Publié le 11 Janvier 2014

C’était ce matin dans une rue pavillonnaire d’Aulnay-sous-Bois. Un camion poubelle qui faisait sa tournée du samedi s’est trouvé littéralement bloqué à cause d’une voiture en stationnement. Elle était pourtant positionnée de façon tout à fait réglementaire, ce qui signifie que la voirie n’est tout simplement plus adaptée aux besoins. Voici donc une excellente occasion de rappeler que les problèmes de circulation ne se limitent malheureusement pas qu’aux grands axes dans notre ville. Ils touchent de plus en plus le secteur pavillonnaire.

Il est vrai que la multiplication des véhicules combinée à la sur-densification des parcelles constructibles par la suppression du coefficient d’occupation des sols (COS) et la subdivision des terrains ne sont pas étrangères à cette situation. Ainsi, malgré quelques coups de klaxon et l’interpellation des riverains, impossible de trouver le conducteur. Le camion a donc dû rebrousser chemin. C’est ballot, non ? D’où cette petite réflexion du soir : avant de construire n’importe quoi, n’importe où et n’importe comment il convient de réfléchir soigneusement au cadre de vie existant des riverains. C’est pourtant du bon sens. N’est-ce pas Gérard Ségura ?

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Publié dans #A vos quartiers !

Publié le 11 Janvier 2014

Vous trouverez ci-dessous un message annonçant l’organisation d’une collecte solidaire en faveur des victimes de l’incendie au Gros Saule à Aulnay-sous-Bois intervenu le lundi 30 décembre 2013.

collecte-incendie-gros-saule-aulnay.jpg

Suite à l’incendie qui a eu lieu au Mail Pascarel, des familles ont perdu un certain nombre de biens personnels. Si vous avez des vêtements   et chaussures (enfants et adultes), vaisselle, linge de maison, boîtes de rangement, produits d’hygiène, cartables, fournitures scolaires, jouets, jeux et livres, vous pouvez les apporter à l’Espace Gros Saule jusqu’au 16 janvier 2014 rue du Dr Claude Bernard (à côté de l’antenne jeunesse Tabarly). Nous nous occuperons de les donner aux familles touchées par ce terrible événement. Nous comptons sur votre générosité.

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Publié dans #A vos quartiers !

Publié le 11 Janvier 2014

voillaume-aulnayAu lycée Voillaume à Aulnay-sous-bois (Seine-Saint-Denis), les enseignants ont fait grève cette semaine. Dans cet établissement, 63% des élèves sont issus de classes sociales défavorisées. Entre l'indifférence de l'administration et celle de certains élèves, pas facile d'enseigner correctement comme le raconte ce professeur.

Vous savez, c'est à nous que vous demandez: "Alors, c'est pas trop dur ?". Nous enseignons en Seine-Saint-Denis, dans un établissement classé en zone prévention violence. Jusqu'à cette année, nous répondions d'un sourire un peu las : "non, ça va, faut pas croire tout ce qu'ils disent à la télé". Remarquez bien qu'il ne faut pas plus le croire aujourd'hui. Nos élèves n'ont pas changé, et nous avons toujours le même plaisir à travailler avec eux, en dépit de difficultés indéniables que nous avons systématiquement surmontées.

Clarté, rigueur et fermeté

C'est Aulnay-sous-Bois. C'est (ce fut) PSA. C'est un lycée de plus de 2.000 élèves, pour plus de 200 enseignants. C'est un public composé à 63% de catégories socio-professionnelles défavorisées. Mais c'est aussi plus de 80% de réussite au bac en 2013. C'est, en somme, un petit coin de République. Alors, qu'est-ce qui ne va plus ? Dans un tel établissement, la réussite de chaque élève requiert clarté, rigueur et fermeté – mais pas seulement dans les salles de cours. L'ensemble de nos supérieurs hiérarchiques, de la direction au Rectorat, doit tenir bon avec nous sur ces trois exigences. Et c'est là que le bât blesse.

De la nonchalance à l'insolence

Parmi les missions que nous n'arrivons plus à assurer : sauver les élèves en décrochage. Depuis le 12 septembre, on signale que l'un d'entre eux dort en cours, bavarde, se présente sans son matériel. Plus le temps passe, moins il comprend ce qu'on attend de lui, et ce qu'il fait là. La nonchalance se mue en indifférence, l'indifférence en inconscience, l'inconscience en hostilité, l'hostilité en insolence. Il est plus que temps, déjà, de convoquer une commission éducative, qui permet de rassembler autour de l'élève enseignants, parents, vie scolaire et direction afin de réfléchir à une solution individualisée.

22 novembre : première tentative : les parents ne sont convoqués que le vendredi pour le mercredi midi. L'élève n'est pas au courant. La commission est reportée.

9 décembre : deuxième tentative : les professeurs principaux ne sont pas informés. La commission est de nouveau reportée.

11 décembre : La direction annonce qu'elle fixera une nouvelle date.

10 janvier : La commission n'a toujours pas eu lieu et l'élève a véritablement décroché.

Or, c'est dans ces moments où l'autorité et l'accompagnement font défaut que des incidents plus graves peuvent survenir. Et dans notre lycée, cela arrive; la politique disciplinaire de la direction révèle alors les mêmes carences.

voillaume.jpgViolences des élèves et indifférence des supérieurs

Un œuf est lancé à deux reprises en direction d'un enseignant, une bombe lacrymogène est vidée en classe : la direction n'a consenti à réunir des conseils de discipline que suite à l'exercice de notre droit de retrait. D'autres incidents graves restent à ce jour encore non traités. Échec à tous les étages. Comment pourrait-il en être autrement quand, à la discipline et au respect que l'on demande aux élèves, ne répondent de la part de notre hiérarchie aucune clarté, aucune rigueur, aucun respect des temporalités, aucune volonté de concertation ? Mais tant que le lycée survit, ceux qui le font vivre au quotidien ne se heurtent qu'à l'indifférence de leurs supérieurs. Nous ne pouvons pas continuer ainsi.

Arrivés au terme de cinq jours de mobilisation, nous espérons parvenir à nous faire entendre au-delà des murs réels et symboliques auxquels nous nous heurtons quotidiennement. Nous réaffirmons ici le choix qui est le nôtre : enseigner dans un établissement sensible pour garantir à nos élèves l'égalité des chances et la possibilité de choisir leur avenir. Qu'on nous aide.

Source : http://leplus.nouvelobs.com

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Publié dans #Education

Publié le 11 Janvier 2014

badges-stade-de-france.jpg«On a l’impression que tout Saint-Denis veut son badge... » Le service voirie de la ville de Saint-Denis a beau en avoir l’habitude, il doit se mettre en ordre de bataille chaque début d’année. Un renfort est présent tous les jours et une permanence se tient chaque samedi de janvier*. C’est en effet la période du renouvellement des badges d’accès pour les riverains du périmètre de sécurité du Stade de France. Cette année, 1671 habitants, qui vivent dans les rues dont les accès sont bouclés à chaque événement, peuvent venir récupérer le précieux sésame qui va leur permettre de circuler les jours de concert ou de matchs (coup d’envoi le 25 janvier avec Racing-Toulouse en rugby).

Munie de sa carte grise et d’un justificatif de domicile de moins de trois mois, Francine Helou est venue retirer son badge jeudi matin en mairie. « C’est indispensable! Même s’il y a encore quelques accrocs avec la police, cela se passe mieux », estime la vice-présidente de l’amicale des locataires du Gai-Logis (201 logements avenue Wilson, juste au pied du stade), qui a vu pousser l’enceinte sous ses fenêtres. « Parfois, des médecins ne peuvent pas venir soigner des personnes âgées ici. Et pour l’anniversaire de mon fils, la famille a dû tourner pendant deux heures... » Les riverains regorgent d’anecdotes de ce genre : impossibilité de se garer dans son propre parking, interdiction par la police de faire 50 m dans sa rue... « Une fois, on a failli en venir aux mains avec les forces de l’ordre. On a fini par abandonner notre voiture sur un 
carrefour avant que les agents ne comprennent », se souvient Mauricette Mezzo, de l’association Landy Ensemble, à Aubervilliers. L’autre ville du Stade de France distribue aussi ses badges aujourd’hui**.

« Comparé à la situation il y a 4 ou 5 ans, il y a eu d’énormes améliorations », estime Christophe Girard (Parti de Gauche), adjoint au maire de Saint-Denis, délégué au quartier Stade de France, qui cite la création de parkings pour les motos, le maintien des accès aux commerces ou l’installation d’urinoirs mobiles.

Le dispositif des badges semble désormais bien intégré par la police, les riverains et les stadiers. Au point de séduire de plus en plus les entreprises présentes dans le périmètre. A la faveur notamment de l’arrivée de SFR et de la SNCF dans le secteur, la ville de Saint-Denis a délivré cette année... 15440 badges aux salariés des entreprises. « Comme pour les riverains, ils pourront entrer dans le périmètre à condition d’avoir des solutions de stationnement », précise Christophe Girard.

*Permanence aujourd’hui de 9 heures à 12 heures, salle 11/13 au rez-de-chaussée du centre administratif, place du Caquet à Saint-Denis. En semaine de 9 heures à 12 heures et de 13h30 à 17h30 au 3e étage. **Aujourd’hui de 9 heures à 12 heures, centre Henri Roser, 38, rue Gaétan Lamy à Aubervilliers. En semaine, à la Direction prévention et sécurité, au 1, boulevard Anatole France. 

Source : Le Parisien

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Publié dans #93 Infos

Publié le 11 Janvier 2014

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Vous trouverez quelques photos envoyées par notre chasseur de Castors diplômé Jean-Louis Karkides nous informant de l’énorme succès de la manifestation qui s’est déroulée ce matin entre la mairie du Blanc-Mesnil et la gare de Drancy contre les trains de déchets nucléaires.

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La manif est partie de la mairie de Blanc-Mesnil pour rejoindre la gare de Drancy. Nous étions bien 300.

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Elus de Blanc-Mesnil, d'Aulnay (EELV seuls représentés), Aline ARCHIMBAUD(sénatrice EELV),J.F BAILLON (CG93 EELV),Hervé BRAMY (CG93 PCF), l'association CORIGAT (riverains),les mouvements "sortir du nucléaire", et "Green Peace".

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Source texte et photos : Jean-Louis Karkides, militant EELV et chasseur de Castors diplômé.

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Publié dans #Environnement

Publié le 11 Janvier 2014

mosquee-aubervilliers.jpgDans le petit salon de l’hôtel de ville comble, l’association des musulmans d’Aubervilliers (AMA) a signé hier, avec la ville, la promesse de deux baux emphytéotiques. Ils renvoient à des contrats de très longue durée qui autorisent l’association des musulmans à disposer des terrains contre une redevance modique. Cette signature concrétise les prémices de la construction de la mosquée d’Aubervilliers et d’un édifice culturel. Sur 4000 m2, situés dans le quartier Port-Chemin-Vert, entre l’A86 et le canal, ces deux projets verront le jour dès que l’association aura réuni les financements.

L’attribution d’un terrain, une ancienne friche industrielle, constitue une grande avancée pour ce dossier initié en 2001 par deux étudiants, Mohamed Karroumi et Rachid Zaïri. Toujours mobilisés aujourd’hui, ce sont eux qui ont paraphé la convention. Ils se souviennent du parcours du combattant pour parvenir jusque-là. En 2001, alors que les mosquées commencent à sortir de terre dans les communes environnantes, Aubervilliers ne possède pas même une esquisse de projet. « En 2001, les musulmans d’Aubervilliers devaient se déplacer à La Courneuve ou à Pantin, il n’y avait rien dans leur ville », raconte Rachid Zaïri, secrétaire général de l’AMA. Une pétition de 3500 signatures prouve qu’il y a une véritable attente.

Tous les vendredis, pour la prière, les deux lieux de cultes, la mosquée de la Fraternité et la salle de prière du commissariat peinent à contenir un millier de fidèles. Les responsables de l’AMA estiment le nombre de musulmans à 5000 à Aubervilliers. La future mosquée a été dimensionnée en conséquence et pourra accueillir 4000 pratiquants.

Le maire (
PS) Jacques Salvator avait promis dans ses engagements de campagne en 2008 un terrain pour édifier une mosquée. Toujours en convalescence, il n’était pas là hier. Evelyne Yonnet, la première adjointe qui assure l’intérim, l’a martelé à sa place : « La promesse a été tenue ». « Dans une ville comme Aubervilliers, dont une part des habitants est de confession musulmane, il est nécessaire et juste que les fidèles disposent d’un véritable édifice cultuel qui leur permette de célébrer leur religion dans des conditions de dignité satisfaisantes », avait rappelé Jacques Salvator, en mars dernier.

Deux délibérations de décembre 2011 et juillet 2012, ont permis de définir les deux projets. Il ne s’agira pas d’un simple lieu de prière. A l’ombre du minaret, s’élèvera un centre culturel. L’AMA souhaite lui donner un rayonnement départemental. Il accueillera des événements culturels mais aussi un salon de thé, une salle de remise en forme, un hammam, une librairie. « Nous voudrions qu’il devienne un mini-Institut du monde arabe. Il sera ouvert à tous. C’est une main tendue », explique Mohamed Karroumi.

L’ensemble se déploiera avenue Franklin-Roosevelt, dans le futur quartier de Port-Chemin-Vert.

Prochaine étape, et pas des moindres : le rassemblement des financements. « Nous avons déjà 10% du budget », explique Rachid Zaïri. Ce qui représente 600000 €. Un footballeur professionnel, évoluant dans un grand club anglais, a promis de participer. Et maintenant que le projet est en bonne voie, les contributeurs se pressent. « Depuis un an, l’association parvient à mobiliser pas moins de 50000 € tous les mois », indique-t-on en mairie, rappelant que la construction de la future grande mosquée et son centre culturel, seront entièrement à la charge de l’AMA.

Source : Le Parisien. Vidéo d’illustration Aulnaylibre ! : Mosquée d’Aulnay-sous-Bois

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Publié dans #93 Infos

Publié le 11 Janvier 2014

Un nouveau commissariat, c’est bien, mais avec plus de policiers, c’est encore mieux. La visite lundi dernier de Manuel Valls, ministre de l’Intérieur, venu officialiser le lancement des travaux du futur commissariat de Livry-Gargan qui devrait ouvrir en 2016, continue de faire réagir. « On ne peut que se féliciter de l’ouverture programmée d’un nouveau commissariat, mais rappelons que les outils essentiels pour lutter contre l’insécurité résident dans des moyens matériels et humains conséquents », réagit Gérard Prudhomme, candidat (UDI) à Livry-Gargan. 


D’après le responsable départemental de la sécurité publique, il y aurait « une petite centaine » de fonctionnaires affectés à Livry-Gargan. Selon nos informations, le nombre est plus proche de 80. Manuel Valls n’a pas éludé la question des effectifs, rappelant au préalable les conséquences de la « RGPP », la révision générale des politiques publiques engagées par le précédent gouvernement, qui a eu pour effet la suppression de 13500 postes de policiers et gendarmes sur tout le territoire. « Il faudra quatre à cinq quinquennats pour remplacer les postes supprimés », a estimé Manuel Valls, qui s’emploie à réembaucher des policiers. « Votre département a été l’un des premiers à être dotés » des nouvelles sorties d’école, a-t-il précisé à Livry-Gargan. Pour autant le solde de fonctionnaires reste déficitaire, y compris en Seine-Saint-Denis au regard des dernières mutations accordées en septembre.

A Sevran — où, selon nos informations, 110 policiers travaillent —, le Front de gauche fait signer depuis décembre une pétition pour l’obtention d’effectifs de police supplémentaires et la création d’un commissariat de plein exercice. Le commissariat doit être reconstruit mais il est toujours dépendant de celui d’Aulnay-sous-Bois. « Si l’on prend en compte le nombre d’infractions, Sevran dispose de moins de policiers qu’il n’y en a dans les Hauts-de-Seine, il n’y a pas d’équité républicaine », commente Clémentine Autain, candidate Front de gauche qui assure que la pétition a déjà recueilli cinq cents signatures.

Source : Le Parisien Vidéos : Aulnaylibre !

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Publié dans #93 Infos

Publié le 11 Janvier 2014

Bobigny.jpgL’université Paris-XIII propose depuis deux ans, à Bobigny, une année préparatoire aux études de médecine, unique en France.

Ils ont tous le bac en poche. Mais, souvent, ils n’ont pas opté au lycée pour la voie royale des futurs médecins (le bac scientifique), ont obtenu des résultats un peu justes ou manquent cruellement de confiance en eux. Du coup, ces jeunes du département n’ont pas osé se lancer dans le grand bain en intégrant directement une première année de médecine, très sélective, à la sortie du lycée. Leur solution, pour tenter de décrocher un jour le précieux diplôme? Intégrer la prépa santé de l’université Paris-XIII, unique en France et lancée depuis deux ans seulement.

L’objectif de l’année préparatoire aux études de santé (Apes), « rétablir un peu de justice sociale alors que les boîtes privées sont très coûteuses, et permettre aux étudiants de notre territoire de mieux réussir dans des études très sélectives », assure le président (PS) du conseil général, Stéphane Troussel. Mais aussi appuyer leur formation en espérant qu’une fois médecin ils resteront en Seine-Saint-Denis pour exercer leur profession.

« Les indicateurs de mortalité du département sont très élevés, l’espérance de vie y est plus faible et la démographie médicale est particulièrement dégradée actuellement, précise l’élu. Nous sommes un département urbain qui reste marqué par la désertification médicale. » Voilà aussi la raison pour laquelle le département finance à hauteur de 50000 € par an cette formation.

Les jeunes qui parviendront à devenir médecins resteront-ils pour autant en Seine-Saint-Denis? Selon Jean-Luc Dumas, le directeur de l’UFR santé de Paris-XIII, une étude réalisée avec le corps médical du département semble le prouver. « Le taux de dispersion des élèves de médecine originaires du département est minimal, assure-t-il. Cette tendance est très positive. »

Dans la salle de Bobigny, hier après-midi, la quarantaine de jeunes des deux premières promotions de la prépa santé ne s’engagent pas vraiment lorsque la question de leur avenir est évoquée. « On verra bien », glisse Yassine, étudiant de la première promo, qui vient justement d’obtenir des résultats encourageants aux partiels du premier semestre. « Quoi qu’il arrive, il reste dix ans d’études pour réfléchir! » Au premier rang, une étudiante de l’actuelle promotion est déjà décidée à quitter le département à tout prix. Son rêve? L’humanitaire. Pas de quoi satisfaire Stéphane Troussel qui, dans un sourire, lance aux jeunes : « Des situations similaires à de l’humanitaire, il en existe aussi ici. »

Source : Le Parisien

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Publié dans #Education

Publié le 11 Janvier 2014

alain-dister.jpgBien connu pour ses nombreux articles et ses biographies de stars de rock, Alain Dister a également été le photographe de Jimi Hendrix, The Clash, Nico, Janis Joplin, Lou Reed, Cher ou encore Pink Floyd.

Samedi 11 et dimanche 12 janvier 2014 à l’Espace Gainville d’Aulnay-sous-Bois. Entrée libre de 13h30 à 18h30.

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Publié dans #Culture

Publié le 10 Janvier 2014

usine-psa-d-aulnay-reclasses-ou-presque.jpg2 712 salariés sur les 3 000 ont souscrit à un projet de mobilité interne ou externe. Les quelques 300 restants veulent bénéficier du plan de départ volontaire.

La quasi-totalité des salariés de l'usine PSA Peugeot Citroën d'Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), qui doit fermer en 2014, ont été reclassés ou sont en cours de reclassement à l'échéance, le 31 décembre, de la période de départs volontaires du site, a indiqué vendredi 10 janvier le directeur des ressources humaines, Philippe Dorge. Au total, "2.712 personnes sur 3.000 ont adhéré à un projet de mobilité interne ou externe", soit 90% des effectifs de l'usine de Seine-Saint-Denis avant l'annonce de sa fermeture, a-t-il précisé. La moitié d'entre elles restent au sein de l'entreprise. Parmi ceux qui quittent l'entreprise, 200 ouvriers sont partis dans le cadre des congés seniors. Selon Philippe Dorge, sur les quelque 300 personnes restantes, 240 ont fait acte de candidature pour bénéficier des mesures de départ volontaire et "60 ne se sont pas manifestées".

450 personnes encore à Aulnay

D'ici le 31 mars, ces 60 personnes recevront une proposition de mutation interne à laquelle elles devront répondre dans un délai de 30 jours, puis en cas de refus une seconde proposition. En cas de refus définitif, ces salariés se verront proposer un congé de reclassement de 12 mois, c'est-à dire un accompagnement pour trouver un nouvel emploi, avant leur licenciement. Pour ceux-là, l'indemnité supplémentaire de départ est réduite à 7 mois, contre 12 mois pour ceux qui ont adhéré au plan de départs volontaires.

A l'heure actuelle, 450 personnes sont encore présentes physiquement sur le site d'Aulnay: syndicalistes, personnes restant à la production de pièces détachées et ouvriers chargés de la sécurité du site. Selon le SIA, premier syndicat de l'usine, "500 salariés sont encore sans solution". Pour "maintenir un lien entre les anciens salariés" et "donner un coup d'accélérateur à la revitalisation" du site, le syndicat a annoncé vendredi la création de l'Association des Anciens d'Aulnay (AAA).

En deux ans, le groupe a supprimé 11 200 postes

A l'usine de Rennes, "1.387 personnes sur 1.400 (concernées par les suppressions de postes) ont une solution de reclassement, dont plus de 400 de congés seniors", selon Philippe Dorge. La fermeture d'Aulnay et les suppressions de postes à Rennes et dans le reste du groupe doivent aboutir à la suppression de 8.000 postes, comme prévu dans le plan de restructuration lancé en juillet 2012.

Au total, entre mai 2012 et mai 2014, les effectifs du groupe devraient diminuer de 11.200 personnes. L'accord de compétitivité signé avec quatre syndicats en octobre, qui garantit la pérennité des sites en France en échange d'une modération salariale, "va permettre de réaliser les transformations dont le groupe a besoin sans recourir à un plan de sauvegarde de l'emploi", selon Philippe Dorge.

Fin 2012, le groupe employait plus de 91.000 personnes dans l'Hexagone, sur un total de 202.000 salariés dans le monde.

Source : http://www.challenges.fr (avec AFP)

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Publié dans #Emploi

Publié le 10 Janvier 2014

Attention, petit bijou ! Ne manquez pas «Twaaga», le deuxième court-métrage de Cédric Ido, jeune réalisateur de Saint-Denis, ce vendredi soir sur Arte, dans l'émission Court-Circuit consacrée à l'Afrique (diffusion à 23h55). 

Ce vendredi soir sur Arte
Auréolé d'un prestigieux prix lors du dernier Festival international du film de Dubaï en décembre dernier (mention spéciale du jury dans la catégorie court-métrage), Twaaga raconte l'histoire de Manu, 8 ans, dans le Burkina Faso  des années Thomas Sankara, jeune capitaine révolutionnaire qui se démène à la tête de son pays pour redresser l'économie et vaincre l'impérialisme occidental. Le garçon, fan des comics, se demande si les superpouvoirs existent dans la vraie vie...

Tourné à Ouagadougou en octobre 2012, sélectionné au London Film Festival et donc au Dubaï International Film Festival 2013, Twaaga mélange les genres avec une virtuosité déjà répérée dans le premier film de Cédric Ido, Hasaki Ya Suda (Les sabres), film de samuraï futuriste tourné en lingala qui a cartonné dans des dizaines de festivals en 2011.

Twaaga allie deux qualités rarement associées : le fond et la forme !

Du style, une lumière au top, une bande originale qui déchire et des acteurs, amateurs et professionnels, dirigés de main de maître par Cédric Ido, 33 ans. Le petit frère de Jacky (également réalisateur mais aussi 
acteur - il a joué dans Inglourious Bastards, de Quentin Tarantino, et Ces amours-là, de Claude Lelouch-) ne se contente pas de mettre la forme. «J'ai vécu à Ouagadogou  de l'âge de 3 à 8 ans, entre 1983 et 1987, durant les années Sankara», explique-t-il. «Je ne savais pas à l'époque ce qu'était la révolution, mais je crois que c'est ce qui m'a poussé et a été un moteur pour moi bien des années plus tard pour écrire et réaliser ce film. Je voulais raconter la grande Histoire dans la petite. Faire passer le message de cet homme au discours universel qui se battait contre l'hégémonie occidentale et voulait que son peuple se libère. »

Entre parallèle avec ce qu'il a vécu en Afrique et projection de Thomas Sankara, véritable héros national et figure de la révolution, on suit avec un plaisir non dissimulé le chemin de Manu dans une aventure bourrée d'humour, où l'on retrouve l'univers de la BD, passion initiale d'Ido. Un film loin de tout cliché. Enfin quand on lui demande, et la suite ?  «Ben, deux longs !», répond du tac au tac celui qui a grandi «de l'autre côté du périph» - il tient à ses origines banlieusardes - . «Je suis en projet d'écriture sur deux sujets, un sur les rabatteurs des salons de coiffure de Château-d'Eau à Paris et l'autre sur le Ghana colonial.» Sans compter un Twaaga version longue qui ne serait pas pour lui déplaire...

Cédric Ido. retenez-bien ce nom !

Source : Le Parisien

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Publié dans #93 Infos

Publié le 10 Janvier 2014

wagon-drancy 640x280L'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) et Areva ont annoncé jeudi qu'une trace de contamination radioactive avait été trouvée sur le wagon accidenté de Drancy,selon France Info vendredi 10 janvier.

La voiture qui transportait des déchets nucléaires avait déraillé lundi 23 décembre dans cette gare de triage de Seine-Saint-Denis, l'une des plus importantes de France, située à moins d'une dizaine de kilomètres à vol d'oiseau de Paris, sans qu'il y ait de fuite radioactive, avait alors indiqué la préfecture.

DOSE SANS DANGER

L'ASN et Areva parlent d'anomalie. « Selon l'industriel, l'étanchéité du colis qui contenait les déchets nucléaires n'a pas été rompue et cette contamination sur le wagon n'a pas de lien avec le déraillement », rapporte la radio. L'une des hypothèses est que cette trace aurait pu être laissée au moment où le colis a été chargé dans le wagon, à la centrale de Nogent-sur-Seine. 

En procédant à un contrôle radiologique du wagon, Areva a trouvé un point anormal d'un niveau de 56 microsieverts par heure. Une dose sans danger pour les riverains ou l'environnement mais en dehors des règles en vigueur pour le transport de ce type de matière.

Source : http://www.lemonde.fr (Merci à Jean-Louis Karkides, chasseur de Castors diplômé, pour la transmission de cette information).

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Publié dans #Transports

Publié le 10 Janvier 2014

Il semblerait qu’un problème de fichier soit à l’origine d’un bug dans l’envoi des invitations pour assister à la cérémonie 2014 des vœux du maire. Celle-ci avait pourtant cette année une saveur toute particulière puisqu’elle était la dernière de la mandature de Gérard Ségura entamée en mars 2008. Sera-t-elle la dernière tout court ? La réponse viendra dans quelques semaines.

Quoi qu’il en soit, en attendant, la rédaction d’Aulnaylibre ! vous propose de revivre une partie de cette soirée, les petits fours et les boissons en moins désolé, à travers la vidéo du discours de monsieur Ségura empreint d’une certaine nostalgie. A chacun de trouver le sens qu’il voudra derrière ses mots…

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Publié dans #Fêtes et Cérémonies

Publié le 10 Janvier 2014

voillaume-aulnayLes enseignants du lycée Voillaume à Aulnay-sous-Bois (ils sont plus de 200 pour plus de 2000 élèves) terminent aujourd’hui une grève de trois jours. Ils seront devant les grilles, ce matin dès 7h30, pour discuter avec les élèves et les parents des suites à donner à leur mobilisation pour obtenir le soutien du rectorat. Ils réclament une aide à la direction, du personnel supplémentaire (prof de philo, surveillants, agents de nettoyage). Sollicité hier, le rectorat n’a pu être joint.

Source : Le Parisien

 

 

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Publié dans #Education

Publié le 10 Janvier 2014

A.Benjana.jpgJusqu’en mars dernier, il était maire-adjoint au sein de l’équipe du maire (PS) d’Aulnay Gérard Ségura. Abdel Benjana (photo ci-contre) sera candidat... sur la liste UDI de Jacques Chaussat, tout comme un autre transfuge de la majorité municipale, Fouad Guendouz. Il faut dire qu’en six mois, les deux élus — absents lors du vote du budget — ont été démis de leurs délégations et ont rejoint l’opposition au sein du conseil municipal.  

« J’avais lancé ma propre candidature en avril, mais j’ai écouté les Aulnaysiens. Ils demandent l’union. Avec M. Chaussat, nous avons des points de convergence : la vision économique, le devenir du site PSA, le retour à une gestion saine et équilibrée de la ville », explique Abdel Benjana. Il assure qu’il n’aura pas de difficulté à expliquer ce ralliement aux électeurs : « Le centre-droit et le centre-gauche peuvent discuter. » Il a en commun avec le conseiller général et municipal UDI d’avoir un temps présidé la Meife (Maison de l’emploi d’Aulnay). Dans un communiqué, Jacques Chaussat voit dans ces soutiens « l’aboutissement d’un travail de fond » engagé avec les deux élus, répondant selon lui au souhait des habitants « que soient dépassés les clivages traditionnels ».

Source : Le Parisien / Photo : site de la ville

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Publié dans #En route vers 2014 !

Publié le 10 Janvier 2014

L’escroquerie était plutôt fine. Ces derniers jours, les médecins du Val-d’Oise, de Seine-Saint-Denis et des neuf premiers arrondissements de Paris, ont reçu une lettre leur réclamant le règlement de leur cotisation annuelle (chaque médecin est obligé de s’inscrire à l’ordre et de s’acquitter de sa cotisation ordinale chaque année), d’un montant de 300 €. Ce courrier, envoyé à des milliers de praticiens, « 4000 », selon une source policière, est le résultat d’une vaste arnaque. Dans le Val-d’Oise, une centaine de praticiens sont tombés dans le piège. « Ils ont payé par chèque ou par virement bancaire », regrette le docteur Patricia Escobedo, secrétaire générale du conseil de l’ordre des médecins du Val-d’Oise, qui a déposé plainte lundi au commissariat d’Ermont. Edgard Fellous, président de l’ordre des médecins en Seine-Saint-Denis en a fait de même hier. « Ce sont mes confrères du Val-d’Oise qui m’ont prévenu que l’escroquerie ciblait aussi les médecins de Seine-Saint-Denis, alors je me suis rendu au commissariat de police, à Ermont, qui avait déjà la plainte du Val-d’Oise », explique Edgard Fellous. Selon lui, certains médecins du 93 ont été bernés, mais il ne connaît pas encore leur nombre.

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Une petite main interpellée hier

Si autant de médecins sont tombés dans le panneau, c’est tout simplement parce que « cette lettre, habituellement envoyée la deuxième quinzaine de janvier, est très bien faite », indique Patricia Escobedo. Le courrier (voir notre déchiré) contient le cigle CDOM pour conseil départemental de l’ordre des médecins. « Dans cette note, les auteurs font référence à des articles du Code de déontologie, ajoute Patricia Escobedo. Cela peut prêter à confusion ! »

C’est une ophtalmologue de Pontoise qui a repéré des incohérences. « J’ai reçu la lettre samedi, mais je me suis penchée dessus lundi. Certes, l’adresse du CDOM était dans la bonne ville, mais pas dans la bonne rue », précise le docteur. Après vérification, le docteur se rend compte que le conseil n’a pas déménagé. Autre élément, outre une faute d’orthographe : « Dans la lettre, on nous demande de régler la cotisation avant le 31 janvier, habituellement, nous avons jusqu’au 31 mars. Le caducée qui nous est envoyé dans le même courrier n’était pas joint », insiste-t-elle. Elle décide donc d’appeler le conseil du Val-d’Oise, qui assure ne pas être à l’origine de cette lettre, d’autant que, cette année, la cotisation s’élève à 305 € et non 300 €. « Aussitôt, nous avons alerté les médecins leur expliquant de ne surtout pas payer, insiste Patricia Escobedo. Jamais nous n’avions eu ce genre de problème auparavant. »

Suite aux plaintes déposées, une équipe de la brigade anticriminalité s’est rendue à cette fausse adresse du conseil de l’ordre du 95. Là, pas de société, mais une boîte aux lettres. Les policiers ont interpellé une femme venue récupérer le courrier. Agée de 29 ans, vivant à Chanteloup-les-Vignes (Yvelines), elle ne serait pas l’instigatrice de ce plan, juste une petite main. « Elle dit avoir postulé à un 
emploi de gérante sur le site Internet Vivastreet et qu’un prénommé Ethan, pas encore identifié, l’a contactée, précise une source policière. Il s’est présenté comme représentant de CDOM, spécialisé dans l’information en comptabilité de bureau. » À sa demande, la femme a ouvert un compte au Crédit agricole de Villemomble et rédigé les courriers. Cette femme a été relâchée hier. En attendant d’éventuelles poursuites, l’enquête continue.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #93 Infos

Publié le 9 Janvier 2014

voillaume-aulnay.jpgEDUCATION – Des enseignants du lycée polyvalent Voillaume en Seine-Saint-Denis entament un nouveau jour de grève vendredi…

Deux mille élèves, deux cents enseignants… et cinq jours de grève. Au lycée polyvalent Voillaume, à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), les cours ont laissé place aux banderoles. Depuis un mois, une partie des enseignants se mobilise pour dénoncer un climat qui se détériore.

Insultes, vols et dégradation au quotidien

Le mouvement débute après des jets d’œufs et de bombe lacrymogène en pleine classe. Le vendredi 8 décembre, les enseignants du lycée Voillaume déposent un droit de retrait et dénoncent les violences toujours grandissantes depuis la rentrée. Après deux jours de grève, les élèves responsables de ces violences sont finalement sanctionnés. «Mais les autres problèmes, moins spectaculaires, comme les nombreux vols, menaces, injures, handicapent notre quotidien», précisent les grévistes joints par 20 Minutes.

Au retour des vacances, les problèmes ne sont pas réglés. C’est pourquoi mercredi dernier, les enseignants, à nouveau en grève, sont reçus par le rectorat de Créteil. Sans obtenir les réponses escomptées. Le bras de fer continue donc. Vendredi, à nouveau, la cinquantaine de professeurs troquera leçon contre mobilisation. Pour obtenir plus de moyens et la reconnaissance que ce lycée mérite une attention particulière et une direction cohérente pour faire face aux violences.

Un meeting au rectorat sans résultat

Dans un communiqué, les grévistes soulignent jeudi soir les difficultés quotidiennes d’un lycée pourtant classé en prévention violence. «L'intégrité physique et morale des élèves et de la communauté éducative est mise en cause par la multiplication d'incidents, explique le document. Des jets d'objets, injures, dégradations des locaux vont croissant. Ils sont le fait d'une minorité d'élèves qui profitant, entre autres, de carences d'encadrement, provoquent un sentiment d'impunité généralisé. Face à ces difficultés, le manque de surveillants est alarmant: on en compte un pour 183 élèves. Le rectorat, de son côté, considère qu'il n'y a aucune urgence à pourvoir les postes que nous lui demandons depuis plusieurs mois.»

Une direction dépassée

Le manque d’encadrement et d’écoute de la direction se double du non-remplacement de certains enseignants. Ainsi, une classe de terminale n’a encore eu aucun cours de philosophie depuis la rentrée. Pour certains professeurs, «il y a un déni des problèmes par le rectorat. Tout n’est pas mis en œuvre pour que les élèves réussissent». Joint par 20 Minutes, le rectorat de Créteil n’a pas donné suite.

Un audit de l’établissement avait été demandé au rectorat. Pour l’un des grévistes, «l’audit aura peut-être lieu, mais ça sera trop tard».

Source : http://www.20minutes.fr

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Publié dans #Education

Publié le 9 Janvier 2014

gare-drancy-nucleaireLe syndicat Sud-Rail a demandé, hier, « l’arrêt immédiat de toutes les circulations de matières radioactives » en invoquant le « principe de précaution » après le déraillement le 23 décembre d’un wagon de déchets nucléaires à la gare de triage de Drancy. Ce jour-là, un essieu du wagon était sorti du rail. L’accident n’a pas provoqué de fuite radioactive mais ravivé l’inquiétude des habitants et des élus des villes voisines, qui réclament depuis des mois que les convois dangereux (13 000 wagons par an) ne passent plus par Drancy. « Nous demandons l’application du principe de précaution, poursuit Sud-Rail dans son communiqué. Tant que les résultats des enquêtes ne sont pas connus, nous demandons l’arrêt de toutes les circulations avec ce type de wagons. » Le syndicat évoque deux procédures en cours, « une enquête interne à la SNCF » et « une enquête du Bureau expertise accident (BEA) ».

Source : Le Parisien

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Publié dans #Transports

Publié le 9 Janvier 2014

Mais que se passe-il en cette année 2014 ? Il semblerait que le sésame d’entrée à l’Hôtel de Ville, ce soir à 19h pour assister à ce qui pourrait être l’ultime et dernière cérémonie des vœux du maire sortant Gérard Ségura, n’ait jamais été aussi compliqué à obtenir !

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Même certains délégués de quartier, fidèles parmi les fidèles depuis 2008 aux conseils de la démagogie démocratie participative ont été affreusement oubliés de la liste des invités ! Dans ces conditions, les bannis du carton d’invitation risquent bien d’avoir le vote amer en mars prochain !

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Alors, faut-il cirer quelques pompes ou faire des courbettes devant des gens bien placés, ou encore viser des invitations mises aux enchères sur Ebay ou vendues sous le manteau ? Quoi qu’il en soit, dépêchez-vous, car le compte à rebours a déjà commencé et il ne reste plus que 7 heures pour trouver un moyen d’accéder à la maison commune !

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Bonne chance à toutes et tous !

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Publié dans #En route vers 2014 !

Publié le 9 Janvier 2014

permis-de-conduire-93.jpgEn Seine-Saint-Denis, trouver un emploi quand on n’a pas le précieux papier rose relève de la mission impossible. Heureusement, les coups de pouce existent pour permettre aux habitants de s’offrir ce sésame.

Dans les allées d’un salon pour l’emploi à Clichy-sous-Bois, on parle autant expériences professionnelles que permis de conduire… « Le premier truc qu’on nous demande quand on dit qu’on vient de Clichy-sous-Bois, c’est le permis et d’être véhiculé », lâche Mohamed, 26 ans qui patiente devant un stand d’une entreprise de bâtiment. Un peu plus loin, CV en main, Charmila et Zaïneb, Montfermeilloises bachelière pour l’une, manipulatrice en imagerie médicale pour l’autre, espèrent décrocher un contrat, même à durée déterminée, pour financer ce permis qui leur fait tant défaut.

Ce sésame pour l’emploi se décroche au prix de 900 € pour les meilleures offres, mais peut atteindre les 2000 € pour les moins habiles du volant. En Seine-Saint-Denis, les collectivités en sont conscientes : le coût est un frein à l’accès vers l’emploi. Alors les initiatives se multiplient pour donner un coup de pouce.

A Epinay, pour la quatrième année consécutive, la mairie a lancé au début du mois la 
bourse au permis B afin de permettre à 30 jeunes de 18 à 25 ans de recevoir un coup de pouce financier en échange de leur investissement dans une campagne de sensibilisation à la propreté auprès des habitants.

L’agglomération Terres de France finance une bourse aux permis de conduire qui doit permettre à mille jeunes de Tremblay, Sevran et Villepinte de recevoir jusqu’à 1 000 €.

A Aulnay-sous-Bois, la régie de quartier Saddaka propose aux plus modestes d’accéder aussi à cette formation. Une démarche soutenue par le conseil général, qui, en 2013, a cofinancé plusieurs auto-écoles sociales à hauteur de 150 000 €. Ces structures permettent un suivi sur un temps plus long.

A Montreuil, le département a alloué 40 000 € à l’association SJT Montreuil pour permettre de financer 40 permis de conduire pour des jeunes. Cette participation s’inscrit dans le cadre de l’opération « Permis Sport Emploi » mené en partenariat avec la région, l’Agence nationale pour la Cohésion Sociale et l’Egalité des Chances (Acsé) et de grandes entreprises.

A Noisy-le-Sec, une trentaine de jeunes peuvent bénéficier d’une aide de 300 € de la part de la municipalité en échange de leur participation à un chantier d’été.

Les allocataires du RSA 
peuvent tout au long de l’année voir leur permis financer à 100%. En 2012, 133 personnes ont bénéficié d’une formation. Et sachez que des aides existent pour les 18-25 ans, à hauteur de 1 000 € maximum. Il faut avoir préalablement obtenu son code, vivre en Seine-Saint-Denis depuis au moins un an et avoir un projet professionnel qui nécessite l’obtention du permis de conduire. En 2012, 96 habitants ont pu être ainsi aidés. En 2013, le conseil général a financé 90 000 € pour ce dispositif.

Pour toute information, contacter les missions locales ou le conseil général au 01.43.93.42.71.

 

Source : Le Parisien

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Publié dans #93 Infos

Publié le 9 Janvier 2014

RER_B.svg.pngEn cours 
Dernière mise à jour : 09/01/2014 à 08h00 .

 

Défaut d'alimentation électrique à Paris Nord sur la ligne B du RER.

La circulation des trains est interrompue, dans les deux sens, entre Paris Nord et Châtelet les Halles. 

Les trains en provenance d' Aéroport Charles de Gaulle 2 TGV et Mitry Claye sont terminus / origine Paris Nord surface. Les trains en provenance et Saint-Rémy lès Chevreuse, Massy Palaiseau et Robinson sont terminus / origine Châtelet les Halles.

Les clients souhaitant se déplacer entre Paris Nord et Châtelet Les Halles ou inversement, sont invités à emprunter la ligne D du RER ou la ligne 4 du métro (Porte de Clignancourt / Porte d'Orléans).

Une reprise du trafic est envisagée pour 12h00.

Source : SNCF Transilien

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Publié dans #Transports

Publié le 9 Janvier 2014

bionoor-copie-1.jpg«Je ne vais pas mentir : c’est hyper valorisant pour moi, et ça flatte mon égo. » Non, la télévision ne lui a rien fait perdre de sa franchise. Hadj Khelil, patron de la société Bionoor (spécialisée dans le commerce de produits bio), basée à Aulnay-sous-Bois, fait partie des cinq « mentors » de la nouvelle émission de téléréalité « l’Incubateur », sur la chaîne June. En douze épisodes, à suivre tous les lundis soirs — les deux premiers ont été diffusés lundi dernier — le programme suit cinq jeunes femmes qui veulent créer leur société. Parmi eux, les créateurs de la marque de yaourts et gâteaux Michel et Augustin, ou la créatrice de la collection de vêtements Antik Batik...

Sa « protégée » vante les mérites de l’ancien trader 


La productrice Stéphanie Brillant (She Is the Boss Innertainment) cherchait aussi « quelqu’un dans le secteur bioéthique ». « En faisant mes recherches, je suis tombée sur un reportage qui lui était consacré, confie-t-elle. J’y ai vu un sacré personnage, avec une énergie incroyable. » Elle a donc contacté l’ancien trader de 39 ans, et ne le regrette pas : « Il a très bien rempli son rôle. » Ce que confirme Emilie, la jeune candidate qu’il « couve » tout au long de l’émission. « C’était le plus investi, j’ai eu de la chance de tomber sur lui », glisse la trentenaire, qui espère ouvrir au 
printemps sa boutique de cupcakes à Montpellier (Hérault) où elle réside et vient d’avoir une petite fille.

De son côté, Hadj Khelil, déjà familier de la radio avec quelques chroniques sur BFM, a savouré l’expérience. « Promouvoir l’entrepreneuriat féminin, c’est une manière de corriger une inégalité. Les statistiques montrent que les filles se lancent moins, mais que quand elles le font, elles réussissent beaucoup mieux.» C’est au 
cours du tournage qu’il a appris qu’Emilie était enceinte : « Il n’était pas question qu’elle renonce. L’idée qu’une femme puisse être mise au placard parce qu’elle attend un bébé me dérange profondément. » 

A suivre tous les lundis à 20 h 40, sur June.

Source : Le Parisien

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Publié dans #Economie

Publié le 9 Janvier 2014

auto-ecole-saddaka-aulnay.jpgLes candidats au permis de conduire n’ont pas tous 18 ans et le bac en poche. A l’auto-école sociale Saddaka, cité de l’Europe à Aulnay, on voit aussi affluer des mamans, poussées hors de chez elles par la crise. Le coût du permis était déjà un obstacle, auquel s’en ajoute parfois un autre : la difficulté à déchiffrer les panneaux. « Certains de nos élèves ne savent ni lire, ni écrire », explique Salima Bettahar, directrice de la régie de quartier Saddaka. L’auto-école sociale, qui proposait déjà des tarifs défiant toute concurrence, a créé un programme d’apprentissage spécial, en 2008. « Il nous a fallu trois ans pour le mettre au point », souligne Salima Bettahar.

L’auto-école accueille désormais un groupe de jeunes étrangers tout juste arrivés en 
France, en lien avec le foyer Concorde et un autre d’une vingtaine d’hommes et de femmes plus âgés. Parmi eux, Fatima, 54 ans, (à gauche sur notre photo) prépare l’examen du code depuis sept mois. « A l’école, en Algérie, on n’avait qu’une ou deux heures de français par semaine », glisse sur un ton d’excuse cette employée de ménage, qui a payé 900 € en trois fois pour son inscription. A raison de cinq cours par semaine, les candidats travaillent par étapes, sous la houlette d’une monitrice qui détaille la signalisation panneau par panneau, corrige les exercices de façon individuelle et s’attarde aussi sur le vocabulaire.

Ici, le permis revient à 550€ 

« C’est comme à l’école, explique Najat, 40 ans (à droite sur la photo). A chaque question, elle nous interroge : qu’est-ce que tu as répondu? Et pourquoi tu as répondu ça? ». Voilà un an et demi que cette maman de quatre enfants s’est inscrite, moyennant le prix imbattable de 550 €. Elle tente tant bien que mal de suivre les cours avec régularité. Elle passera son code bientôt. « Je travaille chez les personnes âgées, explique-t-elle. Je cours tout le temps après le bus. Souvent, quand je postule pour du travail, on me demande si j’ai le permis. Et quand je réponds non, on ne me prend pas toujours… ». Fatima se souvient de ce contrat de six mois à l’aéroport de Roissy : « C’était le stress quand je sortais de chez moi à quatre heures du matin, j’avais peur d’être en retard ou d’être agressée… A la fin, mes collègues qui venaient en voiture ont tous été prolongés. Pas moi ».

Depuis la mise en place de cette formation, l’auto-école sociale est assaillie de demandes. « Il faut compter un an et demi à deux ans d’attente », indique Saphia, secrétaire de l’association. Les candidats viennent de Drancy, des Lilas, de Paris… « Avant, le permis était un luxe, résume Fatima. Maintenant c’est un besoin ».

Source : Le Parisien

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Publié dans #A vos quartiers !

Publié le 9 Janvier 2014

pierrefitte.jpgAprès la mort du père, des suites d’une crise d’asthme, une famille de Pierrefitte-sur-Seine, logée dans un appartement insalubre, lance un appel au secours.

La minuscule et proprette rue de Pierrefitte-sur-Seine aligne ses maisons de ville coquettes. Mais au bout du passage Crabouillet, au numéro 4, les jardinets entretenus et les portails refaits à neuf ont disparu. Ici, au rez-de-chaussée d’une grande maison, une famille avec six enfants s’entasse depuis près de vingt ans dans un appartement d’une cinquantaine de mètres carrés.Et si les trois aînés ont quitté le domicile pour échapper à l’enfer, trois jeunes de 15, 16 et 20 ans vivent encore ici avec leur mère.

A l’intérieur, la moisissure assombrit les murs imbibés d’humidité, des fils électriques pendent des plafonds, la lumière du jour ne pénètre plus par les minuscules ouvertures, les toilettes sont inutilisables, les fuites d’eau récurrentes, les locataires découvrent régulièrement des rats morts et les deux petites chambres, en sous-sol, ne suffisent pas à accueillir dignement tous les membres de cette famille sri-lankaise, arrivée en 
France en 1995.

Après plusieurs visites des services d’hygiène de la ville et de l’Agence régionale de 
santé (ARS), le logement a fait l’objet d’un arrêté irrémédiable de la préfecture pour insalubrité avec interdiction à l’habitation. La première fois, c’était en 1999. Mais depuis, alors qu’un nouvel arrêté a été signé en 2013, rien n’a bougé.

Jusqu’en 2010, les parents étaient sans papiers

Et si tous ont supporté en silence ce quotidien indigne pendant des années, la mort du père à 61 ans, le lendemain de Noël, a annihilé toute pudeur. « Ce soir-là, il a fait une crise d’asthme, comme cela lui arrivait souvent, confie Raajitha, 25 ans, l’une des filles de la famille. Mais elle a dégénéré et il est décédé quelques jours après à l’hôpital. C’est évident que l’humidité de l’appartement y est pour quelque chose. » Ce que souhaite la jeune femme, aujourd’hui étudiante en licence sciences sanitaires et sociales? Dénoncer une telle situation, que ses parents ont acceptée probablement parce qu’ils étaient sans papiers jusqu’en 2010. Et tenter de sortir de cet enfer son jeune frère de 15 ans alors que la ventoline ne lui suffit déjà plus et que le corps médical lui conseille une greffe des poumons.

A la mairie de Pierrefitte, on connaît bien l’histoire de cette famille puisque le dossier traîne depuis 1999. A l’époque, les services de la PMI (protection maternelle et infantile) alertent ceux de l’hygiène en détectant de lourds problèmes respiratoires sur le plus jeune frère. Le constat réalisé dans le logement est implacable : absence de chauffage fixe, risque de vétusté ou dysfonctionnement de l’installation électrique, absence de système de ventilation, problèmes d’humidité, suroccupation manifeste, suspicion de peinture au plomb dégradée… S’ensuit un arrêté préfectoral et, en novembre 2013, quatorze ans après, une proposition de relogement temporaire dans une résidence gérée par ADOMA, que la famille juge trop précaire et refuse. Pendant tout ce temps, les parents continuent de verser les 520 € de loyer mensuel au propriétaire, alors même qu’une interdiction à l’habitation a été décrétée en 1999.

Le propriétaire, à la tête d’une société civile immobilière (SCI) d’une dizaine d’appartements, basée à Aubervilliers, loue également des logements en propre dans tout le département. Contacté, il reconnaît percevoir chaque mois le loyer pour son logement de Pierrefitte et prétend qu’il n’a pas pu réaliser les travaux « parce que la famille ne voulait pas partir ». « On ne peut pas les mettre dehors, lance sa femme. On a pitié. Nous, on a fait le maximum, mais ils n’ont fait aucuns travaux. »

Source : Le Parisien

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Publié dans #93 Infos

Publié le 8 Janvier 2014

ligne16-grandparis-aulnayUn proche de Claude Bartolone, Philippe Yvin, doit succéder à Etienne Guyot à la tête de la société chargée de bâtir le Grand Paris Express. Les délégués du personnel se disent choqués de ce nouveau changement de direction, le troisième en quatre ans.  

La rumeur bruissait déjà depuis plusieurs semaines. C'est désormais certain: Etienne Guyot quittera dans les prochains jours la direction de la Société du Grand Paris (SGP). Il doit être remplacé par Philippe Yvin, actuel conseiller de Jean-Marc Ayrault en charge des collectivités territoriales et de la décentralisation.  La passation de pouvoir à la tête de l'entreprise d'Etat chargée d'aménager le Grand Paris Express doit avoir lieu d'ici la fin du mois. Etienne Guyot a ainsi convoqué en urgence un conseil de surveillance (l'équivalent du conseil d'administration) pour le 21 janvier prochain. L'instance devra valider le changement de président du directoire.  

En tout cas, ce chamboulement à la tête de la SGP passe mal auprès des quelques 130 salariés de la structure. La plupart l'ont appris lundi matin, en reprenant le travail après les fêtes, et leurs représentants ne mâchent pas leurs mots pour exprimer leur frustration. «C'est le quatrième directeur en quatre ans, dénonce Christian Garcia, délégué du personnel à la SGP. On ne peut pas construire le métro du Grand Paris, qui est le plus grand chantier d'Europe, avec une telle instabilité !»    

Depuis Pascal Auzannet, qui présidait début 2010 la mission de préfiguration de la SGP, le Grand Paris Express a en effet eu pour pilotes Marc Véron (de juin 2010 à juillet 2011) et Etienne Guyot, issu du corps préfectoral (depuis juillet 2011). «Il y a un vrai étonnement, renchérit Magali Reboul-Torres, la secrétaire adjointe du comité d'entreprise de la SGP. De la déception aussi, et de l'inquiétude: quelle va être la méthode, quel va être le calendrier?»

guyot_640x280.jpgLes élus du personnel demandent à être reçus par Cécile Duflot

Les délégués du personnel craignent que le changement de direction à la tête de la SGP fasse perdre «plusieurs mois» au projet de supermétro. «On est déjà dans un calendrier court mais tout le monde travaille à ce que ça se passe bien, reprend Christian Garcia. Là c'est un peu le grain de sable dans la machine bien huilée.» «Tout va être suspendu à commencer par les embauches, détaille Magali Reboul-Torres. Il y avait 23 embauches  prévues en 2014, tout est bloqué.» Pour se faire entendre, les délégués du personnel de la SGP vont demander audience à Cécile Duflot, leur ministre de tutelle en charge du Grand Paris. «On veut des assurances pour la suite» précise Christian Garcia. Le cabinet de la ministre a fait savoir qu'il n'avait pas «eu pour l'heure de demande d'audience» mais que «les délégués seront reçus dès que ce sera le cas». 

S'ils assurent qu'il ne «s'agit pas d'une question de personnes», les représentants des salariés de la SGP pointent tout de même le profil particulier du successeur annoncé d'Etienne Guyot. Philippe Yvin est en effet un proche de Claude Bartolone, dont il fut directeur de cabinet au ministère de la Ville et directeur général des services au conseil général de la Seine-Saint-Denis quand l'actuel titulaire du perchoir de l'Assemblée nationale dirigeait le département. «On ne veut pas que la SGP devienne un outil de nature partisane, précise Magali Reboul-Torres. Il faut être capable d'être toujours dans le consensus qu'on a su construire avec les élus d'Île-de-France jusque-là.» 

Source : Le Parisien

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