Aulnaylibre !

Privilégier nos commerçants locaux, garants de qualité.

Prendre ses huitres chez J-C Méchin , toujours présent sur le boulevard de Strasbourg. Il vous assure des huitres fraiches provenant de l’ile d’Oléron.

Chez Athina vous trouverez des produits traiteurs Grecs, de la charcuterie, des pâtisseries et autres produits Polonais ainsi que des Balkans.

Fromages et charcuteries Portugaises chez Portugal gourmet.

Pour les boissons, chez Les gueules à raisins vous serez conseillés par un véritable passionné pour un bon choix de désaltérants accompagnant le diner.

Vap Shop pour le cadeau de dernière minute afin de concrétiser la bonne résolution d’arrêter de fumer.

Marc Masnikosa

Source photos : Aulnaylibre.com

Sous une tente située devant la pharmacie du Vieux-Pays à Aulnay-sous-Bois il est possible de réaliser des tests Covid antigéniques.

Pas mal de personnes ont saisi cette opportunité pour se faire tester, notamment ce matin, comme en témoignent nos photos.

Ces tests sont gratuits sur présentation d’une carte vitale pour les enfants. Les adultes devront quant à eux présenter une carte vitale et un passe-sanitaire. Sans passe-sanitaire il faudra payer 25 euros.

Robert Ferrand

Source photos : Aulnaylibre.com  

Aux entrées de ville d’Aulnay, on peut apprécier un sympathique message lumineux nous souhaitant « joyeuses fêtes », sauf rue de Nonneville qui, depuis bientôt 1 an, est une sortie de ville avec une circulation en sens unique mise en place par Mathieu Tellier.

Pourtant c’est à quelques mètres du panneau de sens interdit (voir photo) que le message a été posé à l’envers ne profitant pas à ceux qui quittent Aulnay. Y aurait-il des anti-joyeuses fêtes en cette période d’anti-tout, travail bâclé d’un installateur, le mystère n’est pas élucidé pour l’heure.

Marc Masnikosa

Source photos : Aulnaylibre.com

En novembre 2021, 225 accidents corporels se sont produits dans le département. 268 personnes ont été blessées, pour trois décès. Une augmentation considérable par rapport à 2020 : le mois de novembre comptait pour 171 accidents, 190 blessés et un seul décès.

Les motards et les piétons représentent la plus grande catégorie de personnes décédées sur les routes en 2021, cumulant dix morts chacun. Neuf morts ont concerné des automobilistes et trois, des cyclistes. 

Le mois de novembre reste moins meurtrier que le mois de février, qui a vu la mort de six personnes. Le mois d’octobre détient le triste record du plus grand nombre d’accidents (358) et de blessés (422). Sur les onze mois de l’année 2021, 32 personnes sont décédées sur les routes de la Seine-Saint-Denis.

Article complet d’Actu.fr à lire en cliquant : ici

Source article : Actu.fr / Source photo d’illustration : Aulnaylibre.com

À l’occasion des fêtes de fin d’année, les bibliothèques d'Aulnay-sous-Bois ont proposé plusieurs ateliers, spectacles et animations destinés aux enfants.

Ces événements ont réjoui petits et grands.

Source information et images : compte Facebook de la ville d’Aulnay-sous-Bois

À vos marques, prêts, skiez ! La Ville d'Aulnay-sous-Bois propose aux 6-17 ans trois séjours au ski d'une semaine, entre le 19 février et le 5 mars 2022.

Profitez de vos vacances d'hiver et pré-inscrivez vous du 15 décembre 2021 au 3 janvier 2022.

Les séjours proposés sont :

- Saint-Léger les Melèzes - Hautes-Alpes, pour les 6-10 ans

- Valloire - Savoie, pour les 11-14 ans -

- Bardonecchia - Italie, pour les 15-17 ans

CATALOGUE à consulter en cliquant : ici

Pré-inscriptions au Service séjours vacances :

10 rue Roger Contensin

Du lundi au vendredi, de 9h à 12h et de 13h30 à 17h30

Source information et image : compte Facebook de la ville d’Aulnay-sous-Bois

Vendredi 24 décembre de 10h à 16h, des animations sont prévues au marché de la Gare et aux quartiers Rose-des-Vents et Vieux-Pays. Plusieurs animations musicales vous attendent, ainsi que des fanfares de Noël !

Pour le plus grand bonheur des enfants, le Père-Noël sera présent accompagné de ses lutins !

Source information et image : compte Facebook de la ville d’Aulnay-sous-Bois

• Entrée pour 6 personnes
• Préparation : 1 heure
• Ingrédients : 200 g de ramens, 3 endives, du citron vert, du miel, de la bière (blonde ou blanche), une poire, du foie gras, de la moutarde de Meaux et du beurre

« Je vais la mettre à mon menu, c’est sûr ! » Quand on lui a proposé d’imaginer un plat de fête à partir d’un produit local, Jean-Claude Cahagnet ne s’attendait pas à puiser dans les ramens de Romainville une inspiration telle qu’elle se retrouve un jour à la carte de son Auberge des Saints-Pères, à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). Ces nouilles « antigaspi » sont fabriquées à partir de drêches, les résidus du malt d’orge utilisé dans la fabrication de la bière. « Elles ont une saveur atypique, un goût plus prononcé que les ramens classiques », apprécie le seul chef étoilé de Seine-Saint-Denis.

Facile et rapide à reproduire à la maison, l’entrée pour six personnes préparée par Jean-Claude Cahagnet nécessite, au-delà de son ingrédient local, des endives, du citron vert, du miel, de la bière (blonde ou blanche), une poire et du foie gras. Découpez trois endives en six, en retirant le croquant du pied qui donne un goût amer, et placez les morceaux dans du jus de citron pressé. Dans une casserole « assez large », versez deux cuillères à soupe de miel jusqu’à obtenir un caramel blond, et non brun. Ajoutez-y les endives citronnées et réduisez à sec.

Dans une autre casserole « peu large », versez quatre autres cuillères à soupe de miel jusqu’à obtenir, là encore, un caramel blond, puis ajoutez l’équivalent de 30 cl de bière et réduisez à sec afin d’obtenir une sauce sirupeuse, qui accompagnera le foie gras poêlé, saisi quelques minutes de chaque côté.

Faites cuire les ramens (entre 4 et 6 min), auxquels vous ajouterez du beurre fondu ( 20 g) et de la moutarde de Meaux (une cuillère à soupe). Il ne vous reste plus qu’à passer au dressage. Le chef Cahagnet a opté pour un emporte-pièce rectangulaire, avec lequel il a disposé ses nouilles sous la tombée d’endives, elle-même sous quelques billes de poire crue.

Article complet du journal Le Parisien à lire en cliquant : ici

Source article : journal Le Parisien / Source photo : site internet de la ville d'Aulnay-sous-Bois 

La circulation a été interrompue dans les deux sens pendant un peu moins de trois heures, ce jeudi après-midi, à Drancy, à hauteur de la gare, suite à un accident de la route. Un homme a été renversé par une voiture, à hauteur du 220, rue Anatole-France, après le parking de la gare, vers 15h30.

Les pompiers sont intervenus rapidement sur place, épaulés par la police municipale et la police nationale. Le temps de l’intervention, la circulation a été coupée dans les deux sens. « Les lignes de bus ont alors été déviées », indique la maire de Drancy.

La conductrice entendue par les policiers

Article complet du journal Le Parisien à lire en cliquant : ici

Source article : journal Le Parisien / Source photo d’illustration : Wikipédia

Un nouveau restaurant s’installe à Aulnay-sous-Bois.

Venez découvrir Le Cornefert : ouvert 7 jours sur 7, des produits frais, un bar, des cocktails et l’happy hour dans une atmosphère chaleureuse et un design vintage.

Le Cornefert : 4 rue Edouard Cornefert à Aulnay-sous-Bois

Source information et images : compte Facebook de la ville d’Aulnay-sous-Bois

Les veillées de Noël, ce vendredi 24 décembre

Les célébrations du samedi 25 décembre

En filmant les riverains de la ligne du RER B, Alice Diop dresse le portrait sensible d’une France périphérique, diverse et peu représentée. Le documentaire actuellement visible sur Arte sortira en salle le 16 février 2022. ‘Nous’ a d’ailleurs déjà reçu le Prix du meilleur documentaire au dernier Festival de Berlin.

Ce sont les images des manifestations de janvier 2015 en réaction aux attentats de Charlie Hebdo et de l’Hyper Cacher qui sont à l’origine de ce projet : Alice Diop, née à Aulnay-sous-Bois de parents sénégalais, ne s’y reconnaît pas. Ni elle, ni le pays dans lequel elle vit.

Le RER B pour guide

La réalisatrice décide alors de filmer la France des périphéries en suivant l’itinéraire de la ligne emblématique du RER B qui traverse l’Île-de-France de l’aéroport Charles-de-Gaulle à Roissy et la ville de Mitry-Mory en Seine-et-Marne, jusqu’à Saint-Rémy-lès-Chevreuse dans les Yvelines. Un trajet connu des banlieusards, qui passe notamment par la Seine-Saint-Denis et l’Essonne.

Alice Diop s’inspire en cela du travail de l’auteur François Maspero et de la photographe Anaïk Frantz dont le livre « les Passagers du Roissy Express » (Seuil, 1990) retraçait leur déambulation de Roissy à Saint-Rémy-lès-Chevreuse.

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Depuis quelques jours, en Seine-Saint-Denis, un centre de vaccination voit arriver des personnes jusqu’ici récalcitrantes à la vaccination. "J’ai besoin de faire mes vaccins maintenant. On a attendu parce qu’on a pensé qu’on avait le temps", affirme un jeune homme.

Toutes ces personnes auront attendu plus d’un an avant de se laisser convaincre. "On a pu constater que le nombre de primo vaccinés était de plus en plus important. Que ce soit des moins de 30 ans ou des plus de 30 ans, il n’y a vraiment pas de profil type", explique Sophie Rousseaux, directrice du centre de vaccination de la Croix Rouge française à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). 

Certains viennent à reculons, encore effrayés à l’idée de développer des effets indésirables. "J’ai hésité à le faire par rapport aux effets secondaires parce qu’apparemment il y’en a", déclare une dame. D’autres sont poussés par les mesures de restrictions à l’encontre des non-vaccinés. "En soi, maintenant, on va dire que ça devient une obligation parce que si on n’a pas le vaccin, on ne peut plus rien faire. Je suis venue faire ma première injection parce qu’en fait, j’en avais marre à chaque fois de faire des tests antigéniques", affirme une jeune fille. 

D’après le site Doctolib, les prises de rendez-vous pour une première injection ne cessent d’augmenter : plus de 67.000 demandes ces cinq derniers jours. Mais parmi elles, trop peu de personnes de plus de 75 ans.

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Samedi dernier, les élèves du Conservatoire de musique ont présenté un spectacle de Noël autour du conte « Sherlock Noël » écrit par Alexandre Alvarez, ancien élève du Conservatoire de Musique et de Danse d’Aulnay-sous-Bois.

Un moment chaleureux pour les petits au cœur de l’auditorium du CRD !

Source information et images : compte Facebook de la ville d’Aulnay-sous-Bois

Physique de déménageur et sourire timide de gamin, il nous attend sur le pas de la porte de son pavillon, pareil à ceux d’à côté, dans cette avenue passante du Blanc-Mesnil (Seine-Saint-Denis). L’intérieur est à l’image du bonhomme : charmant et modeste, sans prétention. Depuis le début de la saison 10 du « Meilleur pâtissier » ces qualités ont fait de Mohamed, qui est, ce jeudi 23 décembre à 21h05, l’un des quatre prétendants à la finale, l’un des chouchous du public de l’émission gourmande de M 6, animée par Cyril Lignac, Mercotte et Marie Portolano. Surtout depuis que ce grand costaud a fondu en larme à l’évocation de ses enfants qui lui manquaient trop…

Pourtant, rien ne prédestinait vraiment ce père de famille de 34 ans, crâne rasé, barbe bien taillée, biceps saillants dans le tee-shirt à manches courtes, à réaliser une charlotte ou un praliné sous l’œil des caméras. Né dans l’Essonne de parents algériens, il se passionne d’abord pour la moto et assez peu pour l’école. « Ce n’était pas pour moi. Je n’aimais pas ça. Et puis j’étais très turbulent… Au collège, je n’ai pas eu mon brevet. Alors j’ai fait un CAP carrelage mosaïque. Après j’ai enchaîné pleins de boulots : magasinier, coursier, chauffeur… Ensuite, j’ai monté une boîte de conseil aux entreprises », détaille-t-il, attablé dans le salon, pas très loin de sa petite cuisine.

La plupart de ses films sont nés d’un « flash », d’une image. Pour Madeleine Collins, son troisième long-métrage, ce fut celle d’« une femme dans un train ». A partir de là, explique Antoine Barraud, « découle l’idée d’une femme qui effectue des allers-retours. Ce qui suppose le passage d’une ville à une autre, puis suggère le passage d’une vie à une autre ». A l’écouter, tout paraît simple, logique, concret, comme la façon dont il a appris et appréhendé le cinéma, la manière aussi dont il travaille. « J’écris assez facilement. Et j’écris directement la version dialoguée, parce que cela oblige à tout décrire dans le détail. Si un personnage prend un verre, je dois préciser de quelle manière il le prend, mais également de quelle forme, de quelle couleur, et en quoi est fait ce verre. J’aime cette approche concrète. »

Il en a toujours été ainsi, pour Antoine Barraud, 49 ans, tombé dans le cinéma dès sa plus tendre enfance. Rêvant, alors qu’il n’a pas 10 ans, de devenir un jour Indiana Jones, puis le Tarzan de Greystoke. Découvrant, à 12 ans, David Lynch, grâce au film Dune, qu’il ira voir quatre fois au cinéma. « Petit, j’étais biberonné aux films. Et je n’ai pas perdu cette habitude, je vais toujours voir en salle 250 films environ par an. J’ai toujours su que je ferais du cinéma », souligne le réalisateur qui, pour autant, n’a jamais souhaité entrer dans une école. « Mon école a été le cinéma, j’ai tout appris sur les tournages de mes films où, pour m’éduquer, j’ai occupé tous les postes, acteur, monteur, scripte… »

L’apprentissage commence alors qu’il a 20 ans. Nous sommes en 1992, il n’a jamais quitté Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), la ville où il est né, quand il décide de partir quelque temps chez une tante, à Los Angeles. Il y rencontre le voisin de palier. Ce dernier est réalisateur, cherche un assistant pour la série SeaQuest (produite par Spielberg), dont le tournage a commencé. Antoine Barraud se propose, et le voilà propulsé dans les studios Universal. Il remplit toutes les petites tâches dont on le charge. Il exulte. Le hasard est inouï, l’expérience unique.

Article complet du journal Le Monde à lire en cliquant : ici

La bande annonce du film est à visionner en cliquant : là

Source article : journal Le Monde

Afin d’enrichir sa programmation, la Maison de l’environnement propose de répondre à un questionnaire anonyme qui ne vous prendra pas plus de deux minutes.

Ce questionnaire est accessible en cliquant : ici

Source information : équipe de la Maison de l’environnement d’Aulnay-sous-Bois / Source photo : site internet de la ville d’Aulnay-sous-Bois

En ce mois de décembre, de nombreux Aulnaysiens ont décoré et illuminé leurs habitations à l'occasion des fêtes de fin d'année, de quoi émerveiller les petits et les grands.

Cette année, la ville via son compte Facebook vous propose d'élire la meilleure décoration de Noël parmi une sélection des plus belles maisons illuminées.

Vous avez jusqu'au vendredi 24 décembre 17h pour faire votre choix.

La photo la plus likée et commentée sur Facebook et en story Instagram sera désignée gagnante !

Source information et images : compte Facebook de la ville d’Aulnay-sous-Bois

La renationalisation par l’Etat du RSA en Seine-Saint-Denis a une conséquence immédiate sur le budget 2022 du conseil départemental. Cet accord entre les deux instances prévoit en effet que le conseil départemental de la Seine-Saint-Denis ne reverse plus le RSA aux bénéficiaires. En contrepartie, il alloue à l’Etat une somme annuelle fixe de 520 millions d’euros par an. Ce mécanisme ramène ainsi le budget du département de 2,3 à 1,7 milliards d’euros.

Le conseil départemental de la Seine-Saint-Denis est d’ailleurs le grand gagnant de cette opération, puisqu’au lieu de subir une nouvelle hausse du nombre de bénéficiaires du RSA, il économise 60 millions d’euros.

Ces économies auraient pu servir à réduire la dette du département le plus endetté de France avec 1,628 milliards d’euros de dettes cumulées en 2021. Malheureusement, le conseil département de la Seine-Saint-Denis, dirigé par le socialiste Stéphane Troussel, a décidé de ne consacrer que 4 des 60 millions d’euros économisés au désendettement.

Voilà qui a de quoi laisser songeur. A moins bien entendu de considérer le triptyque suivant : Ségura, Troussel, Hidalgo, même ADN, même absence de vision, même gestion financière calamiteuse…

Source image : Wikipédia

Le mercredi 15 décembre, le conseil municipal a voté un nouveau plan de lutte contre les dépôts sauvages afin de bénéficier d'un soutien financier de la Région Île-de-France.

Objectif : plus de 400 000€ d'investissements prévus entre 2022 et 2024 pour permettre la pose de mobilier de protection, l'installation de nouvelles caméras, la réalisation de nouveaux panneaux de sensibilisation et l'acquisition d'un 2nd camion avec bras-grue pour améliorer la rapidité des interventions.

Depuis 2017, la Ville d'Aulnay-sous-Bois s'est déjà engagée dans une démarche de lutte contre les dépôts sauvages et a obtenu de premiers résultats encourageants :

baisse de 70% du nombre de sites pollués (59 sites pollués recensés en 2017, contre seulement 18 sites en 2021)

75 courriers d'avertissement ou de mise en demeure adressés en 2020 et 2021 adressés à des administrés identifiés comme auteurs de dépôts sauvages occasionnels

une quinzaine de plaintes déposées en 2020 et 2021 suite à de grands dépôts sauvages ou des dépôts très récurrents

L'impact financier des dépôts sauvages n'est pas négligeable pour les finances de la commune. Le coût du traitement des dépôts sauvages collectés par la Ville est estimé à 482 000€ par an.

Source information et images : compte Facebook de la ville d’Aulnay-sous-Bois

Bien qu’il soit nécessaire de considérer les sondages avec prudence, Jean-Luc Mélenchon semble le seul représentant de la gauche à tirer son épingle du jeu pour le moment. En effet, le leader de la France Insoumise est crédité de 11% des intentions de vote au premier tour de l’élection présidentielle de 2022.

Voilà de quoi entretenir la flamme des représentants locaux de cette formation politique qui a installé, dimanche dernier, sa caravane de l’Union Populaire au cœur du quartier de la Rose des Vents à Aulnay-sous-Bois. Vous trouverez ci-dessous le message d’un militant qui se félicite du succès de cette opération.    

« La France Insoumise d'Aulnay sous Bois remercie les participants-es venus-es de divers horizons pour faire de la caravane de l'Union Populaire un succès.

Nous remercions les habitants-es d'Aulnay qui nous ont bien reçu et pouvoir parler de notre programme et de notre candidat Jean-Luc Melenchon

Nous remercions nos camarades du NPA claire qui se sont joints à nous »

Le bras de fer entre Saint-Denis et l’Eglise de scientologie a pris fin. Le 21 décembre 2021, la Cour administrative d’appel de Paris a confirmé l’annulation de la décision d’un arrêté municipal du 16 septembre 2019.

Ce dernier portait sur le refus d’autorisation de travaux pour l’aménagement d’un centre de formation pour l’Eglise de scientologie, sur l’avenue du président Wilson.

Un différend qui remonte à 2017

Le litige remonte à 2017, où l’organisme de scientologie a acheté un bâtiment de 7 000 m2 dans les rues dionysiennes. En septembre 2019, la mairie a refusé d’y autoriser des travaux, via un arrêté.

Elle avançait trois avis défavorables de commissions départementales chargées de la sécurité contre les risques d’incendie, de panique et de l’accessibilité aux personnes handicapées. Une décision prise par l’ancien maire, Laurent Russier, et suivi par son successeur, Mathieu Hanotin. L’arrêté avait été débouté par le tribunal administratif de Montreuil en octobre 2020.

« Les pièces du dossier comportaient plusieurs déclarations, effectuées entre 2017 et 2019, par lesquelles des élus de Saint-Denis avaient manifesté leur hostilité à l’installation de l’église de Scientologie sur leur territoire et leur souhait de mobiliser le droit pour s’y opposer », déclarait à l’époque le Tribunal. 

La ville de Saint-Denis devra procéder sous trois mois à la réévalutation de l’autorisation de travaux de l’Eglise de scientologie.

Article complet de Actu.fr à lire en cliquant : ici

Source article : Actu.fr / Source photo d’illustration : Wikipédia

Venez faire profiter vos enfants du nouveau manège installé sur la Place Roger Vailland à Aulnay-sous-Bois. Il est situé près de l’Intermarché du quartier Chanteloup.

Il sera ouvert mercredi 22 et jeudi 23 décembre 2021 respectivement de 13h30 à 19h et de 13h30 à 18h.

Source information et image : compte Facebook de la ville d’Aulnay-sous-Bois  

Record battu. Selon les dernières données publiées par Santé publique France, au 17 décembre 2021, plus de 76 000 personnes ont été testées positives au Covid-19 en Île-de-France en une semaine. A l’échelle de la région, l’incidence de l’épidémie atteint les 624, dépassant les 614 enregistrés au plus fort de la 3e vague, au début du mois d’avril dernier.

Paris est de loin le territoire le plus concerné puisque l’incidence atteint les 888. Suivent les Hauts-de-Seine et le Val-de-Marne avec 671 et 629. La grande couronne et la Seine-Saint-Denis enregistrent des niveaux compris entre 500 et 600. Dans l’ensemble des départements, la tendance est au rouge. Là aussi, la capitale affiche la situation la plus préoccupante : les tests positifs ont bondi de + 35 % en une semaine seulement.

Même s’il est impossible de mesurer précisément le poids du variant Omicron dans ces contaminations, il est désormais clair qu’il pèse lourdement sur la situation. « Le variant Omicron progresse avec 326 cas confirmés par séquençage en Ile-de-France, ce qui représente désormais plus de 25 % des nouveaux cas, contre moins de 5 % il y a une semaine » selon l’Agence Régionale de Santé, que le journal Le Parisien a contacté.

Une tendance portée par le niveau inédit de dépistage à l’œuvre dans la région. Le 17 décembre dernier, 268 000 personnes sont allées se faire tester en une journée. Le précédent record datait du 20 août dernier, avec 207 000 tests réalisés sur une seule journée. Une forte activité en laboratoire qui pèse sur l’incidence mesurée : qui cherche plus, a plus de chance de trouver.

Article complet du journal Le Parisien à lire en cliquant : ici

Source article et image : journal Le Parisien et Santé publique France

À l'occasion des fêtes de fin d'année, nous vous proposons de faire plaisir à vos proches à travers une sélection de concerts à ne pas manquer en 2022 dans les salles de spectacles à Aulnay-sous-Bois !

Amel Bent en concert à Aulnay-sous-Bois

Vendredi 18 novembre 2022 à 21h au Théâtre Jacques Prévert

Réservez dès maintenant ! AMEL BENT - Aulnay-sous-bois.fr

Les comédies musicales : le grand show

Mardi 18 janvier 2022 à 20h30 au Nouveau Cap

Réservez dès maintenant ! Les comédies musicales : le grand show - Aulnay-sous-bois.fr

Kery James : Le Mélancolique Tour

Vendredi 21 janvier 2022 à 20h30 au Nouveau Cap

Réservez dès maintenant ! KERY JAMES : Le Mélancolique Tour - Aulnay-sous-bois.fr

Benjamin Biolay

Jeudi 27 janvier 2022 à 21h au Théâtre Jacques Prévert

Réservez dès maintenant ! BENJAMIN BIOLAY - Aulnay-sous-bois.fr

Jean-Baptiste Guégan : la Voix de Johnny

Samedi 12 février 2022 à 21h au Théâtre Jacques Prévert

Réservez dès maintenant ! JEAN-BAPTISTE GUÉGAN "LA VOIX DE JOHNNY" - Aulnay-sous-bois.fr

Mickaël Grégorio: L'Odyssée de la voix

Vendredi 11 mars 2022 à 21h au Théâtre Jacques Prévert

Réservez dès maintenant ! MICHAËL GREGORIO « L’Odyssée de la voix » - Aulnay-sous-bois.fr

Julien Clerc : Les Jours Heureux

Mercredi 16 mars 2022 à 21h au Théâtre Jacques Prévert

Réservez dès maintenant ! JULIEN CLERC « LES JOURS HEUREUX » - Aulnay-sous-bois.fr

Retrouvez l'ensemble de la programmation en cliquant : ici

Source information et image : compte Facebook de la ville d’Aulnay-sous-Bois