais aussi les collèges et l’action sociale. La région, elle, garderait ses compétences, notamment en matières économiques et concernant les lycées.

A l’exception du Parti communiste, violemment contre, le PS, l’UMP et l’UDI seraient plutôt favorables à la disparition du département. Philippe Dallier, sénateur-maire (UMP) des Pavillons-sous-Bois, en est un ardent défenseur depuis longtemps, avec Stéphane Gatignon, maire EELV de Sevran. « J’avais remis un rapport dans ce sens en 2008, souligne le sénateur. Je trouve juste dommage qu’on ait perdu six ans. » La majorité des élus met en avant des notions concrètes comme une plus grande justice fiscale ou l’égalité devant les services publics. Ainsi, il est fort possible que les impôts locaux dans le département baissent un jour grâce à l’harmonisation des taux. A titre d’exemple, la taxe sur le foncier bâti atteint les 15% en Seine-Saint-Denis contre 7% dans les Hauts-de-Seine ou encore 5% à Paris. « Il est évident que la métropole du Grand Paris permettra la réduction des inégalités entre les territoires, poursuit Philippe Dallier. Pourquoi le 92 peut-il encore financer des projets communaux alors que le 93 n’en finance plus depuis deux ans, faute d’argent ? »

Jean-Michel Bluteau, président du groupe UMP au conseil général, est sur la même ligne. « On peut espérer une gestion plus saine des finances et éviter ainsi la Bérézina des emprunts toxiques », affirme-t-il.

Le président du conseil général, Stéphane Troussel, ne connaît que trop bien les différences budgétaires entre départements. Ainsi, les droits de mutation(NDLR : la part que touche le département sur la vente d’un bien immobilier)représentent en 2013 150 M€ pour le 93, 450 M€ pour le 92 et plus d’un milliard d’euros pour Paris. « Cela se traduira par une meilleure redistribution des richesses, analyse-t-il. Mais il ne faut pas brûler les étapes. Beaucoup de questions restent en suspens : qui va s’occuper de la gestion des déchets ou des équipements culturels? »

A l’UDI, c’est la méthode qui gêne. « Je suis favorable à la suppression des départements mais le gouvernement a fait l’inverse de ce qu’il fallait faire, regrette Jean-Christophe Lagarde, député-maire de Drancy. Il a commencé par condamner à mort les intercommunalités et estropier les communes, privées d’une partie de leurs pouvoirs. »

Seul le PC s’élève contre le projet. « Les départements sont des collectivités proches des gens, on ne peut pas décider de leur disparition juste pour satisfaire une gestion comptable, martèle Hervé Bramy, secrétaire départemental communiste. On va revenir à l’ancien département de la Seine qui a commis d’horribles erreurs comme ces barres dans les cités qu’on cherche à détruire aujourd’hui. » Le conseiller général réclame ainsi un référendum sur le sujet.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #93 Infos

Publié le 17 Janvier 2014

quentin-roosevelt.jpgA l’origine de l’amitié entre les familles Coret et Roosevelt, il y a un drame, la mort de Quentin Roosevelt, le dernier fils du président américain Theodore Roosevelt*, dans un crash le 14 juillet 1918 à Coulonges-en-Tardenois (devenu depuis Coulonges-Cohan), dans l’Aisne.

C’est dans ce village que les parents du commissaire de l’exposition Noël Coret, instituteurs, sont mutés en 1954. Là, ils découvrent cet épisode de 14-18 et décident à leur manière de faire revivre la mémoire de Quentin Roosevelt en organisant une cérémonie, en faisant chanter les écoliers… Ils donnent à l’événement une ampleur incroyable, au point que cela a attiré l’attention d’Ethel Roosevelt, la fille de l’ancien président, qui est même venue en France pour participer à l’une de ces cérémonies dans les années 1950.

L’histoire s’était arrêtée avec la mort d’Ethel et des parents de Noël. Et pourtant. Il y a deux ans à peine, Richard Williams, le petit-fils d’Ethel, est parvenu à retrouver Noël Coret. « Ma grand-mère, qui avait 20 ans quand son frère est mort, me parlait souvent de cette histoire, de la famille Coret. Aujourd’hui, Noël est comme un membre de la famille », raconte Richard Williams, qui, à 69 ans, vit en France six mois par an. Cette semaine, il est venu spécialement de Californie pour participer vendredi au vernissage de l’exposition d’Aulnay qu’il parraine et où la photo de son ancêtre est accrochée. « Je serai là pour témoigner, comme tous ceux qui ont perdu un proche durant la Grande Guerre, ni plus ni moins », conclut l’Américain en toute humilité.
* Il fut président de 1901 à 1909

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Fêtes et Cérémonies

Publié le 16 Janvier 2014

corigatUne première réunion « retour d’expérience » a lieu aujourd’hui, à 16 h 30, en préfecture, à Bobigny, après les deux déraillements qui se sont déroulés en décembre à la gare de triage, située à la croisée de Drancy, du Blanc-Mesnil et du Bourget. Cette réunion, en présence des représentants des villes, avait été annoncée par le ministre des Transports, Frédéric Cuvillier, afin de faire le point sur ces incidents impliquant des wagons transportant des matières dangereuses. Le collectif des riverains de la gare (Corigat), qui n’a pas été convié, invite les habitants à se rassembler à 16 heures devant la préfecture.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Environnement

Publié le 16 Janvier 2014

Un incendie s’est déclaré hier, vers 13 h 45, à l’école élémentaire Nonneville, située au 2, rue de Toulouse, à Aulnay-sous-Bois. Les 95 enfants du centre de loisirs et les 11 adultes qui les encadraient ont immédiatement été évacués dans le calme. Tous ont ensuite été accueillis dans l’école République qui se trouve juste à côté, où ils ont pu continuer leurs activités. Seul un adulte a été légèrement incommodé par les fumées.

La cause reste inconnue

Selon les premiers éléments de l’enquête, le feu aurait pris au sous-sol de l’établissement. Au total, 46 sapeurs-pompiers, venus de 13 casernes, ont été mobilisés. On ignore pour l’heure l’origine du sinistre et une enquête a été ouverte et confiée au commissariat d’Aulnay-sous-Bois. La salle polyvalente, d’une surface d’environ 300 m2, a été sérieusement touchée par les flammes. Quatre classes ont également été endommagées par les fumées ou par l’eau déversée par les pompiers.

L’école sera ouverte normalement aujourd’hui. Les enfants des classes sinistrées seront répartis dans d’autres salles de l’établissement. Afin d’éviter toute intrusion, la mairie a renforcée hier soir le gardiennage du lieu. Le maire (PS) Gérard Ségura, qui s’est déjà déplacé hier, se rendra à nouveau sur place ce matin. La ville a mandaté un cabinet d’études afin de s’assurer de la solidité de l’édifice et d’évaluer les travaux nécessaires. Une note d’information a été distribuée aux parents d’élèves ce matin.

Source article : Le Parisien / Vidéo transmise à Aulnaylibre ! par un internaute (Merci à lui !).

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #A vos quartiers !

Publié le 16 Janvier 2014

camp-rom-courneuve.jpgA l’arrêt de bus Parc des Sports, une mère de famille porte dans ses bras un enfant de 2 ans emmitouflé dans une grosse couverture. Deux autres, de moins de 10 ans, sont assis près d’elle en attendant le retour du père. Leurs affaires tiennent dans un chariot de supermarché. A midi hier, c’étaient les seuls occupants qui restaient du terrain de l’avenue Roger-Salengro, en contrebas de l’autoroute A 1. La police était venue pour procéder à une évacuation ; il leur a fallu gérer un incendie.

« La plupart des occupants étaient déjà partis d’eux-mêmes à notre arrivée », explique une porte-parole de la préfecture de Seine-Saint-Denis, qui accompagnait l’intervention de police. « Vers 10 h 30, il ne restait plus qu’un petit groupe qui partait et un baraquement était en feu », poursuit-elle, convaincue que le feu a été mis délibérément par des occupants du terrain, avant leur départ. La préfecture précise que l’évacuation fait suite à une décision de 
justice, rendue par le tribunal administratif de Montreuil, le 13 août. Ce terrain d’environ 3 000 m² est propriété de la Dirif, la direction des routes d’Ile-de-France, et quelque 200 personnes y avaient élu domicile.

Les anciens occupants du terrain en déroute

Une centaine de pompiers sont intervenus vers 11 heures. Une épaisse fumée a envahi le ciel, obligeant les secours à procéder à la fermeture de l’autoroute A 1, qui passe juste au- dessus. Les secours ont eu recours à un bras élévateur équipé d’une lance incendie. « Cela permet d’intervenir au plus proche sans faire prendre de risques aux sapeurs-pompiers, et d’éteindre plus rapidement le foyer », explique le commandant Eric Moulin, porte-parole de la brigade des sapeurs -pompiers de Paris.

Le feu a été éteint à 13 h 45 et la circulation a pu totalement reprendre à 14 heures, mais les pompiers ont organisé une surveillance à partir de 15 heures. Douze hommes sont restés sur place pour veiller à ce que l’incendie ne reprenne pas. La fumée aurait pu provoquer des accidents sur l’autoroute A 1. GRDF a également été mobilisé, mais aucune explosion de gaz n’a eu lieu et aucune victime n’a été recensée.

La préfecture précise que des diagnostics sociaux ont été diligentés les 8 août et 2 décembre. « Des hébergements avaient été réservés pour les quelques familles qui s’étaient manifestées mais aucune ne s‘est présentée», ajoute la préfecture. « On ne sait pas où aller, est-ce que quelqu’un peut nous aider ? » demandait hier, à l’arrêt de bus, la mère de famille dans un français difficile à comprendre.

Une cinquantaine de camps illicites sont actuellement recensés sur le département par la préfecture, qui évalue à un peu moins de 3 000 le nombre de Roumains et Bulgares roms qui y vivent.

Source : Le Parisien

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Publié dans #93 Infos

Publié le 16 Janvier 2014

1204701049.4Un homme âgé de 49 ans est décédé mardi soir dans l’incendie d’un pavillon, à Aulnay-sous-Bois, situé au 2, chemin des Prés-de-la-Garenne. Le quadragénaire est mort asphyxié par les fumées. Sa sœur et son neveu ont, eux, réussi à sortir à temps de la maison. Légèrement intoxiqués par les fumées, ils ont ensuite été transportés à l’hôpital Robert-Ballanger, à Villepinte.

 Selon les premiers éléments de l’enquête, le feu aurait pris peu avant 21 heures dans une des pièces de ce pavillon, qui comporte un sous-sol et un étage. Les pompiers ont pu rapidement circonscrire les flammes mais, à leur arrivée, l’homme était déjà mort.

D’après les premières constatations faites sur place le soir du drame, c’est une bougie, laissée sans surveillance, qui a mis le feu au logement. Cette hypothèse a été confirmée hier grâce aux premières analyses rendues par le laboratoire central de la préfecture de police de Paris. L’enquête a été confiée aux services départementaux de la police judiciaire.

Source : Le Parisien

 

 

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #A vos quartiers !

Publié le 16 Janvier 2014

sentiers-gloire.jpgAu-delà des expositions organisées à l’Hôtel de Ville et à la Ferme du Vieux-Pays, Aulnay-sous-Bois propose divers événements autour de la commémoration du centenaire de la guerre 14-18. En voici la liste :  ce soir à 20 heures un ciné-débat au cinéma Jacques-Prévert avec la projection du film de Stanley Kubrick « les Sentiers de la gloire » (tarif : 2,90 €). Le 22 janvier, une soirée cabaret est organisée à Prévert autour du personnage de Jaurès (entrée libre sur réservation au 01.48.66.49.90). Le 24 janvier, la bibliothèque Dumont accueille un café-conférence sur le rôle des femmes pendant la Grande Guerre à 18 heures (entrée libre). Le 25, une soirée musicale sera dédiée aux compositeurs de l’époque (Ravel, Debussy), une expo photo permettra de découvrir des instruments fabriqués par des soldats au conservatoire de musique et de danse (entrée libre). Enfin, le 26 janvier, un autre ciné-débat se tiendra à 16h15 autour du film « Joyeux Noël », suivi d’un échange avec un historien (2,90 €).

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Fêtes et Cérémonies

Publié le 16 Janvier 2014

aulnay-carrefour.jpgLes surnoms sont tenaces. Le conseil municipal d’Aulnay-sous-Bois devrait décider ce soir de débaptiser le carrefour de la Négresse. L’immense rond-point coincé sous l’autoroute A3, à la lisière des villes d’Aulnay et du Blanc-Mesnil, cauchemar des apprentis conducteurs, sera renommé carrefour des Droits de l’Homme. C’est l’aboutissement d’une longue réflexion menée par le comité de dénomination des rues. Et une satisfaction pour le maire adjoint PS Grégoire Mukendi, qui en avait fait la demande. « Il suffit de consulter un dictionnaire, d’aller sur Internet, pour trouver une connotation dégradante à ce mot, qui fait référence à l’esclavagisme et à la servitude ». Le plus surprenant dans cette affaire, ce n’est pas la survivance de ce surnom, hérité du passé… Mais le fait qu’il n’est devenu nom officiel du carrefour… qu’en 2004. A l’époque, le maire UMP Gérard Gaudron avait invoqué la nécessité de « régulariser » un usage répandu. Si répandu d’ailleurs, qu’il vaut aussi de l’autre côté du carrefour, situé en terres blanc-mesniloises. Pourtant, de ce côté-ci de la frontière, le carrefour porte le nom du résistant Pierre Sémard, depuis 1945.

Un café à l’origine de ce nom


« Mais dans le temps, tout le monde parlait du carrefour de la Négresse. J’ai connu le café qui s’appelait ainsi », se souvient Pierre Vandervoorde, 87 ans, un riverain arrivé en 1955. C’est bien un café qui est à l’origine de ce nom. La bâtisse existe toujours. C’est une maison de ville sans grand caractère, désormais occupée par un restaurant indien, en bordure du carrefour. En fouillant dans les archives municipales, on retrouve une photo noir et blanc des années 1910, où se dresse la maison Matrand, offrant vins et liqueurs à ses clients. Dans les années 1930, elle devient le « café de la Négresse ». Les témoins de l’époque affirment qu’on surnommait ainsi l’établissement parce qu’il abritait une serveuse… auvergnate, dotée d’un teint très mat. L’enseigne marque les esprits : rapidement le café donne son nom au carrefour, qu’on appelait auparavant carrefour des Cinq-routes, ainsi qu’au garage voisin. Aujourd’hui encore, il existe un « tennis de la Négresse », situé sous le pont autoroutier et qu’indiquent deux panneaux plantés au bord de la route. Mais il faudra sans doute du temps pour que les « Droits de l’homme » chassent l’ancienne appellation. « On l’appelle toujours comme ça, c’est machinal. C’est un repère. Quand on le nomme, tout le monde sait où il se trouve », note Nicolas, 37 ans. Et pourtant, si on y réfléchit, c’est vrai que ce n’est pas très joli comme nom… »

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #A vos quartiers !

Publié le 16 Janvier 2014

aulnay-rer-b.JPGUn colis suspect à Aubervilliers, puis la fonte d’une caténaire à Aulnay, ont figé le trafic de la ligne hier. Il doit revenir à la normale aujourd’hui.

Journée noire hier pour les usagers du RER B. Rejoindre Paris ou l’aéroport de Roissy approchait du cauchemar pour des milliers de voyageurs.

« Escalader le quai en jupe et en talons, c’est pas évident »


Tout a commencé par un colis suspect à 8 heures, dans le train en gare d’Aubervilliers. Un simple paquet abandonné mais, plan Vigipirate oblige, le service de déminage a été appelé. Il a fallu attendre son arrivée, deux heures plus tard. Nathalie, 45 ans, habitante de Drancy, était dans cette rame. « A 8 heures, on nous a fait évacuer pour aller sur un autre quai. J’ai attendu trois trains, ils étaient tellement bondés que je n’ai même pas pu monter! » explique cette chef de projet marketing qui travaille à 
Paris. Elle a tenté de repartir pour Drancy pour récupérer sa voiture. « Je monte dans le RER, il fait 300 m à peine et là stoppe net, pour un problème de courant! Au bout de quarante minutes, on nous a évacués. On était à pied sur les rails, aucun agent SNCF en gare de Drancy, on a été obligés d’escalader pour rejoindre le quai. En jupe et talons, c’est pas évident, mais pire encore pour les personnes âgées ou handicapées… ça questionne vraiment sur la sécurité. » Elle a pu récupérer sa voiture et arriver à Paris à 11h30.

« Un gros boum, on s’est réfugiés dans l’autre wagon »


Derrière, quatorze trains ont été mis à l’arrêt, provoquant une surcharge de tensions et la fonte d’une caténaire à Aulnay. Fabrice Scagni, Villepintois, se trouvait justement là. « Ça a fait un gros boum, comme une explosion, on s’est réfugiés dans l’autre wagon, on a attendu une dizaine de minutes avant d’avoir un premier message d’annonce, nous disant de ne pas sortir sur les voies. On est restés une heure dans le wagon avant d’être finalement évacués sur la voie par des agents, c’était la panique. C’est une honte », estime-t-il. Il a pris un bus pour Villepinte, avant de se rabattre sur sa voiture. Il s’est garé à La Courneuve, a sauté dans un métro et est arrivé dans sa banque, gare d’Austerlitz, à 12h15. Les « caténairistes » de la SNCF ont été dépêchés en urgence pour réparer l’installation. La reprise annoncée à 11h30 vers Mitry n’a finalement eu lieu qu’à 16 heures. Des bus reliaient Roissy depuis Mitry. La liaison Paris-Roissy a repris à 19 heures, mais les bus ont continué à circuler jusqu’à 21 heures.

 

« Deux heures pour aller d’Aulnay à Saint-Denis »

Une adolescente de Sevran, qui rejoignait son lieu de stage à Saint-Ouen, s’en est remise aux bus de substitution. « Après vingt minutes sous la pluie, j’ai vu un bus, mon sauveur! Mais j’ai vite déchanté. Le conducteur ne savait pas où il allait, il répétait qu’on l’avait briefé pour aller à Charles-de-Gaulle, dans l’autre sens. Il a mis son GPS en route et a mis deux heures pour nous déposer à la gare de La Plaine, à Saint-Denis. »

Vers un retour à la normale. La SCNF promettait hier soir un train sur deux vers le nord, et trois sur quatre au sud de gare du Nord où une centaine de gilets rouges étaient mobilisés pour aider les voyageurs. « Ces incidents prouvent que les investissements sont encore insuffisants! » déplore Didier Mignot, maire (PC) du Blanc-Mesnil, qui a déposé plainte l’an passé pour « inégalité de traitement des usagers du RER B ». Il sera à la gare ce matin à 7 heures pour collecter des témoignages.

Source : Le Parisien

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Publié dans #Transports

Publié le 16 Janvier 2014

gros-calins.gifLe CMES (Centre municipal d’éducation à la santé) propose aujourd’hui de 14h à 16h30 une conférence sur la littérature et l’humour. Animée par Jean Delabroy, professeur de littérature comparée à l’université Paris-Diderot, elle s’intéressa particulièrement au roman de Romain Gary/Emile Ajar intitulé Gros-Câlin.

Rendez-vous au CMES Louis Pasteur 8/10 avenue Coullemont. Salle au 2e étage accessible par ascenseur.

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Publié dans #Culture

Publié le 15 Janvier 2014

La rédaction d’Aulnaylibre ! a reçu le lien de la vidéo du nouveau clip de Laxoo 3keus « mixtape Frappe ». Il s’agit du sixième extrait de cette mixtape. Il s’intitule C la Street. Vous pouvez la visionner ci-dessous.

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Publié dans #A vos quartiers !

Publié le 15 Janvier 2014

Bien que le panneau d’affichage en gare d’Aulnay-sous-Bois annonçait une reprise progressive du trafic de la ligne B aux alentours de 16h, la circulation des trains restait ce soir encore très chaotique. A 19h encore il n’y avait vraiment pas beaucoup de rames sur les quais. Même la ligne K était perturbée avec des suppressions de trains.

Rappelons que l’incident d’alimentation qui s’est déclenché ce matin aux alentours de 8h30 a complétement paralysé le trafic. Bref, une nouvelle journée de galère pour les usagers du RER B++++++

Bon courage à celles et ceux qui tentent de rentrer chez eux !

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Publié dans #Transports

Publié le 15 Janvier 2014

Cet après-midi un incendie s'est déclaré dans la salle polyvalente située au sous-sol de l’école primaire Nonneville 2 à Aulnay-sous-Bois.

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Il n’y a heureusement aucune victime.

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Les dégâts matériels semblent toutefois très importants.

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Les raisons du déclenchement du feu sont pour le moment inconnues. L’enquête est en cours.

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Marc Masnikosa

 

 

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Rédigé par Marc Masnikosa

Publié dans #Un autre regard par Marc Masnikosa

Publié le 15 Janvier 2014

1.jpgElle a pris rendez-vous chez le coiffeur, hier, avant d’affronter les plateaux télé. C’est précisément à cette cascade de cheveux auburn qu’on repérait Ghislaine Tormos dans les manifestations ou les ateliers à l’arrêt de l’usine PSA d’Aulnay-sous-Bois. Grande, le rire franc, l’ouvrière fut l’une des figures de la grève qui dura plus de quatre mois au sein du site industriel, de janvier à mai 2013. « Le combat de ma vie », glisse aujourd’hui cette veuve de 50 ans, mère de trois grands enfants. Ce combat contre la fermeture de l’usine, elle le raconte avec émotion, humour et conviction dans « le Salaire de la vie », en librairie dès demain. Un récit écrit avec la plume complice de Francine Raymond, journaliste à France Télévisions, qui a tenu la chronique de cette fermeture sur le blog Aulnay Story.

« J’ai voulu expliquer pourquoi j’ai basculé. On ne pouvait pas accepter l’inacceptable », résume Ghislaine Tormos. Car il y a un avant et un après. Avant le 12 juillet 2012, « Gigi » était une ouvrière « bien notée », entrée à l’usine en 2002, lorsque PSA cherchait à féminiser ses équipes. A l’atelier ferrage, elles étaient trois… pour 1500 hommes. Forte en gueule, Ghislaine s’était fait sa place.

 Et puis PSA a annoncé la fermeture du site, qui comptait 3000 salariés. Gigi, déléguée du SIA (syndicat maison) fait alors grève pour la première fois de sa vie. En janvier, l’usine est paralysée. PSA dénonce des « violences ». « Excepté quelques débordements le deuxième jour de grève, la violence des grévistes est une légende — un mensonge ! — savamment entretenue par la direction […] », affirme Ghislaine dans son livre, livrant au fil des pages ses « instantanés » de ces mois de mobilisation : la quête aux péages autoroutiers, pour alimenter la caisse de grève, l’ambiance électrique dans une usine quadrillée par des vigiles, l’irruption des PSA à la convention nationale du Parti socialiste à Paris, les larmes et les rires avec les collègues, l’angoisse du lendemain…

Depuis, la grève a pris fin, et l’usine se meurt. « Nous n’avons pas gagné la partie mais nous avons tenu tête, pendant plus de quatre mois […], à l’une des familles les plus puissantes de France », écrit-elle. Ghislaine a fait grève jusqu’au dernier jour. Au sein de la direction de l’usine, certains en avaient déduit qu’elle avait rejoint les rangs de Lutte ouvrière, mouvement très implanté à Aulnay. Mais non, Ghislaine affirme qu’elle n’a que « des idées de gauche », et quelques motifs de rancœur à l’égard « des syndicats qui ont signé l’accord de compétitivité de PSA, qui fait de nous des esclaves modernes ». « J’espère avoir un jour l’occasion de poser une question à un membre du gouvernement : pourquoi n’êtes-vous jamais venu à l’usine d’Aulnay ? C’est une chose que je n’ai jamais comprise... »

Les plateaux télé n’ont qu’un temps. Début février, Ghislaine Tormos dira adieu à l’usine, comme l’ont fait avant elle ses collègues. Elle a obtenu une mutation à l’usine de Poissy (Yvelines).

« Le Salaire de la vie - Notre travail coûte trop cher, disent-ils », Ghislaine Tormos avec Francine Raymond, Ed. Don Quichotte, 208 pages, 15 €.

Source : Le Parisien

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Publié dans #Emploi

Publié le 15 Janvier 2014

1204701049.4.jpgUn feu de pavillon mardi soir à Aulnay-sous-Bois  a fait un mort. Peu avant 21 heures, les pompiers sont intervenus et ont pu secourir une femme et son fils qui ont été légèrement intoxiqués. Il était trop tard en revanche pour réanimer le frère de la femme qui était décédé par asphyxie. Des bougies laissées sans surveillance seraient à l’origine du sinistre. L’enquête a été confiée à la police judiciaire.

Source : Le Parisien

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Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 15 Janvier 2014

scrabble.jpgLa bibliothèque Dumont, en partenariat avec l’association O’ludoclub et le programme de réussite éducative de la ville d'Aulnay-sous-Bois, vous propose des séances ludiques et pédagogiques pour partager un moment de plaisir autour des jeux de société.

Rendez-vous à la Bibliothèque Dumont, située boulevard Gallieni, aujourd'hui de 14h à 17h30. Entrée libre.

Source : réseau des bibliothèques d'Aulnay-sous-Bois

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Publié dans #Culture